Forum de FilmDeCulte

Ça va encore, sur un autre forum j'ai vu un mec critiquer le film parce qu'il trouve la fin scientifiquement pas crédible.

Franchement, je préfère.

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N'écoutez pas Film Freak

Pas moi.
Faut vraiment être con.

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I am the constant. You were always a variable.

Mais je vois rien à en dire de plus, Tets ! J'ai pas de preuves scientifiques à apporter, je l'ai simplement vécu comme ça,, comme un film sans intérêt. Globalement je suis d'accord avec jiko, j'ai rien à ajouter, j'ai pas du tout envie d'argumenter parce que je trouve que le film n'en vaut pas la peine, il n'est pas scandaleux, il est simplement médiocre, c'est tout.

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Mince, c'est jiko, son copain... c'est pas horrible ce qu'il a écrit, pourtant.

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Revu. Ça déchire tout. Énormes frissons lors de la scène du Cerebro encore une fois (la musique déchire), et gros kiffage de la transition avec la séquence recrutement sur fond de Gnarls Barkley (je savais que je connaissais cette musique, et je viens à peine de capter que c'était eux). Et ensuite, arrêt cardiaque pour la scène de soulevage de sous-marin. Ca tue. Coup de coeur de l'été confirmé.

Putain de BR US zoné...

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Pauvre petit chou, tu vas devoir attendre le 19 octobre !

Avant tout, je tiens à préciser que Tetsuo n'a même pas daigné poster une critique. Je sais que le temps joue contre nous, mais quand même, quelques lignes auraient été bienvenues. Je dis ça notamment parce que son avis m'intéresse, étant donné que j'ai trouvé ce film à peu près naze de bout en bout.
Je suis extrêmement surpris des éloges faites ici, non pas que je les remette en cause parce que ça n'apporte rien de faire cela, mais c'est juste que je ne comprends pas. Je ne comprends pas ce que l'on trouve d'intéressant, voire de sympathique à ce film. J'insiste sur l'incompréhension pour préparer le terrain à une critique que l'on prendra - à juste titre sans doute - comme une attaque en règle méprisante, quand bien même je vais m'efforcer d'expliquer à froid mon sentiment (je viens à l'instant de voir le film, et accessoirement de lire ce fil).
Je tiens d'abord à dire que j'apprécie deux choses (qui ne sont pas de l'ordre du général, malheureusement) dans ce film : il y a la séquence de la baston pour aller chercher les élèves, sympathique en l’occurrence (super idée des corps balancés), et il y a ce superbe plan de la mort de Shaw monté en alternance avec la télépathie de Charles. Autour de ça je n'ai vu que du vide ou, pire, du remplissage de troisième zone à peine digne de relever le niveau d'un James Bond des tous débuts.
Je remercie toutefois Vaughn d'avoir évité la pose cynico-badass premier âge de Kick Ass qui donne au final - contre-partie peu reluisante à mes yeux - un score insipide sempiternel qui enrobe des séquences schématiques répétitives à base de plans larges en hélico introduisant des tunnels de dialogues incroyablement vus et revus. Il y a bien une bonne heure de reproduction absolument sans concession de ce schéma identique : plan large hélico/scène de dialogue basique ("nous ne sommes pas comme eux", "je te comprends mais tu ne comprends pas", "tu n'arrives à rien mais ne t'inquiète pas, au prochain plan tu y arriveras... cut/"tiens que t'avais-je dit ?", etc...) accompagné, comme l'illustre mon dernier exemple de dialogue sarcastique, par une mise en scène et un montage tellement didactiques et fonctionnels que donc, oui, j'ai cru ne jamais voir le bout du tunnel et ai attendu impatiemment la pause pipi.
Il s'avère que la deuxième heure m'a semblé beaucoup plus libre, sortant de l'horrible carcan dans lequel les auteurs se sont embourbés pendant une bonne heure. N'avançant que mollement ou pas du tout, l'intrigue se voit plus aérée et prend, enfin, les allures d'un drame auquel on pourra enfin attacher des thématiques jusqu'à présent visualisées mais malheureusement jamais étudiées : la mort et le traumatisme bien sûr, puis évidemment l'intégration et sa politique. Tout cela à l'état de prototype pas encore fabriqué puisque le film conserve à mon grand désespoir sa façon bien à lui de survoler de très haut tout ce qu'il entreprend de montrer. Fini peut-être les plans d'hélico, mais on ne dit pas adieu à une majorité de scène qui ne progresse pas ou du moins élucide la complexité de tel ou tel enjeu/dramaturgie.
Nombreux et globaux sont les exemples mais me vient en tête un moment, assez secondaire pourra-t-on rétorquer (mais je ne pourrai que contredire cette façon de faire ou voire le ciné), où il y a un montage alterné entre Shaw et Magneto face à face (fameuse scène assez bien foutue du film pour arriver au seul plan qui m'a fait kiffer) et les deux mutants qui se volent dans les plumes. D'un côté, un superbe enjeu plutôt bien ficelé dans sa trame et de l'autre, une poursuite où, au moment précis que je cite, il ne se passe en fait rien. L'un vole, l'autre aussi, vague chute sans gravité, plan de coupe série z sur les militaires qui regardent ça. Puis retour sur les deux personnages charismatiques. C'est à ce moment précis que ma ritournelle m'est venue à l'esprit : je ne comprends pas. Je ne comprends pas ce que ce film veut faire, ce qu'il a à me proposer, si ce n'est brasser, assez mal, de l'air pour durer péniblement deux heures. Déjà vu, quoi.
Il y a évidemment dans mon jugement une grande considération pour la mise en scène et le montage, que je trouve assez lamentables. Je ne suis pas particulièrement friand des enchainements sans fins de plans à base de travelling avant pour faire croire à une progression subliminale, mais Vaughn a une tendance, louable au demeurant, à vouloir poser le rythme (je pense au potentiel de la séquence des bières, pas mal mais qui manque cruellement d'ambition, de jeu de temporalité plus dominant) qui finit - en additionnant le schématisme de la grosse première heure - par lasser, faute de contre-temps, de ludisme pouvant contre-balancer ce premier degré ronflant.

