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MessagePosté: 21 Jan 2008, 00:55 
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Ce film m'a beaucoup plu, presque 2h30 et on se laisse porter.. j'ai surtout apprécié la narration qui donne au film une dimension particulière. Avec une narration linéaire, ça n'aurait pas été la même chose ! Très belle bande originale aussi avec le chanteur des Pearl Jam qui nous livre de jolis morceaux - du coup l'ambiance dégagée m'a fortement rappellée Big Fish avec la chanson Man of the Hour. Voilà.. de manière plus anecdotique, j'ai fait un petit article à propos d'Into the wild sur mon blog.


Pour reprendre la notation d'ici, je dirais du 5.5/6

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Au sud des nuages, un film de Jean-François Amiguet
http://www.ausuddesnuages.com/


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MessagePosté: 24 Jan 2008, 01:25 
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C'est dommage parce que je pensais aimer davantage, mais en fait il y a tout un tas de choses qui me bloquent un peu. Emile Hirsch en premier, parce que je n'y crois jamais, je ne sais pas pourquoi, je le vois toujours très propret, très "pub", très... pas du tout dans cet esprit-là.
Dès lors c'est difficile pour moi de rentrer dans le film à fond. Parce que tout reste dans le domaine du "joli" là où j'attendais du saisissant, du sublime.
En revanche, j'aime comment le film traite le personnage, qui au final n'est qu'un pauvre égoïste merdique, j'aime comment c'est amené sans être asséné ou moralisateur. Parmi les seconds rôles je n'en retiens qu'un, Hal Holbrook, parce qu'à mon sens c'est la seule rencontre qui a un réel effet sur les personnages... Le reste me semble très illustratif. Ah si la soeur est intéressante, mais très mal utilisée. Une voix-off et un carton de fin, alors qu'il y a de quoi en faire un film, en fait.

Après j'ai aussi un problème personnel avec le fait de traiter un sujet pareil avec autant de moyens. Et que ce soit, encore une fois, "joli", là où ça devrait être un peu crade. (C'est mon côté Zad, probablement.)

Mais évidemment c'est plein d'un propos que je ne peux pas ne pas conseiller, il y a plein de choses plaisantes, mais j'ai été finalement assez déçue.
(Et il faut que je revoie Le Dernier Trappeur.)

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MessagePosté: 26 Jan 2008, 12:10 
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Moi ça m'a plutôt ennuyé, mais doucement sans provoquer le rejet non plus. Toutes les scènes "into the wild" m'ont paru à la limite du clip (ralenti sur les goutes d'eau, split screen qui débarque on ne sait d'où, travelling circulaire en haut de la montagne cliché) d'autant plus dommage que la musique m'a vite déplu.
Reste les rencontres, un peu trop coincées dans le programme mais autrement plus intéressantes. Et la morale finale à la limite du twist
"finalementla compagnie des hommes c'est pas si mal" in extremis alors que le film ne dit au fond que ça
m'a semblée un peu rapide.

Bon, j'ai pas marché mais c'est pas un film honteu.

3/6

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MessagePosté: 31 Jan 2008, 12:45 
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Enorme déception ! Je n'ai quasiment rien aimé dans ce film. Bon je suis pas partial puisque j'adore le bouquin de Krakaueur mais je trouve que Sean Penn se plante dans les grandes largeurs au niveau de l'adaptation. D'emblée la voix-off est un aveu d'echec, il ne sait pas comment raconter son histoire alors il nous utilise ce vieu procedé et l'use jusqu'à la corde. C'est bien parceque ça apporte le contrepoint (la douleur de la famille) mais c'est fait sans intelligence et sans reflexion.
La deuxième chose qui m'a frappé c'est la nullité de la mise en scène. J'emploie un mot fort mais franchement j'ai trouvé ça affligeant. Mister Sean Stabilo Penn ne peut s'empêcher d'être sursignifiant en permanence et d'appuyer tout avec une finesse de mammouth. La scène de la lumière divine est à ce titre totalement hallucinante. Mais ce n'est pas la seule je le trouve lourd et bêtement démonstratif en permanence, sans jamais aucune finesse. Et je ne parle pas des effets tout moche, tout pourris qu'il nous balance à la gueule en permanence (Chris fait du kayak, on va mettre un ralenti ignoble pour montrer le danger).
Et puis Penn s'enlise dans une construction chaotique, un peu bordélique ne sachant vers quel direction aller, multipliant les arifices narratifs car n'ayant aucune volonté d'adapter sinon de raconter purement et bêtement l'histoire de Chris McCandless.
Le pire restera pour moi cette fin totalement pourri (attention au spoiler) où Sean Penn en pleine agiographie mystique le fait mourir le sourire au visage, comme très heureux alors que quand on lit le livre on se rend compte qu'au contraire, il est mort terrorisé, regrettant son isolement dans une denuement total et déchirant. C'est ce qui rend cette histoire si forte et touchante.

