Forum de FilmDeCulte

Ignorage complet du background du personnage. Elle est pas matée. Quand elle éclate à un moment, c'est parce que la meuf a perdu ses parents à 16 ans et s'est genre promis de ne pas souffrir à nouveau en se laissant ressentir de l'affection ou autres. Et elle se retrouve au sein d'un groupe aimant. Elle se laisse aller au jeu. Et du coup, elle ne va pas au bout du truc.

Mais t'as aussi des indices de ce qu'elle cache quand elle confesse qu'elle encaisse mal les reproches qu'on lui fait. Quand elle se remet à chanter la chanson de son adolescence, tu entrevois la fille cool qui s'est renfermé. Qu'elle se redécouvre au contact de gens, ça n'a rien de "maté".

D'une certaines façon c'est vrai... A partir du moment ou le couple t'oblige a faire des concessions.

Si tu reste intransigeant, tu n'est pas en couple, c'est l'autre qui vit à tes cotés et c'est tout. C'est la définition même du couple en fait.

ça veut pas dire que c'est la fin du rock et du roll (tu peux vivre sans pantoufles et dormir à poil)

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"Vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !?!"

non mais ça sert à rien de continuer la discussion. le film dit des choses qui ne sont pas reçues de la même façon par tout le monde. j'exprime juste un point de vue. personne n'est obligé d'y adhérer.
le film est surtout très cynique je trouve parce qu'il joue sur l'inversion des codes de la comédie romantique comme s'il y voyait une avancée sociale (la femme peut prendre la place habituellement réservée à l'homme) et qu'il finit par tout remettre en place. c'est ça qui me gêne.

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Mais non. Sandra Bullock conserve son poste de patronne. Comment on peut écrire ça ? Sinon j'aimerais bien connaitre d'autres rom-com hollywoodiennes avec une quadragénaire patronne qui sort avec son assistant de moins de dix ans qu'elle, ça c'est l'apport de femmes à la prod/réal.

Les malheurs d'être coincé chez sa mère le dimanche soir.

J'ai presque été étonné par le premier acte qui repose principalement sur la joute constante entre Sandra Bullock, en grande forme comique, et Ryan Reynolds, passable, mais dès lors que j'ai vu le premier de nombreux gags honteux du style "et là, elle sort de la maison pour passer un coup de fil et le chien la suit et un aigle attrape le chien et s'envole avec et elle arrive à le récupérer mais l'aigle vole son téléphone", j'ai vite compris que ça allait être une avalanche de grand n'importe quoi, incapable de gérer son pitch et faisant du remplissage avec ce genre d'humour au ras des pâquerettes.
Le dernier acte en sort pour tomber dans le convenu, ce qui n'a rien d'étonnant mais quand y a pas le moindre effort pour essayer d'apporter ne serait-ce qu'une touche de fraîcheur...

2/6

quand je vois que certains mettent 4/6, au début je comprends pas, puis après je me dis que ça me fera des arguments la prochaine fois qu'on m'accuse de surnoter des films

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J'ai regardé la demi-heure centrale, avec l'actrice qui cabotine honteusement, la scène de nu ridicule, le chien enlevé par un aigle, la vieille qui prie autour d'un feu de camp, l'évidente scène de striptease qui choque la toujours bien gentille Sandra Bullock. J'ai trouvé ça parfaitement honteux.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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Ca c'est absolument ILLEGAL.

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