Forum de FilmDeCulte

Ouais, c'est génial !!!

Je confirme: ce film est bel et bien une bouse.

Revu des bouts sur TF1 pendant les fêtes...pareil, je trouve ça quasi irregardable. Sinon à la Fnac des Halles il y a un magnifique rangement "Afrique et Caraïbes" où tu trouves toutes ces daubes avec Big Mamma et cie... au secours le truc insultant.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Tiens j'essaie de faire ça

Top virtuel 1996 (vu que j'ai vu 4 films au cinéma cette année là):
1)Leaving Las Vegas
2)Se7en
3)Heat
4)Mission: Impossible
5)Casino

Ceux là sont dans mon top de tous les temps...

6)Sense and Sensibility
7)Mighty Aphrodite
Rock, The
9)Beauté volée
10)Crash

+ tout ça...

Strange Days, Babe, Twelve Monkeys, Nixon, Toy Story, The Addiction, Safe, Ridicule, From Dusk Till Dawn, Heavenly Creatures

1997: The Game/Lost Highway
1998: Truman Show/Ice Storm
1999: Fight Club
2000: Tigre et Dragon/Incassable
2001: La communauté de l'anneau
2002: Le voyage de Chihiro/Panic Room
2003: The Hours
2004: 2046
2005: Mllion Dollar Baby

T'es sur qu'il est sortit ne 96? Allociné met qu'il est sortit en 95... Mince alors faut que je refasse mon top 96...

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L'ai vu début 96, mais la présentation à Cannes compte peut-être...

Ah oui j'en ai oublié donc. Oh c'est énervant ces tops.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Il est sorti en France le 3 janvier 1996, je m'en souviens comme si c'était hier.

Mais c'est vrai qu'il avait été présenté à Cannes en 1995.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Et moi je confirme que le film est très loin d'être une bouse et qu'il faut le revoir en acceptant de voir autre chose que quelques prouts.

Déjà Murphy, comme à l'accoutumé, y est excellent (on oublie à quel point cet acteur est fabuleux, à quel point il parvient à retranscrire des émotions même sous trois tonnes de sylicone), et son auto-critique dans ce film va bien plus loin que celle de Carrey dans Disjoncté, par exemple (les deux films sont finalement très proches). Il y a dans le film quelques très belles scènes que tu ne trouves pas dans la comédie américaine habituelle, comme celle où Klump danse seul dans son salon.

Si le discours sur l'obésité aux Etats-Unis, la façon dont elle est perçue et gérée, ne va certes pas forcément très loin (on reste dans une comédie familiale, bien entendu), la façon dont le film devient une métaphore du personnage public d'Eddie Murphy est carrément excellente. La façon dont il se moque de lui-même, de sa propre prétention (qui confinait à l'époque à de la puanteur) à travers le personnage de Buddy Love, mais aussi à travers celui du petit comique merdeux sur scène (dont les gags sont identiques à ceux que Murphy faisait sur scène quinze ans plus tôt), élève le film largement au dessus du statut de "bouse".

Après, on rit ou pas (et je suis étonné de voir autant de gens bloqués sur cette scène de pets), mais le film, en forme d'excuses présentées au public, reste très intelligent.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Bouh,... bon, ben je vais revoir mon top alors... Sont chiant chez Allocine

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