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MessagePosté: 15 Juil 2008, 17:23 
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Baptiste a écrit:

AI 2/6
Encore une fois la morale de Spielberg selon laquelle c'est le regard des enfants qui touche à la vérité, à l'émotion pure, m'a agaçé.



Dommage, t'es passé à côté du film je crois. En quoi le film trouve son coeur à travers le regard des enfants? De toute façon, aucun personnage principal ne porte la narration dans ce film. Elle est quasi externe. D'ailleurs le film débute sur la voix de Ben Kinsley qui nous explique le contexte, à la manière d'une fable moderne (cette voix qu'on retrouvera à la fin du film à travers le personnage quasi divin du super-mécha). Donc, le point de vue est quasi externe, une voix nous invite à observer cette fable, avec tout le recul que cela implique, comme si on était l'oeil divin témoin de cet avenir. Le personage de David est la victime de tout ce contexte, beaucoup plus qu'un regard/filtre que Spielberg essaie de nous imposer. Il nous confronte plutôt à notre propre regard à travers ces robots il me semble.


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MessagePosté: 15 Juil 2008, 17:26 
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Film Freak a écrit:

En l'occurrence, sur A.I., je crois qu'il avait dit que c'était une illusion.


Ah bon? Ça se peut fort bien. Une illusion? Toute la finale, ou seulement le fait que Monica n'est pas vraiment sa véritable maman (dans le sens où on a effacé les souvenirs qu'elle avait du monde, de son mari, de son véritable fils).


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MessagePosté: 15 Juil 2008, 17:31 
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David Swinton a écrit:
Film Freak a écrit:

En l'occurrence, sur A.I., je crois qu'il avait dit que c'était une illusion.


Ah bon? Ça se peut fort bien. Une illusion? Toute la finale, ou seulement le fait que Monica n'est pas vraiment sa véritable maman (dans le sens où on a effacé les souvenirs qu'elle avait du monde, de son mari, de son véritable fils).


Je crois qu'il était sous-entendu que toute la partie post-"échoué au fond de l'océan" était un rêve.

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MessagePosté: 15 Juil 2008, 17:49 
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Film Freak a écrit:
Je crois qu'il était sous-entendu que toute la partie post-"échoué au fond de l'océan" était un rêve.

Ce qui est finalement logique dans la construction du film (et du futur humain).


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MessagePosté: 15 Juil 2008, 17:51 
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David Swinton a écrit:
Baptiste a écrit:

AI 2/6
Encore une fois la morale de Spielberg selon laquelle c'est le regard des enfants qui touche à la vérité, à l'émotion pure, m'a agaçé.

Dommage, t'es passé à côté du film, je crois.


Spielberg m'aime pas je crois, il m'a pas assez expliqué.

A part ça, c'est sur que le fin c'est un rêve? Il me semble que non , c'est la réalité, aucun indice laisse penser que c'est un rêve. En tout cas, ça m'étonnerait pas, tant c'est bizarre et alambiqué.


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MessagePosté: 15 Juil 2008, 17:54 
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Avec ton avatar actuel Baptiste, tu devrais avoir plus d'intérêt pour les supputations autour des régimes d'images et leurs appartenances à l'imaginaire ! :wink:


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MessagePosté: 15 Juil 2008, 18:06 
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Pour la petite histoire, j'ai vu AI le soir d'après Blade runner... C'était intéressant car ils traitent du même sujet, mais AI a pas supporté la comparaison en fait. Dans un autre contexte j'aurais peut-être adoré AI si ça se trouve.


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MessagePosté: 15 Juil 2008, 18:14 
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Aime les deux et Dieu te le rendra.


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MessagePosté: 15 Juil 2008, 18:18 
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Film Freak a écrit:

Je crois qu'il était sous-entendu que toute la partie post-"échoué au fond de l'océan" était un rêve.


Si c'est le cas, ça affaiblit le film. Car le robot David n'aurait pas pu rêver ça. Jusqu'à cette finale dans l'océan, David s'est lancé dans une quête de la fée bleue, une quête poussé par son rêve d'être un véritable petit garçon auprès de sa mère, et par le conte Pinnocchio que sa maman lui lisait. Bref, cette quête il l'a construit avec tout le baguage des connaissances qu'il a accumulé depuis sa mise en fonction. Voilà pourquoi il est absolument impossible qu'il ait pu rêver l'ère glacière et tous ces super-méchas. Il n'a aucune référence sur l'avenir. Ça n'aurait aucune cohérence. Et puis, je trouvais ça fort que ça lui prenne 2000 ans pour retrouver sa mère. C'est hyper fort et déprimant comme constat.

