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MessagePosté: 23 Oct 2013, 16:44 
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Garçon-veau
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Même pas en plus.
Message à tous les andouilles qui téléchargent des blockbusters en fait.

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MessagePosté: 23 Oct 2013, 16:52 
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On a quand même le droit de les revoir chez soi une fois vu au ciné ?

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MessagePosté: 23 Oct 2013, 16:54 
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Garçon-veau
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Les revoir oui. :)

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MessagePosté: 23 Oct 2013, 18:46 
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Oh bah merde, je suis déçu.
La raison, pour aller vite : je suis jamais tout à fait rentré dedans.

Maintenant, essayer de savoir pourquoi...

Il y a cette volonté visible, par le plan-séquence, l'absence d'axe horizontal, ou l'épure visuelle, de retrouver (par la forme) quelque chose du vide existentiel de l'espace. Et le film y réussit avec virtuosité, par moments de manière éclatante : rien de plus angoissant qu'une station qui explose en silence. Cette virtuosité n'est parfois pas loin de l'effet d'épate contre-productif (travellings fouineurs qui transforment parfois les plans-séquences en tour de force fiers, utilisation de la 3D virant parfois à l'effet forain), mais ça reste rare, ce n'est pas ça qui suffit à affaiblir le film.

De l'autre, il y a comme une force inverse au travail, à travers au moins deux choses qui font écran : le trauma lié à l'enfant, et la musique. Le premier semble plaqué pour donner un background à l'héroïne, quand les premières scène ouvrant le film suffisent à dessiner le principal : la solitude et le manque d'aisance, l'inexpérience de terrain, la possible incapacité à passer cette épreuve. La musique, malgré ses efforts visible pour se singulariser, vient elle dramatiser la situation (quand la mise en scène se popose de l'incarner), avec force conviction et insistance, avec de grands moyens qui semblent comme en décalage avec le projet minimal du film : moins mature, moins intelligente que l'ensemble.

Dans les deux cas, l'impression d'éléments qui "compensent" la pureté du projet initial, voulant nous émouvoir directement par le récit de monologues remplisseurs, d'émotion importée, de lyrisme excessif, alors que l'émotion indirecte du rapport existentiel de l'homme à l'espace que le film travail, à travers une construction mesurée et patiente, aurait tout à fait suffit à nous emporter. En somme, ce qui est soudain contredit au film de Cuaron, c'est son besoin d'économie : le projet la désire (deux personnages, pas d'aller-retours avec la terre, les jeux réguliers du son et du silence, la stricte soumission au réalisme) sans sembler capable de s'y soumettre totalement, comme manquant in fine de maturité pour prétendre à la grande œuvre.

Je ne sais pas si ce sont les seules raisons du relatif hermétisme du film, mais y a pour moi comme un petit rendez-vous raté. Alors certes, ça reste une proposition de SF et de blockbuster à mille lieues de la production lambda, il y a des idées partout (moins des scènes réussies isolées, cela dit, que l'impression constante de moments grandiose en puissance), c'est d'une maîtrise et d'une maestra éblouissantes. Mais au final on juge à film à l'effet qu'il produit, et l'effet reste pour moi en deça des attentes - sans remettre en question l'admiration pour l'ouvrage effectué.

C'est peut-être à revoir.


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MessagePosté: 23 Oct 2013, 18:51 
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C'est clair que je me réjouis d'avoir un projo, parce que sinon ça ferait mal.

Je conseille toutefois à des allergiques comme Z de favoriser les séances du matin.
J'étais au Normandie à la séance de 16h10 et y avait des mangeurs de pop corns et des jeunes qui ont discuté...mais le film (et bibi) les a vite calmé.


Bon sinon, 2e vision donc qui renforce mon sentiment plus que jamais, j'ai chialé deux fois plus cette fois-ci, je trouve ça vraiment bouleversant par moments, déchirants à d'autre, très très fort, pour tout plein d'émotions différentes, dans la tension, dans l'action, et parfois juste dans la beauté pure.

