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MessagePosté: 18 Oct 2021, 08:35 
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J'avais aimé Oslo 31 aout mais celui ci est bien pourri, proche d'une pub Apple dans son esthétique...Je n'ai pas trouvé l'actrice particulièrement exceptionnelle. Autant revoir le Rayon vert ou Eva en août.


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MessagePosté: 18 Oct 2021, 10:25 
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Cantal a écrit:
.Je n'ai pas trouvé l'actrice particulièrement exceptionnelle. Autant revoir le Rayon vert ou Eva en août.
L'actrice est bien mais tu sens clairement le prix pour récompenser un film que le juri voulait absolument mettre au palmarès. Dans le Lafosse, Bekhti est exceptionnelle et méritait beaucoup plus le prix.

Sinon pour ma part bien aimé. On est vraiment entre Nouvelle donne et Oslo 31 août. Le premier pour le côté chronique/tranches de vie mais en plus réussi et moins brouillon. Depuis son premier film, Trier a gagné en maturité et son cinéma plus abouti et Oslo pour le côté mélancolique/sensibilité, etc... Après je n'ai pas ressenti la claque de la vision d'Oslo mais on est vraiment dans le même univers et ce n'est pas déconnant de dire que les trois films forment une trilogie. D'ailleurs la dernière demi-heure mélancolique avec Anders Danielsen Lie est un écho à Oslo, sans forcément faire de redite même si Lie joue un rôle quasi-similaire.

Sinon Julie est une comédie romantique qui n'hésite pas à varier les registres entre comédie, mélancolie, romance, drame. Ce que j'ai bien aimé c'est la modernité du film qui s'inscrit vraiment dans son époque. On parle autant du côté "moral" après metoo et Sjw que finalement le protrait des millenials et la conception et l'évolution de la vision du couple. Bref c'est pas un film qui sent la naphtaline et beaucoup aimé aussi la manière dont Trier inscrit la ville d'Oslo comme un personnage à part entière. Il y a aussi un côté série, c'est punchy et rapide, le découpage en 12 chapitres donne l'impression de voir plusieurs épisodes et l'évolution serial du personnage phare sur plusieurs années avec en récurrence l'apparition de ses différents hommes. Ce que j'ai trouvé très fort, c'est la manière dont Trier arrive à décrire de manière complexe les relations humaines entre les différentes protagonistes tout en s'inscrivant dans un registre assez léger et plein d'humour. Julie, c'est un peu la comédie romantique moderne classique avec une profondeur assez rare par rapport à la concurrence.

Et puis il y a ces envolées lyriques comme ce chapitre où le temps s'arrête, tout le monde devient immobile, à part les deux amoureux. Excellente idée. Trier arrive très bien à mélanger les tons, à passer de la mélancolie à l'humour féroce. C'est peut-être pas au niveau de Oslo mais ça reste très bon et ça confirme tout le talent de Trier.

4,5/6


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MessagePosté: 19 Oct 2021, 17:08 
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Abyssin a écrit:
Depuis son premier film, Trier a gagné en maturité
Euh... Pour le coup, ce portrait de jeune femme en mode gadget (gadgets narratifs, gadgets de mise en scène) fait davantage premier film qu'OSLO... qui certes avait des atours de premier film (errance urbaine, passage à l'âge adulte...) mais paraissait plus tenu et en même temps plus libre, en tout cas plus difficile à réussir que celui-ci.

Pourtant c'est aussi ça qui m'a plu: ce confort. Le film est trop long mais c'est agréable de s'y glisser, surtout au côté de cette actrice au visage perpétuellement changeant, ni jolie, ni moche. En tant que client des vignettes du quotidien, je suis bien évidemment ravi, même si je trouve ça rarement hyper aigu dans ses observations. En tout cas c'est un étrange film, dont on ne sait pas trop où il se situe ni où il essaie de se situer, entre le pop, le feelgood, le plus mordant, conceptuel... Trier lui-même le sait-il ?

