Forum de FilmDeCulte

Tandis que Rémy, Pierre, Claude et Alain, professeurs à la faculté d'histoire, préparent un dîner de gourmets, leurs compagnes, Dominique, Louise, Diane et Danielle, s'entraînent dans un club de musculation esthétique. Les hommes discutent des femmes, les femmes discutent des hommes. De ces deux conversations jaillissent le mensonge d'une époque et la volonté pour chaque protagoniste d'un bonheur individuel sans arrêt bafoué.

Le film me semble moins monomaniaque du bon mot que sa suite, même si globalement je déteste l'écriture d'Arcand (et je déteste ses personnages aussi, ce qui peut poser problème). Je trouve ça juste encore plus creux que les Barbares qui avait au moins son pseudo contenu carte vermeil de vieux cons de gauche qui bouffe des truffes en regardant s'écrouler le monde tenu par des petits cons incultes, là on entre dans les grandes généralités pouet pouet sur les sexes, parfois en twistant dans la cuisine...formellement c'était déjà aussi pauvre.

Sinon j'adore vraiment le personnage de l'épouse qui, sur 20 ans, compose un peu une sorte de statue d'abrutisme heureux, et tout le monde a l'air de trouver ça cool (d'ailleurs dans la suite c'est limite si elle partage pas un Dany avec les maîtresses de son mari). Après je dois avouer qu'au bout d'une moitié décourageante, j'ai vu le reste en faisant autre chose donc tu peux me dire ton avis, c'est de la merde et je l'échangerais bien contre celui du roi du Maroc.

1/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

Tellement irritant que j'ai même pas pu le voir en entier... Arcand semble persuadé d'être le plus grand dialoguiste-sexologue du monde et la façon auto-satisfaite dont les acteurs (tous moches et tous minables) déclament leurs répliques "wah là là comme c'est tellement bien vu", ça donne des envies de baffes.
Et gros sommet de nanardise avec le personnage de Mario...

Et avec tout ça j'ai pas retrouvé mon magnet.

BORDEL

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Doll, it's a heartbreaking affair

Il était sous ma lettre de rappel de la Bibli de Gagny, des tickets fnac et une boucle de ceinture de cowboy *range donc ton bureau*

Bon ben ça va mieux

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Doll, it's a heartbreaking affair

D'accord avec vous deux, les zozos.

Enfin, je suis arrivé au bout, et au moins il n'y a pas le chantage émotionnel des Invasions, mais c'est nombriliste, vain, pas drôle, pas touchant, artificiel...

Gros blocage avec le cinéma de Denys Arcand.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"