Et cette fin, avec Ryan qui sort de l'eau, rampe, puis marche à quatre pattes avant de se tenir debout sur ses deux jambes, c'est autant une version accélérée de la vie d'un Homme que l'Histoire de l'Evolution. Magique.

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MessagePosté: 23 Oct 2013, 20:02 
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Oberkampf Führer
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Inscription: 04 Juil 2005, 14:38
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Film Freak a écrit:
C'est clair que je me réjouis d'avoir un projo, parce que sinon ça ferait mal.

Je conseille toutefois à des allergiques comme Z de favoriser les séances du matin.
J'étais au Normandie à la séance de 16h10 et y avait des mangeurs de pop corns et des jeunes qui ont discuté...mais le film (et bibi) les a vite calmé.


Bon sinon, 2e vision donc qui renforce mon sentiment plus que jamais, j'ai chialé deux fois plus cette fois-ci, je trouve ça vraiment bouleversant par moments, déchirants à d'autre, très très fort, pour tout plein d'émotions différentes, dans la tension, dans l'action, et parfois juste dans la beauté pure.

Et cette fin, avec Ryan qui sort de l'eau, rampe, puis marche à quatre pattes avant de se tenir debout sur ses deux jambes, c'est autant une version accélérée de la vie d'un Homme que l'Histoire de l'Evolution. Magique.


Ah moi j'ai beaucoup pleuré, je suis sorti les jambes flageolantes, et je suis entièrement d'accord avec ce que tu dis.

Ryan en position fœtale lors qu'elle pénètre dans l'ISS et récupère enfin de l'oxygène, putain...


6/6


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MessagePosté: 23 Oct 2013, 20:24 
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c'était magnifique. cette musique putain.. et ce silence !

et cette dernière scène magnifique tout en métaphore..



je reviendrais plus tard avec un avis constructif


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MessagePosté: 23 Oct 2013, 20:27 
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Semi-déception (bon allez, quart de déception) pour moi, parce que le film aurait pu, aurait dû approcher le survival parfait.
La mise en scène, enfermant les personnages dans la durée et les mouvements scriptés (mais incontrôlables) du plan séquence, est à ce titre assez prodigieuse. Le combat du corps pour la survie est constamment palpable. J'insiste pas là dessus, ça saute aux yeux et ça a sans doute été déjà abordé dans le topic (que je n'ai pas encore lu).
Le problème c'est que Cuaron semble essayer de tirer le film vers ce qu'il n'est pas, c'est à dire une quête personnelle, initiatique voir spirituelle du personnage de Bullock. Sauf que cette manière de créer un background, uniquement par le dialogue (ou pire le monologue) pas très bien écrit par ailleurs, ne s'attache pas organiquement au reste du récit (ce qui est paradoxal puisque le film se construit sur le plan séquence et sur une quasi absence d'ellipse), car ça ne me paraît pas être son programme.
Ce qui fait que je trouve ces séquences qui essayent de réinsuffler une émotion plus classique, une émotion de personnage, assez artificielles, et rendues plutôt lourdingues par la musique. Le film aurait gagné selon moi à être intégralement concentré sur la capacité de réaction du personnage sur son environnement (ce qu'il fait pour une bonne part heureusement) parce que là on touche quelque chose de très fort qui s'exprime intégralement par la mise en scène. J'ai l'impression que ces séquences émotion même si elles apportent quelques belles images (
les larmes qui flottent
) appartiennent à un autre film, que l'écriture à ce moment là ne s'intègre pas au programme de la mise en scène.
Une grosse partie du problème vient d'ailleurs pour moi de la musique, exemplairement:
la fin qui est très forte parce qu'on voit le personnage qui doit se réadapter et lutter contre un environnement nouveau -notamment ce dernier plan incroyable où Bullock est d'abord comme terrassée, aplatie par la gravité avant de reprendre le dessus, est tirée par le pompiérisme de la musique vers une sorte d'héroïsation qui ne me paraît pas du tout être le propos du film et aller carrément à l'encontre de l'espèce d'animalité du plan.