Au final le passage le plus réussi selon moi c'est l'avant-fin, le chapitre 11, où Trier s'appuie sur ses forces et nous refait un mini-OSLO 31 AOÛT. Dans ces quelques scènes il réussit à capter une vraie mélancolie (la visite de l'escalier de l'ancien appart), et dans ses monologues, Anders Danielsen Lie est clairement le porte-parole de Trier. Ce petit moment sur les objets culturels du quotidien qui n'existent plus capte avec plus d'acuité notre expérience de jeunes quadras que, selon moi, tout le portrait davantage convenu et superficiel de la trentenaire.

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MessagePosté: 19 Oct 2021, 17:24 
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Je sais que t'as des goûts chelou mais elle est pas "ni jolieie ni moche" wesh. Elle est plutôt mignonne. De la vraie vie, certes, mais quand même.

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MessagePosté: 19 Oct 2021, 17:28 
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Robot in Disguise
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Film Freak a écrit:
Je sais que t'as des goûts chelou mais elle est pas "ni jolieie ni moche" wesh. Elle est plutôt mignonne. De la vraie vie, certes, mais quand même.
Elle est mimi mais elle change qualitativement de plan en plan. Des fois craquante, des fois quotidienne avec son menton...

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MessagePosté: 19 Oct 2021, 17:31 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
elle change qualitativement de plan en plan.


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MessagePosté: 19 Oct 2021, 20:40 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
Abyssin a écrit:
Depuis son premier film, Trier a gagné en maturité
Euh... Pour le coup, ce portrait de jeune femme en mode gadget (gadgets narratifs, gadgets de mise en scène) fait davantage premier film qu'OSLO
Son premier film c'est Nouvelle donne, pas Oslo :wink:
C'est surtout à celui-là que je comparais, tu as le même aspect "tranches de vie".

Qui-Gon Jinn a écrit:
Anders Danielsen Lie est clairement le porte-parole de Trier.
C'est un peu l'équivalent d'Antoine Doisnel chez Truffaut dans sa trilogie osloïte.

Sinon complètement d'accord avec toi par rapport à la comparaison du film avec Oslo et le fait qu'on se sent dans ses chaussons. Julie a plein de parallèles, même de redites avec les deux autres films osloïtes, mais sans que ça vire à l'ennui. L'impression de retrouver le même univers et tout ces personnages qui nous ont été rendus attachants avant. On est plus dans la variation que dans la répétition et c'est très agréable. Par exemple, dans le personnage de Lie de Julie, on retrouve des similitudes et le charme de ses deux précédents rôles. On peut largement apprécier le film sans avoir vu les deux autres, mais il est encore plus attachant si on a vu Oslo et Nouvelle donne.


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MessagePosté: 20 Oct 2021, 12:58 
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En deux films Joachim Trier avait prouvé qu'il était le nouvel auteur européen le plus enthousiasment du moment, puis s'en est suivi son premier essai américain sympathique mais bancale et une incursion dans le film fantastique plus qu'oubliable.

Trier revient à la base de son cinéma en clôturant cette fausse trilogie sur Oslo et plus précisément sur le personnage de Anders Danielsen Lie qui s'appelle ici Aksel et dont la filiation et la continuité depuis Nouvelle donne ne fait aucune doute.

En effet il n'est pas anodin de voir le personnage toujours tourné vers les métiers de l'écriture, avoir le même meilleur ami, rencontrer la Julie du film dans un bar, rappelant la rencontre dans "oslo 31 aout" avec la même actrice. Nous sommes donc bien ici dans la conclusion d'une trilogie.

Mais il est question ici d'un portrait de femme, Julie, campé par la révélation Renate Reinsve qui n'a pas volé son prix d’interprétation Cannois. Trier en fait un personnage imparfait, attachant, profondément humain et qui campe ici une certaine idée de la femme de 30 ans actuel. Mais il n'est pas question pour autant pour Trier de tomber dans un film féministe programmatique et facile, préférant à divers endroit critiquer une société qui ne laisse pas le pouvoir de réflexion au peuple au profit d'un bien pensant dicté.

