Forum de FilmDeCulte

Tu n'as pas la politesse de répondre ?

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I think we're gonna need a helmet.

Quelle branque, ce hal5...

Burnt offerings en VO (excellent titre !)

La famille Rolfe emménage pour les vacances dans une immense demeure victorienne, dont les propriétaires n’exigent aucun loyer. Ils leur imposent uniquement de s’occuper de leur vieille mère, une femme mystérieuse qui ne quitte jamais sa chambre située sous les combles. Très vite, des évènements étranges surviennent dans la demeure.



Et donc c'est vraiment vraiment bien. Il faut passer outre cette photo saturée de téléfilm pour apprécier ce qui est un des meilleurs films du genre de la période, une destruction méthodique et cruelle de la famille nucléaire, qui se décompose à l'aune de ses désirs matérialistes. La démarche, jusqu'au-boutiste, n'a pas peur de maltraiter son cast, dans un processus de vampirisation brillamment représenté.
C'est aussi l'un des meilleurs rôle d'Oliver Reed, qui joue une espèce de colosse au pied d'argile, et même Karen Black, actrice profondément limitée qui semble tout le temps avoir oublié ses lignes, prend une certaine épaisseur ici, tant le côté vaporeux et éthéré de la réalisation la sublime.

On regrettera simplement que le scénario lance beaucoup de pistes qu'il n'explore pas vraiment (le passé de Reed, sa relation passée avec Black, le personnage de la tante), mais dans l'ensemble, c'est vraiment du solide.

Bref, je conseille fortement.

4,5/6

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Oui, mais par rapport à Shining alors ?

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

Y'a-t-il un seul topic de 2006 où Z ne se prend pas la tête avec un autre forumeurs ?

Sinon très bon film mais qui souffre un peu du syndrome du film qui a été fait pleins de fois. C'est prenant, mais en même tu sens un peu tout venir malheureusement.

Truc marrant d'ailleurs, Oliver Reed m'a donné tout le long du film la même impression de présence physique, regard etc. que Javier Bardem dans Mother!. Vraiment j'y pensais tout le film. Sans conteste, il s'est inspiré de son jeu dans le film d'Aronosfsky.

J'avoue, j'étais en guerre contre la pose cinéphile.

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I think we're gonna need a helmet.

Et Kieslowski, alors ? Tu as fini par les voir ?