Forum de FilmDeCulte

Film moyennement intéressant, tendance chiant même avec un final vraiment trop trop trop larmoyant ponctué par un générique de fin avec photos d'archives qui offre le désagréable sentiment d'être à l'église pour la cérémonie d'enterrement ... avec 40 ans de décalage.

Sinon j'aime bien tout ce qui se passe en cuisine.

Mon impression générale est que Bobby est un bon film. Outre la tragédie, les élections américaines de 1968 des opposants les McCarthy/Robert F.Kennedy et la polémique de la guerre du Vietnam, (je sais ca fait déjà beaucoup),l’histoire se centre surtout sur tous les individus pour qui ces élections présidentielles ont eu un réel impact dans leur vie et surtout pour lesquels Robert F.Kennedy, dit Bobby était symbole d’espoir. Le film soulève les problèmes sociaux de l’époque : racisme, guerre, violence, sexisme, inégalités, et nous montre des images d’archives du président assassiné, sous couvert de discours authentiques de l’époque. Les acteurs sont bons. Sharon Stone est authentique et touchante. Demi Moore joue bien la femme depressive et alcoolique. Le couple Wood/ Lohan est parfait à l’écran. Shia LaBeouf est plus que crédible, ce qui me donne déjà envie de le voir dans Transformers. Ashton Kutcher est bien sûr hilarant dans son rôle de junkie très peace and love, quant à Anthony Hopkins, producteur exécutif du film, ses apparitions, certes moins prégnantes se suffisent à son charisme. Enfin en ce qui concerne Helen Hunt, c'est fou ce que le temps en plus de la rendre belle, lui donne un air mélancolique...

les moins : l'action est longue à s'installer, le concept, l'idée ne sont pas novateurs,il faut quand même arriver à suivre l'histoire sans se perdre mais le film reste à voir. 4/6

Le moment qui met en scène Ashton Kutcher / Shia LaBeouf /Brian Geraghty m’a bien fait rire…allez j’ai retranscris le dialogue…

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"Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil." Mesrine-L'instinct de mort.

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"Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil." Mesrine-L'instinct de mort.

On pourrait penser que cette représentation du hippie de base est loin d'être conforme à la réalité mais y'a pas que du faux quoi...certes c'est qu'un aspect...mais après c'est bien ce qui définit une de leur tendance, celle de l'art et autre esthétique psychédélique, entre autre provoqués par la consommation de LSD...

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"Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil." Mesrine-L'instinct de mort.

Ouais c'est plutôt fatiguant.

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"Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil." Mesrine-L'instinct de mort.

De poster pour rien dire ou pour répéter ce qui a été dit avant, c'est fatiguant en fait. Surtout quand ca commence à tourner en rond dans la "pseudo-mouvance" du débat...

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"Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil." Mesrine-L'instinct de mort.

C'est pas plus mal.

n'est ce pas.

On est d'accord.

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"Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil." Mesrine-L'instinct de mort.

This is the end
Beautiful friend
This is the end
My only friend, the end

Of our elaborate plans, the end
Of everything that stands, the end
No safety or surprise, the end
I'll never look into your eyes...again

Bobby fait référence, au début, le temps d'une réplique d'Harry Belafonte, au Grand Hotel d'Edmund Goulding, et la base est la même: un cocktail de stars et de tranches de vie dans un grand hôtel. Sauf qu'à la place de Joan Crawford, Greta Garbo et les Barrymore, tu as Helen Hunt, Christian Slater et Elijah Wood (bon, pas que, j'exagère). Et puis surtout tu as ce Bobby trainé au milieu sans qu'Estevez n'en fasse vraiment quelque chose, on reste toujours dans l'anodin genre quelles chaussures pour ma robe noire, séance psychothérapie chez ma manucure, écoute du match de baseball en cachette dans les cuisine...c'est pas ultra déplaisant mais absolument toujours superficiel (et puis mollasse de temps en temps mais même en dormant tu vois ensuite que tu n'as rien raté), tournant autour du sujet comme Estevez virevolte avec sa steadycam autour de son cast.

La fin evidemment est plus forte mais...un peu trop longue aussi. Le spot démocrate est efficace mais ça fait un peu Altman très light. Rayon distribution d'images, Sharon Stone est plutôt mise en valeur (même si elle charge pas mal), Demi Moore a une bien belle coiffure, Ashton Kutcher, Elijah Wood, Helen Hunt et Anthony Hopkins font une course à 4 pour le rôle le plus pourri, tandis que le chirurgien de Christian Slater, qui lui a remonté son front jusque dans sa nuque, est un bon blagueur. Bon moi je regardais que son front géant pendant toutes ses scènes.

3/6

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Doll, it's a heartbreaking affair