L'histoire d'amour entre les deux personnages est juste bouleversante et a une qualité d'écriture proche des before dans son approche réaliste et sentimentale. Comme Anders dans Oslo 31 aout Trier fait de son personnage féminin une personne dans le doute et dont certains moments d'errement et de liberté n'est pas sans rappeller ses précédents films (magnifique passage nocturne dans la ville d'Oslo.)

On reprochera peut être au film ses dernières minutes un poil faciles et qui ne se rapproche pas de la qualité d'écriture dont nous avais habitué le cinéaste mais ca ne gache en rien cette oeuvre magnifique qui sera pour sur mon coup de cœur de l'année. Trier est de retour et ca fait plaisir.

5/6


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MessagePosté: 23 Oct 2021, 12:16 
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Le film oscille en effet entre une esthétique et des idées pop qui sonnent creuses, comme la voix-off ou la scène d'arrêt sur image de la terre entière sauf des amoureux, et de nombreuses scènes qui sonnent juste. Je préfère retenir le portrait nuancé d'une femme qui assumer d'errer, imparfaite, plutôt que de se couler dans le moule du patriarcat.

Le fait qu'elle vive chez ses mecs s'insère très bien dans la démonstration que l'émancipation chez les femmes est encore quelque chose de difficile (faut-il rappeler que statistiquement, les femmes sont beaucoup plus précaires et moins bien payées que les hommes? C'est un fait, pas un caprice de scénariste).

Le film trouve aussi son équilibre dans le second très beau personnage d'Aksel, Joachim Trier ne semblant pas donner raison à l'un ou l'autre, mais plutôt célébrer la beauté d'une relation dynamique où chacun a eu son mot à dire (littéralement à travers toutes ces conversations).

Un bon cran en-dessous d'Oslo 31 août mais ce dernier était un chef d'oeuvre.


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MessagePosté: 23 Oct 2021, 14:07 
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Sauf que c'est jamais présenté comme un choix dû à la précarité. C'est juste une meuf avec de faux problèmes (ou du moins des problèmes qui ne me parlent plus à 38 ans...enfin elle représente toutefois le prototype de meuf indécise que j'abhorrais déjà à 24 ans donc bon). #attachiante

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MessagePosté: 23 Oct 2021, 15:40 
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De faux problèmes, se poser la question si on veut des enfants et, si l'on n'en veut pas, de comment s'épanouir dans une société où en avoir est la norme, surtout pour une femme? Ou de savoir ce qu'elle veut faire comme métier, elle qui se trouve dans l'ombre d'un créateur qu'elle jalouse un peu? De trouver le bon partenaire intellectuel en même temps que sexuel?

La question de l'argent n'est pas centrale certes, mais on a le droit aussi d'avoir d'autres soucis (et je dis ça, je dois être un des plus gauchistes du forum :D )


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MessagePosté: 23 Oct 2021, 15:48 
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Clairement, en plus n'oublions pas qu'ils sont Norvégiens...


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MessagePosté: 23 Oct 2021, 16:25 
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Baptiste a écrit:
De faux problèmes, se poser la question si on veut des enfants et, si l'on n'en veut pas, de comment s'épanouir dans une société où en avoir est la norme, surtout pour une femme? Ou de savoir ce qu'elle veut faire comme métier, elle qui se trouve dans l'ombre d'un créateur qu'elle jalouse un peu? De trouver le bon partenaire intellectuel en même temps que sexuel?

Son errance professionnelle prédate sa relation avec Aksel.
Et ça reste un luxe, ce qu'elle fait de ses études.
Par la suite, j'aurais pu m'identifier à ses aspirations artistiques et au fait qu'elle doive avoir un taf alimentaire de merde mais elle demeure antipathique, surtout quand elle répond à Eivind qu'il n'y connaît rien quand il a l'outrecuidance de lui dire que son texte est bon. Connasse paumée.

