Forum de FilmDeCulte

Justement, tu parles d'universalité, pour le personnage de Zabou, j'ai l'impression que pour Bezançon, la seule angoisse d'une femme de 50 ans est "est-ce que je suis encore désirable".

Et puis FORCEMENT, TOUTE LA FAMILLE OUBLIE l'anniversaire de la fille ado forcément hyper mal dans sa peau. Genre, crédibilité.

Et en plus personne n'a acheté de cadeau, n'a rien prévu à l'avance. Famille de merde...



Plus j'y pense et plus je me dis que ce 1/6 était bien élevé en fait.

C'est marrant, mais pour moi Le Premier jour, les situations deviennent tellement outrées, c'est tellement l'accumulation, le patchwork de situations vues et revues que le film devient totalement artificiel...

Et puis je pensais à cette mise en scène, c'est vraiment le cas d'école de l'esthétique pub, avec cette photo hyper léchée, ce projo avec cette gélatine colorée pour rendre la neige bleue en pleine nuit, ces travellings latéraux lorsque tout le monde se marre, enfin réunis, autour d'une table, un soir d'été. Tout ça, c'est le l'esthétique qui est juste là parceque le réalisateur se dit que ça fera beau, parceque comme son histoire, t'as la sentiment qu'il a vu par exemple ce plan de la mère dans l'encadrement de la porte parlant à sa fille hors champ mais qu'on voit dans un miroir, et qu'il s'est dit que ça ferait bien dans son film. J'ai l'impression qu'il réduit le rôle de la mise en scène à juste rendre du beau et que le reste de la narration, ça doit venir du scénario.

Sinon je suis très d'accord avec Z, à propos de la comparaison avec Klapish. Voilà un réalisateur qui traite de même sujets, mais dont la spontanéité et le bordel viennent insuffler de la vraie vie dans son histoire et ses personnages (bon pas vu Paris qui me faisait très peur... Mais le Péril Jeune et ses deux films "européens" c'est quand même autre chose).

Ah, voilà un coup de gueule qui me fait plaisir, je déteste aussi ce film.


C'est loin d'être mauvais, c'est juste qu'il y a un gros problème de maîtrise (trop d'intrigues, donc certaines sont plus intéressantes que d'autres, vite expédiées) mais ça reste un film frais et plein de vie, à la Klapisch quoi. Et ça encule tout Rémi.

Fallait pas te sentir obligé de répondre à tout le monde.


La comparaison avec Pearl Harbor, CA c'est la vraie bêtise.

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Ben je répondais aux points qui me semblaient importants.



Ah bon? En quoi? Pour le coup je trouve au contraire la comparaison tout à fait pertinente sur plein de points.

Cette réplique est carrément une horreur, effectivement.
Pour un film qui était quand même nominé au césar du meilleur scénario... c'est donc que le gars qui a écrit est considé par ses pairs comme étant parmi ce qui se fait mieux... et qu'on considère qu'il a un avenir dans le cinéma.
Ca fait peur.

Ca fait partie des répliques pour lesquelles tu en veux aux acteurs d'avoir accepté de dire des trucs aussi minables.

rémi bezançon is a FRAUD!! je n'arrête pas de le dire.

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Tshhhhh.

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rhaaa, en relisant les posts de mufti je me suis revu dans la salle, super vénère par le foutage de gueule auquel j'assistais.
je comprends vraiment pas comment ses films marchent.

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Lire ça en regardant en même temps ta signature ça me fait bien marrer tiens...

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Netflix les gars, Netflix.

C'est vrai que j'aime pas penser/dire ça, mais je fais une exception pour Bezançon. Y'a un truc qui m'échappe...

Cela dit, Ma Vie en l'air, même si y'a des choses un peu lourdes qui font que les chiens font pas des chats, c'est quand même au moins largement plus spontané et du coup j'aime largement plus, pour l'avoir revu récemment "pour voir".

speed racer ça déchire!

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Grosse déception.

Je trouve ça sur-écrit en permanence, cliché de bout en bout... J'aime bien les deux frères mais le reste...

2/6

Toi et moi on se comprend.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"