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Tandis que son père s'engage dans l'armée britannique pour lutter contre les allemands durant la Première guerre mondiale, Sara est envoyée dans un internat à New York. Sur place, elle entretient des relations très tumultueuses avec la sévère directrice qui voit d'un mauvais oeil les rêves de princesses de la jeune fille.

Bon donc pour ceux qui savent pas, c'est Princesse Sara.
Étant doté de testicules, je n'ai évidemment jamais regardé la série animée, donc je ne savais virtuellement rien de l'histoire et effectivement, le choix de Cuaron, par le même studio, de succéder à Columbus pour réaliser Harry Potter s'avère on ne peut plus cohérent quand on voit ce film qui, bien qu'il ne s'inscrive pas dans un registre fantastique, flirte tout de même avec le genre via des séquences illustrant les histoires imaginées par Sara, inspirées des mythes indiens, durant lesquelles Cuaron parvient à éviter le kitsch (malgré des CGI mortalkombatesques).

Mais c'est davantage sur les scènes "dans le monde réel" que Cuaron embrasse le lyrisme du point de vue enfantin avec un Lubezki déjà bien plus dans la place. Ensemble, et aidé par la très bonne direction artistique, ils composent une approche visuelle classe et parfois iconique. La caméra de Cuaron reste ancrée mais la composition de ses cadres trouvent encore plus d'assurance cette fois-ci.

Après, ces efforts ne suffisent pas vraiment à transcender l'écriture. Ce n'est pas tant le classicisme du récit qui est en cause (Cuaron semble l'accueillir à bras ouverts, comme sur le Dickens j'imagine) mais sa structure maladroitement épisodique, où il ne se passe globalement rien et où les enjeux sont quelque peu réduits à peau de chagrin (j'ai presque envie de dire qu'elle est pas si dure la vie de Sara telle qu'elle est montrée ici).

3/6

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Pourtant géniale de perversité et de glauquerie.

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N'écoutez pas Film Freak

Mais bien sûr ! C'est génial cette série.
L'acharnement des scénaristes à rendre leur héroïne comme la plus CONNE du monde est un régal.

En gros tu la gifles, elle tend l'autre joue. Chaque épisode. Un bonheur.

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Netflix les gars, Netflix.

MAMAN SARAH MAMAN SARAH

Spéciale dédicace à cet épisode où elle sacrifie son seul repas de la journée à ses copines les souris.

lol oui ! Je m'en souviens ! C'est beau...

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N'écoutez pas Film Freak

a faire passer Rémi sans famille pour une comédie, c'est dire.....

Mais qu'est-ce qu'elle peut être débile...
C'est une bonne série à montrer à ses mômes cela dit: "tu veux réussir dans la vie ? Fais le CONTRAIRE de cette petite et tu iras loin !"

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Netflix les gars, Netflix.

lol

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N'écoutez pas Film Freak

Mais non Sarah n'est que bonté. Elle se renforce dans l'adversité et pardonne à tous. Elle est amour.

Non je blague c'est une conne

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Netflix les gars, Netflix.