1,5/6

Réaction à chaud là, peut-être reviendrai-je sur d'autres points qui m'ont donné envie d'arrêter le film comme l'absence de caractérisation des personnages (ils semblent tous n'avoir aucun passé à part Magneto, concept intéressant mais qui n'instaure absolument pas le principe d'unification de la fin du film).

Enfin vu, et bon... je savais que je n'allais partager ni l'amour de certains, ni l'indifférence des autres.

J'ai bien aimé, avec pas mal de bémols : un côté cheap qui va souvent au-delà de la volonté artistique rétro, l'humour moisi, les militaires en bois du dernier acte, le côté surexplicite de TOUS les dialogues, January Jones qui ressemble à Élodie Gossuin, l'aspect teenager qui décidément m'éloigne de toute la quadrilogie (comme des Spiderman... vraiment les films de super-héros, à part Dark Knight et le premier Iron-Man, et surtout Incassable, j'ai vraiment du mal). Y a un côté réjouissant à la Mission : Impossible tout du long, mais sans jamais vraiment déboucher sur un cinéma puissant qui me fait de l'effet, façon De Palma, ou même Kill Bill dans la vengeance ou dans l'action.

McAvoy, Fassbender et leurs personnages sont les points forts du film (malgré la dernière séquence de Magneto censée donner la gaule à tous les fans, et que je trouve totalement à chier).

Bref, comme pour Kick-Ass, il y a du bon et du moins bon.

3,5/6

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I think we're gonna need a helmet.

Oh

Avant que le travelling ne démarre de face sur Magneto, tu sais tout... la réplique, le mouvement, l'iconisation, la gueule du mec... c'est tosgra, comme qui dirait.

Allez, maintenant, il me reste Captain America et Thor. Courage.

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I think we're gonna need a helmet.

Thor ça été mon préféré.

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Si dans le lot des films récents, y en a qui égale au moins le premier Iron-Man, ce serait cool ! Ce X-Men était pas très loin, mais dès que les dialogues ne sont liés qu'à la gestion des pouvoirs et à la responsabilité qui en découle, à la découverte et l'acceptation de la différence... ça me fait chier.

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I think we're gonna need a helmet.

Bon courage effectivement, surtout s'agissant de Thor.

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There is no such thing in life as normal