Forum de FilmDeCulte

Linda Hanson a tout pour être heureuse : un mari aimant, deux filles adorables, une maison de rêve... Mais un jour, tout s'effondre : Linda est avertie que son mari, Jim, est mort dans un accident de la circulation. Le lendemain matin, à son réveil, Linda constate que Jim est bien vivant. Ce n'était donc qu'un banal cauchemar... Mais voilà que ce mauvais rêve, loin de se dissiper, revient la hanter, jour après jour, sans cesse changeant, et toujours plus perturbant.

Un petit côté L'Effet papillon (ou une version plus stressée des boucles temporelles contrariées d'Entre deux rives, déjà avec Bullock) version mère de famille qui fait sa Pénélope à la maison. Les deux premiers tiers rebondissent très correctement et parviennent à maintenir l'attention (notamment en citant merveilleusement et de façon tout à fait adhoc...la scène de la douche de Bobby dans Dallas!). Mais ça s'affaisse un peu.

D'abord pour quelques machins un peu ridicules. Le sale grand-guignol de la scène du cercueil, l'ombre du grotesque qui plane sur la scène du planning.

Ensuite à cause de Sandra Bullock. Je l'ai toujours trouvée nickel dans ses comédies romantiques (ou comédies tout court), ça n'a jamais été Meryl Streep mais elle a une présence, un petit charme, un capital sympathie qui font qu'elle vaut mieux que pas mal d'autres. Mais, comme dans Entre deux rives, y'a plus d'expression, prise dans le mortel dilemme hollywoodien du "t'as des rides, t'es ridicule" et "t'es liftée, t'es ridicule". Donc quoiqu'il arrive, va te cacher. Et là...son visage ne bouge plus. C'est tristouille.

Enfin parce que le dernier tiers ne sait pas s'achever, ralentit grave, et la toute fin manque d'inspiration. Alors que le reste, même concon, est efficacement emballé donc bon.

Rigolo de voir Bullock jouer le rôle entreprenant et McMahon le rôle de la courge blonde qui comprend rien. Julian McMahon, sans être opéré (?), qui est encore plus inexpressif que Bullock.

Pas désagréable mais ça ronronne trop. L'affiche est jolie.

2+/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

On pourrait croire avec le pitch et le nom étranger du réalsiateur à du petit thriller façon Sixième sens, genre "he, une révélation?" mais quedalle.
Le postulat de départ est pas mauvais mais sous-exploité en plus de ne pas s'imposer de réelles règles (du coup on se permet tout, zéro rigueur).
Mieux vaut revoir n'importe quelle prod New Line (Destination Finale, Fréquence Interdite, L'Effet Papillon) pour voir les mêmes idées mieux traitées.
Y a effectivement des trucs nanardesques (le corbeau quoi) et l'espèce de twist/non-twist de fin n'a rien de surprenant et aurait pu être couillu s'il avait été moins prévisible et moins foutu (et s'il était pas suivi immmédiatement d'une espèce de message/bondieuserie/morale à deux balles).

Vu dans l'avion/6
(autrement dit 1)

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Oui ça c'est moche.

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Doll, it's a heartbreaking affair

2 / 6.

Ca intrigue pendant la première heure demi heure. Fin particulièrement con. Par contre j'aime bien ce genre de films avec voyages temporels et causalité "circulaire".


reprend une pub du club med. Je crois l'avoir postée sur le forum.

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Tennis de Table Bordeaux

Mise en place qui s'éternise, fin prévisible et nase, bondieuseries et flash-backs beurk, acteurs mono-expressifs (au mieux); entre tout ça, je salue quand même le déroulé des jours mélangés qui tient la route, mais bon, tout ça pour ça... 0,5-1/6 (et ce soir je regarde un BON film pour casser le rythme parce que ça commence à bien faire les merdes)

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Janet