Forum de FilmDeCulte

C'est marrant cette distinction établie spontanément, logique et existence (ou action) à ce sujet d'ailleurs, où seule la première serait un enjeu moral.
A priori en effet la logique est justement ce qui admet la symbolisation et un déplacement par la métaphore, et est ainsi reliée à une forme d'esthétique. Elle en a même besoin.

Et tel que le tourne Castorp l'argument devient : on ne peut critiquer les camps qu'en en offrant une expérience, l' idéologie étant une atténuation indécente de l'expérience par le discours. Ce qui devient circulaire car la langue et le l'esthétique sont à leur tour affectées par l'idéologie - elle est rendue omniprésente tout en étant condamnée.
La Grande Pagaille de Comencini ou les nouvelles de Bassani se placent bien au niveau d'une critique, fortement symboliques, de la logique et des représentations psychologiques, et ça marche (parce qu'ils les différencient selon la position des individus face à l'événement et aux différentes options morales et politiques possibles).

Mais on étouffe le dessin animé

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Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
- Ce sont des fromages. On me les envoie de Calabre.

Jean-Paul Sartre

Entre parenthèses, cocasse de lire l'argumentaire d'un individu qui récemment a essayé de me faire passer pour un facho...



Bref, sinon j'ai trouvé ce dessin animé plutôt nul, vraiment moche en termes de graphisme et d'anim (il est vrai que ce ne sont plus des critères de qualité pour les dessins-animés depuis bien longtemps) et j'ai pas vraiment saisi l'intérêt de cet anthropomorphisme vieillot de la mère qui est un gorille mais qui est bien intégrée à la société et a par ailleurs tout ou presque d'une humaine.

J'ai essayé de te faire passer pour quelqu'un qui ne sait pas parler français. Nuance.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."