Le Cow-boy a écrit:
Tonton je pense que tu ne comprends absolument rien en fait, mais bon.
Ou alors tu oublies que - même si tu ne kiffes pas cet humour - les films dont on parle ici sont des COMÉDIES? (voire des parodies) Tu sais? Avec du second degré, de l'ironie, de la caricature, des exagérations de la réalité, des double lectures, tout ça tout ça?
Non mais j'ai l'intégrale de City Hunter à la maison, donc tu n'as pas besoin de me convaincre.
Le Cow-boy a écrit:
Sinon je veux bien que tu m'expliques où mon film a des accents misogynes. Hormis dans le comportement des personnages, qui sont décrits comme des flics teubés qui n'ont jamais parlé à une fille de leur vie, ou au perso du séducteur raté qui croit encore séduire en employant des phrases cliché toutes faites. Tu crois sincèrement que je suis moi aussi misogyne? Que je m'identifie à ces personnages?
Je ne te connais pas, donc je ne pense rien de toi. Sinon, c'est bien beau de me resortir le pitch de ton court, mais au final cut, j'avais trouvé ton film misogyne. Je sais plus les détails, des phrases par-ci, le fait qu'il n'y ait que des mecs, prédateurs d'une meuf idiote, qui obtient la position de soumise. JE SAIS BIEN QUE C'EST POUR L'HUMOUR, mais comme ça ne marche pas du tout, je n'en tire que l'aspect misogyne ringard. Castorp va me dire qu'en fait c'est juste macho, peu importe.
Le Cow-boy a écrit:
Tu me fais penser à ce critique qui avait conchié le film réalisé par Franck Dubosc parce qu'il filmait, le temps d'une courte séquence, deux ou trois culs de nanas, truc employé en VUE SUBJECTIVE DU PERSONNAGE POUR JUSTEMENT MONTRER QU'IL EST UN OBSÉDÉ. C'est incroyable.
Non mais tu sors 3 plans d'un film pourri analysés par un critique pourri pour me définir, c'est un peu juste. Cependant, je ne doute pas du caractère minable de la scène.
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