Pour ma part, le rêve débute alors que les super-méchas reproduisent l'environnement maternelle de David à l'aide de ses souvenirs. Pour moi, il s'agit de la véritable illusion, du véritable rêve. Et c'est probablement ce que Spielberg entendait par "rêves".


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MessagePosté: 15 Juil 2008, 18:50 
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J'adore comme tu décides de ce qui affaiblit le film et surtout de ce que Spielberg entendait pas "rêves".

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MessagePosté: 15 Juil 2008, 19:10 
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24 pages pour le top Spielberg. C'est à ce genre de choses qu'on mesure quels cinéastes ont la préférénce du gros du forum... :wink:

Pour ma part Steven a toujours été l'une des grandes figures tutélaires de ma cinéphilie. Je ne serais peut-être pas ici aujourd'hui s'il n'existait pas, et même si mes goûts ont évolué depuis le temps où je le mettais tout seul au-dessus de tout le monde, il reste toujours dans le cercle fermé des cinéastes qui compteront extrêmement cher pour moi.


Le plus difficile, c'est de mettre une note, finalement...


Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal (2008)
L'impression d'un divertissement franchement anecdotique, tous juste relevé de quelques moments de connivence avec le fan. Franchement déçu, mais à pondérer en fonction de l'attente (énorme) évidemment.
3/6

Munich (2005)
J'aime beaucoup le brio du film, ses qualités d'exécution assez faramineuses (formellement, c'est d'un cachet digne du grand ciné d'investigation politique des années 70's) et la rigueur éthique de Spielberg, même si je le trouve parfois balourd dans ses effets.
5/6

La guerre des mondes (2005)
Monument de mise en scène pure, qui fait bouiller dans une forme à la fois très physique et éminemment abstraite toutes les terreurs du XXè siècle : traumatisme de la Shoah ou du 11 septembre, hantise de l'extermination... La simplicité brute du récit, les visions d'Apocalypse captées par la caméra, la teneur minimale des situations, la restitution dantesque du chaos... Tout cela est énorme. Seule la fin abrupte fait manquer au film la note maximale.
5,5/6

Le terminal (2004)
Gentille fable à la Capra, où le sentimentalisme généreux de Spielberg et ses vélléités politiques sous-jacentes font mouche, mais ça reste quand même assez plan-plan.
4/6

Minority report (2002)
Pour moi c'est l'une des réussites les plus incontestables de son auteur, un modèle de thriller futuriste qui brasse une foultitude de pistes, de thématiques et de paradoxes sans jamais s'appesantir, le tout emballé dans une forme d'une virtuosité admirable. J'adore.
5/6

A.I. (2001)
C'est un archétype du grand film malade (plus grand que malade, en fait) : j'y ai perçu des trésors de sensibilité et d'intelligence, avec des scènes d'une grâce folle, mais aussi un chouïa de lourdeur par instants, comme si l'ampleur de l'oeuvre s'enrayait. Il est possible qu'une seconde vision change les choses. En tout cas, la première heure est foudroyante, ainsi que la fin.
5/6

Il faut sauver le soldat Ryan (1998)
C'est l'acmé du cinéma "à grands sujets" de Spielberg, pas forcément celui pour lequel j'ai le plus d'affinités. Ca reste d'une maîtrise prodigieuse bien sûr, le cas de consience exposé ici ne peut que passionner, mais il y a quelque chose d'un peu "scolaire", d'un peu "incontournable" (le film de guerre classique, genre prestigieux s'il en est) qui me gêne un peu. Faut dire que la sortie de The thin red line quelques mois plus tard (traitement radicalement différent, je sais) a remis le gars Ryan à sa place, pour moi. Mais ça reste quand même plus que très bon.
4,5/6

Amistad (1997)
Le seul Spielberg que je n'ai pas vu.

