Jerzy Pericolosospore a écrit:
C'est simple: si tu n'as pas envie de voir ses films, ne les vois pas.
Moi je n'interviens pas pour "donner envie", je ne me sens pas de vocation pour l'art envié de la réclame.
Tout à fait. Je faisais simplement part d'un vieux préjugé à l'égard de Truffaut qui fait que j'ignore sa filmographie. Comme tout préjugé, on pourrait le trouver débile, sauf que comme je l'ai dit, ce que j'en lis en bien comme en mal me donne peu envie de voir ses films, ainsi que vient me le rappeler cette conversation. Cela fait un assez beau consensus. Phénomène curieux et assez rare dans mon cas.
J'ai la même chose avec Sautet, qui pique un peu plus ma curiosité.
D'accord avec toi sinon pour dire qu'il y a un fond misogyne qui court dans le cinéma français de l'époque et chez les réalisateurs de la nouvelle vague, l'exemple le plus symptomatique, tellement que c'est une tarte à la crème, étant Masculin/Féminin qui distribue les rôles en enfants de Marx et de Coca Cola. Ce qui me gênerait moins si davantage de spectateurs avaient l'honnêteté de le reconnaître.
Abyssin a écrit:
bmntmp a écrit:
L'ironie, c'est que ce que je peux lire sur Truffaut en bien comme en mal, ne donne pas du tout envie de voir ses films si on ne les a pas vus - ce qui est quasiment mon cas
Essaye celui-ci, c'est un de ses plus accessibles.
Le résumé me fait penser au
Regrets de Cédric Kahn, autre drame adultérin que je n'avais pas trouvé si mal, alors que ce genre de thème est presque rédhibitoire pour moi quand il est traité au premier plan d'une histoire ou s'il n'est pas relevé par le genre (style polar) plus que par le fait divers, ce qui semble être le cas ici, d'après ce que j'ai lu dans les balises spoilers.