Bref ça reste excellent, et je suis sûr qu'une seconde vision rendrait ces petits défauts moins visibles, mais ça empêche le film d'atteindre ce qu'il aurait dû être. Le pote avec qui je suis allé le voir m'avait dit que Cuaron citait Un condamné à mort s'est échappé comme référence, et c'est dommage qu'il ne soit pas allé aussi loin dans l'épure.

Quelque chose comme 4.5/6

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MessagePosté: 23 Oct 2013, 20:30 
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Mr.Orange a écrit:
Le problème c'est que Cuaron semble essayer de tirer le film vers ce qu'il n'est pas, c'est à dire une quête personnelle, initiatique voir spirituelle du personnage de Bullock.
Mr.Orange a écrit:
ça ne me paraît pas être son programme.
Mr.Orange a écrit:
Ce qui fait que je trouve ces séquences qui essayent de réinsuffler une émotion plus classique, une émotion de personnage, assez artificielles, et rendues plutôt lourdingues par la musique.

Voilà, tout à fait d'accord avec ça. J'y rajouterais peut-être le symbolisme (tout ce qui tient à l'imagerie de la naissance) que je trouve un poil appuyé, facile par rapport aux prétentions plus fines que peut avoir le film.

J'ai déjà envie de revoir le film cependant, envie de le ré-expérimenter. J'aimerais bien aussi voir ce que ça donne sans la 3D, par curiosité.

Mr.Orange a écrit:
Cuaron citait Un condamné à mort s'est échappé comme référence

Classe ! Et assez logique, tout compte fait...


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MessagePosté: 24 Oct 2013, 02:39 
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Inscription: 03 Déc 2008, 01:24
Messages: 3455
Tom a écrit:
Oh bah merde, je suis déçu.
La raison, pour aller vite : je suis jamais tout à fait rentré dedans.

Maintenant, essayer de savoir pourquoi...

Il y a cette volonté visible, par le plan-séquence, l'absence d'axe horizontal, ou l'épure visuelle, de retrouver (par la forme) quelque chose du vide existentiel de l'espace. Et le film y réussit avec virtuosité, par moments de manière éclatante : rien de plus angoissant qu'une station qui explose en silence. Cette virtuosité n'est parfois pas loin de l'effet d'épate contre-productif (travellings fouineurs qui transforment parfois les plans-séquences en tour de force fiers, utilisation de la 3D virant parfois à l'effet forain), mais ça reste rare, ce n'est pas ça qui suffit à affaiblir le film.

De l'autre, il y a comme une force inverse au travail, à travers au moins deux choses qui font écran : le trauma lié à l'enfant, et la musique. Le premier semble plaqué pour donner un background à l'héroïne, quand les premières scène ouvrant le film suffisent à dessiner le principal : la solitude et le manque d'aisance, l'inexpérience de terrain, la possible incapacité à passer cette épreuve. La musique, malgré ses efforts visible pour se singulariser, vient elle dramatiser la situation (quand la mise en scène se popose de l'incarner), avec force conviction et insistance, avec de grands moyens qui semblent comme en décalage avec le projet minimal du film : moins mature, moins intelligente que l'ensemble.

Dans les deux cas, l'impression d'éléments qui "compensent" la pureté du projet initial, voulant nous émouvoir directement par le récit de monologues remplisseurs, d'émotion importée, de lyrisme excessif, alors que l'émotion indirecte du rapport existentiel de l'homme à l'espace que le film travail, à travers une construction mesurée et patiente, aurait tout à fait suffit à nous emporter. En somme, ce qui est soudain contredit au film de Cuaron, c'est son besoin d'économie : le projet la désire (deux personnages, pas d'aller-retours avec la terre, les jeux réguliers du son et du silence, la stricte soumission au réalisme) sans sembler capable de s'y soumettre totalement, comme manquant in fine de maturité pour prétendre à la grande œuvre.

Je ne sais pas si ce sont les seules raisons du relatif hermétisme du film, mais y a pour moi comme un petit rendez-vous raté. Alors certes, ça reste une proposition de SF et de blockbuster à mille lieues de la production lambda, il y a des idées partout (moins des scènes réussies isolées, cela dit, que l'impression constante de moments grandiose en puissance), c'est d'une maîtrise et d'une maestra éblouissantes. Mais au final on juge à film à l'effet qu'il produit, et l'effet reste pour moi en deça des attentes - sans remettre en question l'admiration pour l'ouvrage effectué.

