EDIT:
2012
In another country : 4,5/6
2011
The day he arrives : 5,5/6
A chaud, j'étais à 5, sans doute parce que la surprise n'est et ne sera plus ce qu'elle était... mais en y regardant de plus près je trouve ce "petit" Hong d'1h20 quasi parfait à tout point de vue. Comme je l'ai dit dans le topic du film, je pourrais sans problème le recommander à quelqu'un en lui disant qu'il aura une idée juste de ce qui l'attend (en bien ou en mal
) en commençant par ce film.
2010
Ok-hui-ui yeonghwa (Oki's movie) : PV
2010
Hahaha : 4,5/6
2009
Visitors (segment "Lost in the Mountains") : PV
2009
Les femmes de mes amis : 4,5/6
Moins de souvenirs pour un film un peu entre deux eaux avec des moments d'humour absurdes et d'autres où la détresse se ressent d'autant plus par effet de contraste. Sans doute plus mineur pris dans l'ensemble mais pas anecdotique pour autant.
2008
Night and Day : 5,5/6
Mon premier Hong Sang-Soo, découvert en salle. Communion immédiate avec tout : le rythme elliptique d'un journal intime, le jeu naturel des acteurs, le cadre parisien en phase avec ma vision, l'humour, la tendresse, la poésie du final... Bref, une vraie rencontre cinématographique qui ne s'est que vérifiée par la suite.
2006
Woman on the beach : 6/6
Mon préféré. Tout y est au zénith dans la plus pure synthèse : la forme avec le cadre de cette bourgade balnéaire, la plage, l'immeuble, le jeu sur les espaces ; le fond avec une dimension métaphysique de plus en plus prégnante et tout à la fois une dérision jubilatoire. J'aimerais tellement un DVD bordel !
2005
Conte de cinéma : 5/6
Mélancolique et contrarié, un film un peu à part qui diffuse une étrange poésie mortifère à travers ses jeux de miroir. Je l'ai reçu comme une confession dépressive et le bol d'air que constitue le film suivant tend à conforter mon sentiment.
2004
La femme est l'avenir de l'homme : 5/6
Très bon souvenir. Film plus ramassé, beaucoup plus verbeux que le précédent aussi... une autre facette de son cinéma, plus cérébral, plus littéralement tourmenté.
2002
Turning Gate : 6/6
Sans doute son chef-d'oeuvre. A la fois plus simple que le précédent dans ses contours, avec moins de séquences, plus étirées, et pourtant tout aussi vertigineux au final avec cette deuxième partie où la poésie alanguie typique de l'univers de Hong se déploie amplement et magnifiquement.
2000
La vierge mise à nue par ses prétendants : 6/6
On entre dans le vif du sujet avec un film plus difficile formellement (le noir et blanc, les ellipses...) mais aussi vertigineux. En tout cas les fondamentaux de son cinéma se déploient pleinement et magnifiquement pour la première fois.
1998
Le pouvoir de la province de Kangwon : 4,5/6
Très bon souvenir d'une errance provinciale (d'où le titre
) à la narration lâche et à la tonalité "hongienne" prenant gentiment ses marques. Rétrospectivement, on peut le voir comme un joli brouillon de Turning Gate.
1996
Le jour où le cochon est tombé dans le puits : 4/6
Exercice de déconstruction narrative, montage ambitieux et noirceur très affirmée (superbe dernier plan qui me reste encore en tête)... après, c'est thématiquement moins personnel que ce qui suivra.