Forum de FilmDeCulte

Euh


Bon c'est un peu à l'image du film, c'est super mal branlé.

_________________
CroqAnimement votre

Ben justement tu dis qu'il revient, moi je pensais que tu parlais il repart aux states

sublime capture d'écran

J'étais pas du tout attentif en fait.

_________________
CroqAnimement votre

Tient, je crois que je suis dans cette scène...

_________________
N'écoutez pas Film Freak

Ben il part ou pas, alors ?

_________________
"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Qu'est-ce que j'en sais, moi ?

_________________
N'écoutez pas Film Freak

Ben t'as dû voir s'il prenait l'avion, non ?

_________________
"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Non, j'ai pas du tout fait gaffe, j'avais aucune idée de quoi il était question de toute façon. Et je crois que ça se passait dans mon dos en plus...

_________________
N'écoutez pas Film Freak

Bon, j'arrête les blagues.

_________________
"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

_________________
N'écoutez pas Film Freak

un lapin

Leo il a tellement de la haine que j'ai l'impression que c'est l'une de ses rares vraies critiques dans un topic du forum depuis longtemps, c'est fort

Le truc quand on va voir un film de Pascale Ferran maintenant c'est qu'il faut oublier la dame des commissions et du débat sur les "films du milieu" et juste regarder ses films. Comme pour "Lady chatterley", je ne sais pas si ça va viens bien vieillir, mais sur le coup j'ai passé très une agréable séance. Le film a une naïveté qui ne me semble pas surfaite, alors même que c'est constamment à la frontière de l'agaçant et du casse-gueule, en permanence... J'aurai vachement du mal à argumenter sur le pourquoi j'aime le film.
Josh Charles a clairement quelque chose qui évite de faire sombrer son personnage dans le droopy de base, et j'aime comment est étiré presque de manière absurde le principe de la "décision" au lieu de voir un personnage juste traine-savate comme dans Lost in translation ou hyper appuyé genre Dominique Blanc dans Stand-By.
Puis rien qu'en comparant avec Le Terminal et sa poésie lourde en aéroport par exemple, j'ai l'impression que le film évite bien des écueils, arrive à être vraiment frontal et simple. L'idée de la seconde partie est également très étirée, mais là encore ça aide vraiment à se sentir dans quelque chose d'irréel, et c'est tout doux...
Dans le genre Cajoline c'est de la bonne.

\o/ Je t'aime mon Chow, tu me déçois jamais !

Ce moment gênant l'autre jour où j'ai dit à Pascale Ferran que j'aimais son film et que, toute gênée, elle a néantisé la conversation en baissant la tête et ne répondant pas.

_________________
Liam Engle: réalisateur et scénariste