Forum de FilmDeCulte

Ah oui pardon euuuuh...

Franchement j'ai un peu du mal à te répondre. Disons que les gens ont appelé/mailé en disant "Je viens", on a fait un compte et on dépasse de 100 personnes la capacité de la salle...

Donc bon y aura sans doute un tas de désistements, comme d'hab, mais j'ai un peu du mal à te dire maintenant si en arrivant après le début ce sera pas blindé.. j'en sais rien, c'est à toi de voir.

Tente.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Je vais planter une quetchua devant le ciné alors.

Tu me fais rire j'te dis !

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Pré Carré

Je suis bloqué au bureau, désolé.

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There is no such thing in life as normal

pas mieux, hélas

Que tout se passe bien!! J'aurais voulu être là!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Un grand bravo à Liam et Guillaume.
Félicitations pour tout ce travail et surtout pour ce rendu.
J'ai beaucoup aimé, très honnêtement. J'étais franchement impressionné. C'est con à dire mais ayant vu les précédents courts du réalisateur, je ne m'attendais pas à ça.
Grande classe.
C'est fin, propre, de jolis plans, une très bonne direction d'acteurs, Elsa est bluffante (ouais, en fait je suis membre du fan club), le gamin est très bon également (malgré une coupe de cheveux pas possible et certainement un problème moteur si l'on se réfère à ses dessins).
Après dans les - : j'ai trouvé la fin un peu abrupte. J'aurai aimé que ça soit finalement plus développé. Et certains dialogues m'ont paru légèrement poussif.
5/6 !

Chapeau bas.

Sinon pour les autres courts :
- le 1er ne m'a pas plu. Le traitement m'a clairement mis mal à l'aise directement, le thème n'a fait qu'enfoncer le clou. Pour être plus méchant j'ai trouvé ça un peu cliché. Enfin, ce que je considère comme le cliché du "petit film français" : peu de dialogues, plein d'incompréhensions, des plans clichés (le robinet qui goutte dans la baignoire, c'est le summum), etc. Bref pas trop mon truc, même si esthétiquement, c'était assez accrocheur, avec de jolis zooms. 2/6
- le 3ème, ben... C'était sympa... Efficace quoi... Un bon téléfilm estampillé TF1 en fait. 2/6

edit : je sentais Tetsuo bouillonner à mes côtés pendant le 3ème

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On a frôlé la fissure anale...

Arrrgleuh, je veux le voiiiiiir!

Quel vendu ce Pandor !

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Netflix les gars, Netflix.

J'avoue.
5/6 ça fait fort, mais 4 ou 4.5 ça veut vraiment dire moyen bon pour moi, alors que là, c'est juste bon.
Toute façon toi t'es qu'un aigri qu'a pas eu son Quick.

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On a frôlé la fissure anale...

Alors je ne discriminerai personne et donc je vais faire une rapide critique des trois films présentés.

Le Cri du papillon (Sébastien Gonzales) :

C’est peut-être le film le plus ambitieux, au moins au niveau de la mise en scène et de la construction narrative. On sent qu’il y a des intentions assez nettes de sensualisation, dans le montage (son et image), parfois quasi dogme, qui fait lorgner le film du côté de l’expérimental. Mais je dois avouer que je ne suis pas tellement rentré dedans, sans doute à cause du format court qui ne laisse pas le temps là où se genre de film s’apprécie (ou pas) plutôt sur la longueur. C’est aussi celui qui me semble le plus faire « amateur » au niveau du rendu de l’image numérique et du jeu d’acteur.

3/6

Le Portail (Liam Engle) :

Alors sans léchage de couilles aucun c’est celui que j’ai préféré.
D’abord parce qu’il me semble être le plus sincère ou du moins le plus personnel, même si l’idée de départ n’est pas forcément très originale. D’ailleurs le film offre une perspective intéressante lorsqu’on le met en relation avec Bob & Joséphine, qui reprend un peu le même thème du personnage qui se fait son monde imaginaire, pour fuir une certaine réalité, voir la déformer. Il y a déjà donc des cohérences au sein de l’Oeuvre et on sent vraiment la sincérité, et l’implication personnelle d’un Auteur ( ).
C’est comme ça que passe l’émotion.
La deuxième grosse qualité du film, c’est la direction d’acteurs. Le gamin est plutôt bon et surtout, la mère est assez formidable. Globalement d’ailleurs, les acteurs ont un jeu très réaliste, et parviennent à rendre les situations crédibles et universelles.
Bon il y a quelques défauts techniques, mais ça c’est sans grande importance, on n’est pas non plus dans une superproduction, cela dit quand même, quelques lignes de dialogues de la petite fille qu’on n'entend pas, la photo pas toujours heureuse dans la forêt (même si quelque part c’est cohérent avec un dysmorphisme réalité/imaginaire, et notamment avec le changement de filtre volontaire lors d’un plan).
Je ne suis pas totalement fan de la toute fin (disons le dernier plan), un poil convenu, mais c’est le film qui m’a semblé le plus prometteur, avec une mise en scène classique et efficace mais qui se permet quelques petits effets sans en abuser et qui au final est assez beau.