Le monde perdu (1997)
Alors celui-là, je l'aime beaucoup. Et pourtant Dieu sait qu'il est assez méprisé. Mais alors je kiffe totalement sa noirceur ludique, ses accents de film d'aventures à l'ancienne totalement décomplexé (c'est rien moins qu'un remake de King Kong), je le trouve super brillant dans la forme, avec plusieurs passages à tomber par terre (le cliffhanger, bien sûr, ou encore ce petit instant de rien où Spielberg filme l'avancée nocturne du T-Rex à travers les yeux des héros qui regardent les arbres s'agiter sous leurs pieds : ce genre de truc te rappelle que, comme ça, mine de rien, le cinéaste est capable d'éclats de génie, même dans ses films "mineurs"). Ce que le film perd en rigueur dramatique, il le gagne peut-être en inventivité.
5/6

La liste de Schindler (1993)
LE grand film "sérieux" de Spielberg, celui qui lui a valu la respectabilité (ou au contraire le rejet total d'une certaine frange de l'intelligentsia). Je suis un peu mitigé sur certains choix dans le traitement, mais la sincérité, la rigueur et la hauteur de vue du projet gagnent tout mon respect. Disons que c'est un film trop important pour n'y voir que ce qui peut déranger.
5/6

Jurassic park (1993)
Enorme kiff d'adolescent, que je revois toujours avec le même immense plaisir. Il y a tout ici : la capacité d'émerveillement, le plaisir d'être effrayé, les décharges d'adrénaline, un sens du rythme et du spectacle absolument étourdissants... Bref, j'adore.
5/6

Hook
Grosse pâtisserie assez indigeste, où Spielberg foire la moitié de ses effets et semble s'être passablement planté dans le dosage. Reste le plaisir des numéros d'acteurs, quelques scènes éparses assez réussies, mais bon...
2/6

Always
J'ai une belle sympathie pour cet adorable conte sucré, tout naïf, illuminé d'éclairs de poésie pure et d'un discours extrêmement touchant sur le sentiment amoureux. Et j'adore le couple Dreyfuss/Hunter, et John Goodman en gros gentil.
4,5/6

Indiana Jones et la dernière croisade
Pareil que les deux précédents ; je suis fan. Même affection infinie pour ce versant byzantin de la saga, avec en mega bonus un Sean Connery génialissime et des rapports filiaux avec Indy d'une réjouissante drôlerie. Du début à la fin, c'est avec un sourire et une exaltation renouvelée que je me le remate.
5,5/6

Empire du soleil
Vaste saga au pays du Soleil-Levant, où Spielberg retrouve sa position préférée, celle où il est le plus fort : la restitution du monde à travers les yeux de l'enfance. Il y a des longueurs, mais je trouve le film mature, touchant et intelligent, ponctué de quelques grandes scènes.
4,5/6

La couleur pourpre
Ca fait longtemps que je ne l'ai pas vu, j'en garde le souvenir d'un film très chargé (c'est le mélo XXL), d'une grande beauté plastique, avec une Whoopi Goldberg qui déchire tout. Avec aussi l'impression d'un Spielberg voulant prouver à tout le monde qu'il pouvait "faire sérieux". A revoir, mais pour l'instant...
3/6

Indiana Jones et le temps maudit (1984)
Versant Tombeau hindou des aventures d'Indy. C'est proprement époustouflant de brio, avec une scène d'ouverture en apnée, un rythme endiablé du début à la fin, des trésors d'imagination, un humour délirant de tous les instants, et une volonté d'en offrir toujours plus à son spectateur.
5,5/6

E.T. l'extraterrestre (1982)
L'un des films les plus émouvants du monde, évidemment. Fable d'une simplicité absolue et d'une beauté sans pareille, qui constitue l'une des oeuvres de mon enfance. C'est confondant de naïveté, et en même temps d'une justesse et d'une force incomparables : tout y dit sur la force du lien, le réel transfiguré, l'enfance, l'amitié, l'émerveillement. Et quelle perfection picturale, quelle évidence formelle !
6/6

Les aventuriers de l'arche perdue (1981)
Un des mes 10 films préférés. C'est un panard gigantesque que je prends à chaque vision (il doit y en avoir 237 à ce jour), ce film fait partie de moi, j'en connais les moindres répliques sur le bout des lèvres, avec le coeur qui éclate d'euphorie, d'exaltation, de bonheur et d'excitation. Le merveilleux qui pète de partout, les accents de récit biblique, la musique de Williams, le charme pétillant de Marion, Harrison forever...
6/6

1941 (1979)
Du Tex Avery sur pellicule, complètement barré, décapsulé de toute barrière logistique, et pas toujours maîtrisé dans sa folie. Il y a du grandiose et du foiré là-dedans, une sorte de grand bazar de gamin en pleine cour de récré...
Allez, 3,5/6

