Forum de FilmDeCulte

Oui mais en l'occurence c'est aussi un des endroits ou tu transpires le plus et qui massere toute la journée sous une double couche (vetement+sous vetement) bien au chaud entre tes jambes. Sans compter la derniere goute qui s'ecoule toujours apres avoir remballer le matériel... sauf si tu me dis que tu te secoues le sgeg pendant 3 min...

Exactement, c'est mon seul vice dans la vie.
C'est quand même mieux que la clope, l'alcool ou le saucisson, non ?

Dire que je vais au Leader Price juste pour m'acheter une ration de chips "pomme allumette" car c'est le seul endroit où on en trouve encore.

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2be3

quand t'es avec des gens dans un bar ou à une soirée et que t'arrives pas à placer ton au revoir parce que tout le monde parle, ou alors quand t'y arrives mais qu'on continue de te parler comme si tu partais pas...

quand t'arrives à une soirée ou autre et une tu sais pas si tu fais la bise à tout le monde ou pas, parce que t'as pas envie mais t'as pas envie de passer pour quelqu'un de malpoli...

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Janet

Janet... j'ai le plaisir de t'annoncer... que tu es la première à avoir enfin compris ce que je demandais!

Tes deux exemples sont bien choisis (d'ailleurs le coup de la bise j'avais déjà prévu de le mettre dans mon scénar).

C'est ça que je cherche: DES SITUATIONS. Pas juste des désagréments anodins genre "le journal te salit les mains". Mais des situations... genre la non-volonté de faire la bise, la conscience de soi-même quand t'approche d'un groupe constitué de plusieurs gens, etc...

Merci en tout cas!

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Autre exemple :
Tu commences à parler à un groupe de gens, tu es prise dans ton élan, et tout d'un coup, tu prends conscience de toi-même, tu te rends compte que les gens t'écoutent, que tu parles, et ça te coupe tout, tu te retrouves muette..

Oui voilà... Autre variante là-dessus: au milieu d'un récit, tu fais une parenthèse pour faire une petite blague, et après tu PENSE à la blague que tu viens de faire donc ça te coupe dans ta concentration et t'as du mal à reprendre ton récit.

Ca m'arrive tout le temps.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Bon, ben 15 jours en Savoie m'ont permis de vérifier ce que je pensais : c'est typiquement parisien comme comportements. Là bas, dans le bus, tu dis bonjour quand tu montes, au revoir quand tu descent, les gens font la queue bien gentillement. Bon, il y a toujours des chieurs, mais ce sont les cas à part, pas une généralité comme à Paris.
Pareil, à Lyon, les gens laissent sortir les autres du métro, avant de monter.
Je pênse que dans les trop grandes villes, la somme des cons influe sur le comportement des autres (ce que disait Janet sur le côté international du problème). Il y a tellement de gens pour pousser qu'au bout d'un moment tu baisses les bras, voire, tu considères ça normal.

En même temps, ça dépend des culs...

Moi j'aime pas quand mes potes qui se marient ne disent plus "je" mais "nous".

L'autre jour, je dine avec un pote et sa femme: "Pirates des Caraïbes 2? Ca nous a pas trop plu... On a trouvé que..." Le mec, t'as l'impression que sa personnalité, son sens du jugement personnel a totalement disparu. C'est plus lui, c'est eux.

Ca m'énerve.

Ca nous énerve aussi.

trop fort on a eu cette discussion ce WE avec mon beauf et la belle soeur... ca nous enerve tout autant....

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SwingKid

Gilda:" Me... Yes, I'm decent"

Pvb: "Si à la Saint Valentin elle te carresse la main, vivement la Saint Marguerite..."

Vous êtes une putain de bande de névrosés.

A montréal la densite de population doit être moins élevé qu'a lyon donc bon...

bah alors, ce n'est pas la raison, mais c'est tout de même flagrant ce clivage Province / Paris sur les comportements dans les transports en commun.

Je sais pas peut etre du à l'environnement urbain... ou tout simplement une fausse impression (subjectivité).