Forum de FilmDeCulte

Un "pouvoir" implique qu'on "peut faire" quelque chose.

Et ça me plaisait que dans cette univers, ils aient leur propre "sémantique" si je puis dire.

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Y a ptet le nom/prénom présents dans l'adresse mail que tu as utilisé.

Je t'envoie un MP.

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Une facilité d'écriture, c'est plus un raccourci ou un deus ex machina. Là c'est juste pour jouer sur les mots et garder le mystère le temps de...une minute ?

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C'est plutôt cette raison qui a fait passer le truc, chez moi.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Ben non, tu fais dire un truc aux personnages d'une façon qu'ils n'utiliseraient pas normalement si tu ne cherchais pas à entretenir le mystère. Tu joues pas sur les mots, puisque comme je le dis à QGJ "Tu fais quel pouvoir", c'est pas du français. Bref, je vois l'idée, mais... tu triches, et ça se voit.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

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There is no such thing in life as normal

Une minute.


Merci de ne pas m'imputer des trucs avancés par d'autres.
J'ai jamais dit que ça se substituait à "Tu fais quel pouvoir ?" Mais plutôt à "tu peux faire quoi?".


Ok.

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Les gars, je sais bien que personne allait dire "Tu fais quel pouvoir", c’était juste une manière d’expliciter l’implicite dans la formulation.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Et donc tu explicites très bien... pourquoi ça marche pas.



OK, mais dans un film qui marche sur la non-respiration, qui se veut mécanique que tu encaisses d'un bloc, ça le fait pas trop, et ça peut te faire décrocher un instant, ce qui est problématique au vu de ton approche. J'ai eu un instant "attends, mais ça marche pas, là", et j'ai perdu le fil quelques secondes.
De manière générale (mais faut que j'écrive ma critique), le point faible du film, c'est que je trouve l'écriture inégale, toutes les répliques ne passant pas aussi bien que les autres. On a l'impression que tu as besoin d'une punchline (ou d'une tension comique, je saurais pas trop définir ce que je ressens) à chaque phrase, et si ça passait bien dans les Baloches grâce aux respirations que tu introduisais (le meuf), c'est ici plus discutable.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

- Tu fais quoi, toi ?
- Je me transforme / Je lis dans les pensées / etc.

Je suis pas choqué.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Sauf que le film, c'est :
"Tu fais quoi ? T'es une métamorphe ? T'es un invisible ?"

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Merci.


Quand bien même ce serait dans la même phrase (et c'est pas le cas), c'est loin d'être une entorse ou un shift improbable.

Pour moi, c'est le langage de ce monde-là :
- Qu'est-ce qu'elle fait/qu'est-ce que tu fais?
- C'est/je suis un invisible.

Avec l'usage de l'article indéfini pour asseoir la normalité de la situation : ils ont l'habitude des "catégories" de pouvoir, comme les catégories sur les sites de rencontres (hétéro/gay/trans/non-binaire/etc.).

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Parce que t'es un grammar nazi.

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Oui mais non.
- Tu fais quoi ?
- Hétéro.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Fais pas semblant de pas comprendre. Je ne parlais plus de la réponse mais de la formulation générale.

Parce que sinon :
- Tu fais quoi?
- Je suis avocat.

Tu répondrais pas "je plaide à la cour".

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