Rencontres du troisième type (1977)
Magnifique allégorie du contact et de l'apprentissage, où Spielberg traduit sa capacité enfantine à s'émerveiller à travers une sensibilité d'adulte. Je trouve le film d'une précision, d'une sensibilité et d'une maîtrise assez miraculeuses, et la scène finale est gravée dans la postérité.
5,5/6

Les dents de la mer (1975)
Très gros morceau de la filmo spielbergienne, objectivement l'un des tous meilleurs. Une sorte de cauchemar subaquatique qui fait remonter à la surface toute une salve de terreurs ancestrales : de la nouvelle incarnation de Moby Dick à la peur de la castration, c'est autant la psychanalyse que la métaphysique qui sont convoquées ici. Avant tout ça, c'est un monument de suspense et de mise en scène, le digne successeur des Oiseaux à bien des égards.
6/6

Sugarland express (1974)
Joli road-movie en forme de western contemporain, qui suit le drame assez poignant d'une mère esseulée. Ca fait très longtemps que je ne l'ai pas vu, je l'avais trouvé très réussi, et je me souviens d'une la fin assez dure.
4/6


Duel (1971)
Thriller minimal d'une pureté blanche, limpide, implacable, témoignant d'une science innée du découpage, du rythme, du cadre, et d'un art consammé à faire naître la tension à partir de rien. Sur une trame de base, Spielberg fait naître des vertiges d'angoisse - et multiplie les niveaux de lecture Coup de maître.
5/6

Mon top :

1. Les aventuriers de l'Arche perdue
2. E.T. l'extraterrestre
3. Les dents de la mer
4. Rencontres du troisième type
5. La guerre des mondes


Dernière édition par Stark le 15 Juil 2008, 19:52, édité 1 fois.

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MessagePosté: 15 Juil 2008, 19:30 
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j'aurais bien du mal a faire un "top Spielberg" tant mon appréhension de son oeuvre a évolué avec le temps.
j'ai aimé, souvent adoré quasiment tous ses films a un moment ou un autre de ma cinéphilie. mais plusieurs films fétiches de mon enfance m'ont pas mal déçu a la révision. Ou alors je n'ai aucune envie de les revoir. Trop superficiel au delà de la facture impeccable. Indy en premier lieu.
mais ce qui est intéressant, c'est que -exception faite du dernier Indy- je continue a être très emballé par ses nouveaux films, un peu comme si j'avais grandi en même temps que lui.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.


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MessagePosté: 15 Juil 2008, 19:55 
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skip mccoy a écrit:
mais ce qui est intéressant, c'est que -exception faite du dernier Indy- je continue a être très emballé par ses nouveaux films, un peu comme si j'avais grandi en même temps que lui.


C'est un peu l'impression que j'éprouve, moi aussi. Il y a peu de réalisateurs dont je pourrais dire ça : l'inspiration et la sensibilité de cet auteur évoluent en belle symbiose avec ma perception de spectateur.
C'est assez stimulant, comme expérience.


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MessagePosté: 15 Juil 2008, 21:28 
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Stark a écrit:
24 pages pour le top Spielberg. C'est à ce genre de choses qu'on mesure quels cinéastes ont la préférénce du gros du forum... :wink:


Non c'est juste qu'il y a eu un gros débat sur (la scène des douches de) Schindler.

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MessagePosté: 16 Juil 2008, 01:36 
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Film Freak a écrit:
J'adore comme tu décides de ce qui affaiblit le film et surtout de ce que Spielberg entendait pas "rêves".


Je décide rien pour les autres. Je le décide pour moi. On est sur un forum, je propose une opinion personnelle. Voilà tout. Il me semble que mon opinion est valable, David n'aurait pas pu rêver à l'ère glacière, à ces vaisseaux formé de monolythes, aux super-méchas, à la théorie du clônage et de l'espace temps. On ne lui a donné aucune info à ce propos. Sa mère lui dit même: "Sorry I didn't tell you about the world". Il part dans le monde avec comme seul bagage, Pinocchio.

Tu pourrais me donner la référence de l'article où Spielberg explique que c'est un rêve à partir de l'après-océan? J'aimerais voir ça. Car pour le moment, je ne fais que me demander ce que Spielberg entendait par rêves, bien évidément.


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