Forum de FilmDeCulte

Huhu.

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Huhu aussi.

Les vacances de Rachel



Rachel est une jeune New-Yorkaise séduisante qui aime sortir tous les soirs, draguer à tout va et se faire de temps en temps une ligne de coke. Une overdose l'envoie en cure de désintoxication. A son corps défendant, elle comprend qu'elle doit changer de vie et porter un autre regard sur elle-même.


C'est souvent drôle et plus profond qu'il n'y parait au premier abord. Le récit appâte le lecteur par son humour et ses touches burlesques. L'héroïne est attachante, jusque dans ses défauts. Et le dernier tiers est une jolie histoire de renaissance.

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Tennis de Table Bordeaux

Je viens de terminer Limonov, et les quelques avis que je lis par ici sont plutôt déçus. J'ai du mal à comprendre pourquoi... Moi j'ai adoré. OK, ce ne sont pas les claques qu'avaient été L'Adversaire ou (surtout) D'autres vies que la mienne, mais j'ai vraiment dévoré ce livre atypique, à la fois biographie, roman d'aventures, roman historique, autobiographie - j'adore comme Carrère s'insère toujours dans ses livres. Je continue de penser que Carrère écrit divinement bien (c'est complètement le style que je kiffe), et ce qu'il a fait sur Limonov est franchement passionnant.

La Moustache 5/6
L'Adversaire 5,5/6
D'autres vies que la mienne 6/6
Limonov 5/6

J'ai hâte de lire La Classe de Neige (et tout le reste, en fait).

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

J'ai bien hâte de le lire, Limonov. J'attends le poche. Faut aussi que j'achète L'Adversaire et La Classe de neige. Dans une prochaine commande, sans doute.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Le trône de fer



En tant que cycle, c'est une escroquerie. Un personnage principal a une ou deux scènes par tome puis disparaît parce que l'auteur ne sait plus quoi faire avec lui. En fait, il sait, il a assez d'idée pour faire vivre correctement un personnage sur un tome. Mais il ne peut pas se le permettre : sa stratégie marketing est de faire un cycle. Donc il est contraint de distiller les scènes d'un perso au compte goutte pour faire durer sur une douzaine de tomes. Etant fan de Fondation, je ne suis pas hermétique à une multiplicité de points de vue. Mais là, c'est du foutage de gueule.

Au sein de chaque roman, on a droit à une grande qualité d'écriture. Personnages complexes, scènes de batailles spectaculaires, rebondissements, descriptions saisissantes de lieux et de paysages etc. On ne peut être qu'emballé par le talent de l'auteur. On sent qu'il aurait pu écrire un chef d'oeuvre. S'il s'était limité à mettons 3 volumes, nombre de volumes permis par les persos les plus complets (sur lesquels il possédait le plus de scènes). Ca aurait donné un petit bijou de trilogie.


Avis basé sur la lecture des 9 premiers tomes

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Tennis de Table Bordeaux

Le mec qui a lu 9 TOMES avant de capter qu'on se foutait de sa gueule.

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Netflix les gars, Netflix.

Avant L'adversaire, c'est quand même beaucoup moins bien, tu sens qu'il a pas encore trouvé son style.
Même La classe de neige, je crois que je préfère le film de Miller.

Oui, je veux bien le croire.. Un roman russe me tente vachement bien, du coup. Quelqu'un a lu l'essai sur K Dick?

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Ca ne me dérange visiblement pas, je continue à poster sur ce forum.

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Tennis de Table Bordeaux

lol !
Bien joué.

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C'est vrai que niveau masochisme t'es bien placé

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Netflix les gars, Netflix.

Donc Total Recall, l'autobiographie d'Arnold Schwarzenegger.

Sur la forme, j'ai des critiques à faire. Il y a énormément de détails, beaucoup de gras, et le manque de style général donne l'impression que les enregistrements d'Arnold ont été retranscrits mot pour mot par son co-auteur. Le style ne facilite pas la lecture des 650 pages. Mais lit-on une biographie pour le style ? Par contre, même si je ne suis pas fan de culturisme, il faut reconnaître que la biographie est extrêmement généreuse sur tous les aspects de la vie de Schwarzenegger, et j'ai appris beaucoup de choses. Pas tant sur le cinéma évidemment, que sur le culturisme, justement, son arrivée aux États-Unis, ses rencontres pendant les années 70 (Warhol, et j'en passe), et surtout sa carrière politique de gouverneur, extrêmement intéressante (il a profité d'un système californien bien particulier, l'initiative populaire). Et puis en étant sacrément intelligent, le mec admet volontiers qu'il a rarement pu s'empêcher d'ouvrir sa gueule pour dire des conneries. Bref, à lire, c'est un peu bourratif mais très intéressant (parce que son parcours l'est).

Ca n'a rien à voir.

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Tennis de Table Bordeaux

Roh ta gueule.

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Netflix les gars, Netflix.