Forum de FilmDeCulte

Tes propos sont déjà déformés à la base, ce que je t'ai toujours reproché (et je ne suis pas le seul). Tu te sens obligé de jouer le "provocateur" et d'en ajouter trois tonnes à chaque fois ?

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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Ah ouais donc t'es si faible que ça? Si tout le monde arrêtait d'écrire sur les films sous prétexte qu'il se fait chambrer/agresser, y'aurait plus de forum.

Mais non, justement.
Y a qu'à voir la première scène de Cliffhanger, c'est pas décomplexé du tout, ça se prend très au sérieux.


Ca oui.


Pour moi, outre l'artifice ou la pyrotechnie ou la technique, il y a la conscience en tant que scénariste de renvoyer à de vieux clichés du (ou des) genre(s), de réduire le tout à de l'icône...c'est plus facile que de faire The Dark Knight, c'est sûr.

Mais dans cette volonté de se défaire de certains complexes ("raaah je me dois de faire un scénario moins bateau quand même, et essayer de justifier chaque scène par un truc cohérent et crédible"), j'y vois une certaine liberté assez grisante ("je n'ai pas la prétention de faire The Dark Knight, j'adapte des jouets et un dessin-animé, je préfère donner au public du grand spectacle tout en réutilisant des codes, en réussissant à en exploiter leur caractère charismatique mais aussi à rire de leur côté cliché").



Sur ce spectrum, tu places Sommers à côté de Besson. On est finalement d'accord [/quote][/quote]
Bah je trouve que :
- Besson utilise les clichés parce qu'il ne veut pas se casser le cul, et ce qu'il offre en compensation niveau action est généralement faiblard.
- Sommers utilise les clichés parce qu'il connaît ses limites et aime exploiter les icônes des classiques qui ont bercé son enfance, et ce qu'il offre en compensation niveau action est généralement divertissant.
- Bay utilise les clichés parce qu'il est fasciné par le pouvoir d'évocation de l'image seule (ou pour le dire vulgairement, par ce qu'il peut "vendre" avec l'image, vu son passé dans la pub), et ce qu'il offre en compensation niveau action transcende cette iconographie.
- Tarantino utilise les clichés parce qu'il est fasciné par le pouvoir d'évocation de l'image et aime exploiter les icônes des classiques qui ont bercé son enfance, et ce qu'il offre en compensation niveau thématique et esthétique transcende cette iconographie.

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Je sais même plus si ça m'a fait marrer ou juste fait sourire.

Ce qui est drôle dans ce gag, c'est le décalage trop brutal entre le héros sorti tout droit d'un film de mecs virils, avec tout l'arsenal militaire qui va avec, et qui se retrouve dans un flash-back complètement fleur bleue. C'est pourtant pas compliqué à comprendre !

Rien à voir.

ah bah si ça a à voir, tu viens de te plaindre des réponses que l'on te fait, et t'en sers comme prétexte pour ne plus rien développer. Tu as toi-même admis sur d'autres topics que c'est toi-même qui ne trouvais pas la motivation à développer (sans doute par flemme et par peur de confronter ses idées à celles des autres), faut arrêter de remettre la faute sur les autres, là.

Bon, c'était la soirée Hasbro.

Et en deuxième partie de soirée, Gi Joe, avec Sienna Miller en cuir, des ninjas, du Dennis Quaid, des caméos "Momie" et autres joyeusetés.

C'est comme transformers trop looooong, mais j'accroche assez à l'univers. Pas à Tatum, définitivement pas. Mais le cast est marrant, le rousse a des gros seins et j'en attendais rien.

4/6

Vous ne devriez pas dire plus de chose sur un film qu'il n'en contient réellement.

Oui mais la contenance réelle d'un film est trompeuse, parfois il en reste au fond, et puis c'est en litre ou en gallon on sait plus très bien avec ces américains alors des fois ça déborde.

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Pré Carré

Attention, ne sous-estimes pas l'utilité de ce travers : lui seul permet de discuter de films vides comme GI Joe.

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Tennis de Table Bordeaux

Meme les films vides sont riches de significations...

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N'écoutez pas Film Freak

Bon j'ai vu, j'en attendais rien et c'est ce que j'ai eu.
Ça pète dans tous les sens sans aucune saveur. Je me fous royalement des persos et leurs traumas sont plus crétins les uns que les autres. Le tout enrobé par une histoire "alambiquée" me donne au final un 1/6 (pour les filles en combi)

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Je me marre en relisant ce message aujourd'hui, alors que Billy a vu récemment la lumière (mais ce bâtard poste ses avis sur FB maintenant).

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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Au début j’ai lu "Billy Budd" je ne comprenais rien.