Le coup des enfants (pas qu'elle n'en veuille pas mais qu'elle soit agacée par ceux des autres) ne la rend pas plus sympathique tout comme sa lâcheté face à la situation (comme je le disais dans un autre message, ce n'est même pas elle qui prend la décision de ne pas le garder, elle se réjouit juste de sa fausse couche).

Et pour ce qui est de trouver le bon partenaire sexuel, c'est jamais une question dans le film.
Elle passe juste d'un boomer à un écolo.

Citation:
La question de l'argent n'est pas centrale certes, mais on a le droit aussi d'avoir d'autres soucis

Je dis pas qu'elle ne peut avoir d'autres soucis, je dis juste que ce sont un peu les mêmes soucis que 1001 films de "trentenaires célibataires", de Bridget Jones à J'me sens pas belle et j'en passe, qui sont déjà datés. Et si ça pouvait me parler avant, aujourd'hui j'ai passé l'âge.

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MessagePosté: 06 Déc 2021, 16:59 
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On est dans les mêmes eaux que Playlist (il y a même le Superhomard dans la B.O.) , et à coté les Olympiades est un documentaire sur la guerre au Tigré. Pour le titre, il me semble que " La Pire personne du monde" ne fait pas référence à Julia, mais aussi et surtout à ses deux compagnons, le terme intervient dans le film quand Ervybnd plaque (d'ailleurs hors champ, alors que la scène aurait pu avoir un enjeu intéressant) sa compagne trop écolo, que la voix off décrit froidement comme une "métisse abusive". La plus mauvaise personne du monde c'est l'homme (et la femme) consumériste non woke, non engagé et supposément culpabilisé de manière abusive.

Le film m'a semblé trop proche d'Oslo 31 août, et le glissement du suicide à la maladie de Lie est associé à un point de vue plus franchement réactionnaire. Les quarantenaires seraient passés contraint et forcés directement du statut d'adolescents attardés à celui de vieux cons, il n'y a plus de sous-culture. Paradoxalement, en étant menacé le confort bourgeois apparaît d'autant plus comme un fait, une donnée de départ, qu'un désir, et l'artiste est celui qui investit cette bourgeoisie trop tard pour la défendre, il meurt de comprendre l'objet.
Le deuil rend tout organique, y compris le monde d'avant qui devient, scellé par le souvenir, un cocon nostalgique
Il y a un thème "existentiel" : les négativités subies comme le cancer ou la fausse couche ne different pas en nature de celles, équivalentes, que l'on pourrait décider (le suicide ou l'avortement), elles sont pareillement des douleurs, et ce constat inverse le sens de la mort : elle cesse d'être l'épreuve décisive, le moment d'être jugé, et de devient plutôt celui de la réconciliation avec autrui, du sentiment désinhibé et gratuit, la seule occasion où l'intersubjectivité est possible. Cela suppose cependant que la sociabilité avait déjà perdu son enjeu et sa valzur avant que le monde actuel (celui de la dématérialisation de la culture dont parle le film) ne s'installe, dès l'enfance des personnages (d'ailleurs les aînés du films sont tous portraiturés comme des gros cons issus de l'univers des films de Bergman période Scènes de la vie conjugale, et l'artiste qui nomme le déterminisme idéologique le fait d'autant mieux qu'il n'a bizarrement pas lui-même de parents et echappe au poids du père- le desir de paternité est alors paradoxalement reduit à celui d'un éternel enfant, l'enfant est lui-même tenu comme un objet défunt (mortel car enjeu de désir), quand le monde actuel tel que le représente Trier est celui de la suffisance de la subjectivité, le film est en fait très pessimiste sous des dehors de chronique badine (même s'il articule peut-être pas trop mal le fait que le désir n'a pas d'identité, pas de visages, est une pure situation).

Un peu dans la même veine jai préféré unnfolm islandais peu vu, sorti juste avant l'épidémi: Echo

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman


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MessagePosté: 10 Mar 2022, 12:29 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
Ce petit moment sur les objets culturels du quotidien qui n'existent plus capte avec plus d'acuité notre expérience de jeunes quadras que, selon moi, tout le portrait davantage convenu et superficiel de la trentenaire.

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