4-4.5/6

Aime-moi (David Courtil) :

Alors le scénario est assez malin et le budget semble un poil plus conséquent. Mais bon au-delà du sympathisme du truc, il n’y a absolument aucune personnalité qui se dégage et niveau mise en scène c’est plutôt Plus Belle la Vie que Kubrick, avec des succession de gros plans qui ne font qu’illustrer le scénario. Ca m’a paru un peu facile et les acteurs sont pas toujours au top.

2/6

Comme dans la salle c'était un peu la compétition des applaudissements, mon palmarès:

Palme d'or:
Le Portail
Grand Prix:
Le Cri du Papillon
Prix d'interprétation féminine:
Andy McDowell dans Le Portail ( et de très très loin)
Prix d'interprétation masculine:
Le gamin (désolé j'ai pas les noms sous les yeux là!) dans Le Portail
Prix de la Mise en scène:
Le Cri du papillon (pour les intentions) & Le Portail (pour le rendu final)
Prix du Scénario:
Aime-moi
Prix du Jury:
Aime-moi

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

C'est gentil de venir dire bonjour.

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N'écoutez pas Film Freak

Mais grave...

Bon sinon merci à tous d'êtres venus, c'était très chouette.

J'ai bien aimé Jiko qui m'a plus complimenté sur ma prestation scénique que sur le film

Ahem... Je suis venu à la séance de 11h en fait, et il fallait vraiment que je me casse juste après car j'avais cours à 12h30 (jsuis arrivé à la bourre déjà).

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

Le Cri du papillon (Sébastien Gonzales) :

Machin sans intérêt, espèce de court métrage amateur, de film d'étudiant qui n'a rien à dire, et qui tente de se raccrocher aux branches d'une expérimentation formelle sans intérêt aucun. Le truc que t'en a rien à foutre, quoi, et que quand tu sors de la salle tu apprends que c'est censé être inspiré de la mort de Jim Morrisson tu te demandes où est-ce que t'étais censé comprendre ça. Montage aberrant, cadre nullissime, écriture aux fraises, ridicule involontaire... Bon mais pas de haine, c'est juste que ça à rien à foutre en salles, que c'est pas un film, voilà, c'est mignonnet de creusitude.

coin-coin/6

Le Portail (Liam Engle) :

Encadré par deux merdasses qu'il était, Le Portail s'en sortait haut la main évidemment. Après je vais pas me refaire, depuis le début du projet, depuis le scénario, le film ne m'intéresse pas. Je reconnais le côté pro de l'objet, qui est propre, jamais honteux, bien produit, jamais ridicule, pas mal dirigé bien que trop dépressif à mon goût. Mais je préfère un Liam qui serre moins les dents, qui s'amuse plus, comme sur Bob et Joséphine par exemple. Ici, je trouve vraiment qu'il y a des problèmes d'écriture, que le scénario abuse des non-dits et de la suggestion pour pas grand chose, j'ai l'impression que le film se complique la vie, avance à petits pas, manque d'assurance, aimerait aller voir chez Spielberg mais n'ose jamais le faire à plein, reste dans du psychologique-qui-tire-la-tronche très français, qui en fait me surprend par rapport au cinéma qu'il me semble que Liam défend. Et puis voilà, le film a beau être clairement propre et pro, la mise en scène ne m'inspire pas grand chose, qui compile beaucoup d'effets attendus, mal aidée par un montage à mon sens trop mou (désolé CowBoy) qui ne permet pas à ces effets d'au moins avoir l'efficacité qu'on leur connaît d'ordinaire. Beaucoup de plans commencent ou finissent à mon avis trop tôt ou trop tard, les ellipses sont mal gérées, certains plans me semblent en trop (Liam, je te confirme avec cette seconde vision que le premier plan dans le dos du môme qui est en train de dessiner à l'école, avec le travelling vertical - abus de travellings verticaux je trouve, d'ailleurs - est de trop, que passer directement au second plan large suffirait largement, marquerait mieux le changement de lieux et de temps), etc, etc. Ensuite, je ne vois toujours pas l'intérêt de tourner en Red, au contraire même je pense que c'est un peu un handicap pour le film, où on voit par exemple assez clairement les galères de mise au point par exemple ; tout comme l'intérêt du Scope, à mes yeux largement sous-exploité.
Disons que je trouve que c'est le film où Liam veut le plus "faire cinéma", et que ça donne un film très appliqué, un film de bon élève qui trace sa ligne bien droite, et que tout ça manque cruellement de personnalité.
Ah oui, dans les détails techniques, je trouve le son très inégal -- d'ailleurs, deuxième vision et je n'ai toujours pas saisi la première réplique de la camarade de classe du héros.

heu voilà, disons 2/6, pas ma came de toute façon.



Aime-moi (David Courtil) :

Une horreur complète, film d'une dégueulasserie assez crasse, laid, bête, lourdingue, qui passe son temps à piétiner ses personnages, je n'ai que mépris pour ce machin même pas digne d'une sitcom AB.

0/6

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