Forum de FilmDeCulte

Je veux dire que c'est l'envers, comme le yin et le yang. *je suis un incompris*

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Doll, it's a heartbreaking affair

Nan mais virage à 360° c'est se retrouver au même endroit (Billy Budd serait-il trop fin ?).

Sinon j'ai vu le film à Cannes et j'avais bien rit. Pas beaucoup de souvenir aujourd'hui, juste celui d'un film incroyablement survolté, qui refuse le temps mort comme la peste et fini par s'auto détruire au bout du compte.

Et le groupe de femmes quinqua qui m'est tombé dessus parce que je les avais conseillées de le voir.

4/6.

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Pré Carré

Putain, je suis vraiment fatigué.
j'ai lu adaptation au lieu de remake dans la phrase de Billy

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Sympathique mais trop répétitif... Je comprends le délire mais bon y a un moment où ça va bien.

Y avait un potentiel dans le truc qui est pas exploité à fond je trouve. Certes, le film choisit de partir un peu où il l'entend, et tant mieux, mais chépas, peut-être que j'aurai voulu quelque chose de moins authentiquement "fou" et un peu plus sur des rails de folie pré-fabriquée.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Ouais un film sympathique, mais un peu léger quand même. Y'a pas mal de passages à vide ou de répétitions (le perso qui se cache, qui a toujours la même expression faciale..). J'ai tout de même bien aimé l'aspect "film qui ressemble à aucun autre".

a.k.a "film qui ressemble à rien"

Oui je suis assez d'accord sur ce point, c'était vraiment lourd à force; comme les passages de paranoïa qui se repetent à n'en plus être crédibles.

ah ben zéro salle cette semaine, dommage, j'avais prévu d'y aller... mais fallait libérer 1088 écrans les mecs...

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Euh il passe encore aux Halles...faut que je le voie aussi.

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oui j'ai vu en fait mais ce matin allocine n'en annonçait plus aucune.

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Ca leur arrive très très très souvent ça.

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Doll, it's a heartbreaking affair

50% de l'humour du film réside dans le fait de montrer Anna Faris la bouche ouverte.

Paye. Ton. Niveau.

Remarque ça semblait suffire aux 3 personnes assises à côté de moi qui gloussaient à en perdre connaissance au moindre pet de Faris...

Perso, il me faut plus que des gags style "et là, Anna lit un magazine à l'envers dans la salle d'attente" pour me faire rire.
Nan mais sérieux...

J'avais l'impression de voir la scène "Darroussin a fumé un pétard" de Ah si j'étais riche étalé sur 1h30.
Souffrance.

Heureusement, quelques gags font mouche (grâce aux quelques rares idées de mise en scène et au communisme) mais y a pas grand chose à se mettre sous la dent.

2/6

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Ou être exigent en matière d'humour peut-être.

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bon, c'est pas Superbad, je suis pas hilare de bout en bout et je reste hélas jamais vraiment impliqué, mais assez ébloui par la haute tenue de la mise en scène. Càd que j'ai eu l'impression de comment je pourrais dire... regarder le film, çàd regarder l'objet film, sans jamais réussir à vraiment m'y plonger, en me disant essentiellement que chaque choix de cadre, de plan, de montage, de lumière (j'adore par exemple ce plan tout con et génial où les poursuivants de Jane sont entassés dans la petite bagnole avec juste une lumière qui les éclaire par en-dessous), de son (respect total pour le boulot sur le son), de mise en scène donc, était vraiment parfait par rapport à la marche du scénario ; que chacun de ces choix pourrait être seulement gimmick ou petit malin et qu'à chaque fois, bizarrement, par je ne sais quel miracle, on ne s'y vautre pas... Il y a comme une élégance complètement incongrue qui est en perpétuel décalage avec la grande et malpolie (je dégaine l'adjectif noonien "pas user friendly", assez malaisant en fait, un peu ce que j'ai pu ressentir sur le dernier Coen, le côté doigt au spectateur que relève un peu oeil-d'avatar-naze -- ceci dit bcp moins fort que chez les Coen) légèreté de l'ensemble, voire la grossièreté, parfois, freak n'a pas tort, du scénario, qui reste un peu mou du genou...

Je suis surpris de lire que la fin a semblé à la plupart moins forte que le début, moi c'est plutôt l'inverse, il m'a fallu un peu de temps pour rentrer dans le film, pour être vraiment de son côté, et j'aime énormément le dernier acte.

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Fiiiooouuuu. Impossible de dépasser les 45 minutes, j'abandonne. Je n'arrive jamais à m'immerger dans les films où les persos sont défoncés (Requiem for a dream, Las Vegas Parano), sauf à la limite Leaving Las Vegas , surement parce que la mise en scène n'est pas en mode vision subjective. Là j'ai un mal de crâne terrible, la tête qui tourne, l'envie de vomir... ça me fait un effet dingue à chaque fois p'tain.

?/6

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I think we're gonna need a helmet.