C'est peut-être à revoir.


Soudain je me rappelle pourquoi je ne poste jamais. C'est tout ce que je pense en mieux dit.

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MessagePosté: 24 Oct 2013, 09:02 
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Inscription: 13 Mai 2010, 11:50
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Non, TOI c'était mieux dit.

- Nan c'est TOI !
- Naaan, arrête...
- Le premier qui arrête !
- Ok, 1,2,3...


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MessagePosté: 24 Oct 2013, 11:46 
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Je sais pas si c'est un grand film, mais il m'a bien bougé. Certaines scènes sont très belles et la fin est très symbolique.

Peut être même que c'est tout le film qui est symbolique avec par exemple ce cordon qui relie l'homme à la femme... et qui peut casser, se rompre et nous rendre seul...

Et ce cordon qui nous relie à la matrice maternelle lors d'une magnifique scène où l'héroïne devient foetus. Puis plein d'autres moments.. chacun y verra ce qu'il veut.

Pour finir, certains passages mon fait verser de légères larmes d'émotions cathartiques.. Un film à la fois beau et dérangeant.. intéressant et instructif.

5/6


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MessagePosté: 24 Oct 2013, 13:20 
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Garçon-veau
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Inscription: 08 Juil 2005, 15:48
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Localisation: FrontierLand
En fait plus j'y repense, et plus je me dis que ce que je trouve dommage dans ce film (et c'était déjà ma crainte avant de le voir), ben c'est le cast.

Par rapport à l'émotion censée être véhiculée, je peux pas m'empêcher de penser que Clooney n'a rien à faire là - et même si son rôle est écrit comme ça, le côté "cosmonaute beau gosse/je vais te faire un Ristretto dans l'espace ça sert pas vraiment le film - et Sandra Bullock ne m'émeut pas du tout (encore moins avec la gueule botoxée cheloue qu'elle a maintenant). Le même film avec des acteurs un peu plus identifiants, c'était 6/6 sans problème.

Ça ne m'empêchera pas de retourner le voir en salles très vite.

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MessagePosté: 24 Oct 2013, 13:27 
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Antichrist
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Inscription: 04 Juil 2005, 21:36
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Bullock, je la trouve très bien. Par contre, Clooney je suis tellement d'accord avec toi. Je crois que la pub Nespresso l'a définitivement installé dans la case des acteurs que je ne peux plus accepter dans un rôle donné.


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MessagePosté: 24 Oct 2013, 14:08 
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Moi Clooney j'adore, ici c'est plus son rôle précédent dans Solaris qui parasite un peu mais en vrai il tient très bien son rôle, c'est quand même dommage de le limiter à la pub Nespresso ou de se gacher ses performances d'acteur à ce point.

Je trouve que sa maitrise, son humour, son recul etc. font du bien au film. Il insipre confiance, on sent qu'il sait ce qu'il fait, on a envie de s'attacher à lui et de se faire guider.

Encore une fois, je trouve que Gravity fonctionne très bien sur la relation de dépendance entre les deux personnages, un peu comme dans Children of Men: la dépendance de la fille envers les personnages qui la protègent, et dans l'autre sens la dépendance de l'humanité entière envers la fille etc. Ici le lien est matérialisé, il est net puisque les deux personnages se retrouvent attachés, et dévieraient vers le néant sans l'aide de l'autre. Ce qui me plait c'est le coté "survival à deux", la disparition de l'un entrainant la perte de l'autre, le rapprochement entre les personnages, le besoin de pouvoir compter sur l'autre. Toute la tension je l'ai ressentie au maximum dans ces moments-là, et Clooney en tant que leader joue un rôle crucial à ce niveau, et il s'en sort bien à mon avis.

Après, Bullock, j'ai vraiment pas réussi à m'y faire. En particulier je trouve ses monologues assez nazes, et ils mettent en avant toutes ses limites, c'est quand même dommage.


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