Enfin bref, un ratage quasi complet en ce qui me concerne. Sean Penn n'a pas compris grand chose à cette histoire ou du moins n'a pas essayer de comprendre ce qu'il y a derrière ce mythe du bon sauvage moderne. Emile Hirsch n'a pas la carrure (et bon il aurait pu maigrir davantage pour le rôle quand même, là on y croit pas tellement), le jeune DiCaprio il y a de ça dix ans aurait été parfait.
Reste quelques belles images (le minimum quand même) un morceau de Springsteen sympa (Society) mais pas grand chose d'autre. Pour le coup je trouve que le choix du docu-fiction aurait été largement plus judicieux tant la fiction pure n'apporte rien au récit.
2/6 et je suis gentil.

Sinon pour ceux qui n'ont pas lu le livre il y a quelques elements omis dans le film qui me semble fondamentaux dont deux assez importants je trouve
Premièrement quand Chris veut repartir du bus magique et tombe sur la rivière en crue, il ignore que cent mètre en aval il y a un câble et une nacelle qui lui aurait permis de traverser la rivière sans problème. Ce qui rend sa mort d'autant plus ironique.
Deuxièmement le vieux Ron Franz finit par écouter Chris, quelques mois après sa rencontre il achète un camping-car et part sur la route.

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MessagePosté: 31 Jan 2008, 13:27 
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Art Core a écrit:
un morceau de Springsteen sympa (Society)


C'est pas de Springsteen mais de Jerry Hannan et chanté par Eddie Vedder dans le film.

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MessagePosté: 31 Jan 2008, 13:33 
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Merci pour étaler mon inculture musicale au grand jour :oops: . Il me semblait avoir reconnu la voix de Springsteen.

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MessagePosté: 31 Jan 2008, 23:31 
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The Scythe-Meister a écrit:
Art Core a écrit:
un morceau de Springsteen sympa (Society)


C'est pas de Springsteen mais de Jerry Hannan et chanté par Eddie Vedder dans le film.


c'est d'ailleurs le morceau le plus naze du film, on dirait du renaud...

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MessagePosté: 03 Fév 2008, 14:21 
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Art Core a écrit:
ENORME déception ! Je n'ai quasiment rien aimé dans ce film. Bon je suis pas partial puisque j'adore le bouquin de Krakaueur mais je trouve que Sean Penn se plante dans les grandes largeurs au niveau de l'adaptation. D'emblée la voix-off est un aveu d'echec, il ne sait pas comment raconter son histoire alors il nous utilise ce vieu procedé et l'use jusqu'à la corde. C'est bien parceque ça apporte le contrepoint (la douleur de la famille) mais c'est fait sans intelligence et sans reflexion.
La deuxième chose qui m'a frappé c'est la nullité de la mise en scène. J'emploie un mot fort mais franchement j'ai trouvé ça affligeant. Mister Sean Stabilo Penn ne peut s'empêcher d'être sursignifiant en permanence et d'appuyer tout avec une finesse de mammouth. La scène de la lumière divine est à ce titre totalement hallucinante. Mais ce n'est pas la seule je le trouve lourd et bêtement démonstratif en permanence, sans jamais aucune finesse. Et je ne parle pas des effets tout moche, tout pourris qu'il nous balance à la gueule en permanence (Chris fait du kayak, on va mettre un ralenti ignoble pour montrer le danger).
Et puis Penn s'enlise dans une construction chaotique, un peu bordélique ne sachant vers quel direction aller, multipliant les arifices narratifs car n'ayant aucune volonté d'adapter sinon de raconter purement et bêtement l'histoire de Chris McCandless.
Le pire restera pour moi cette fin totalement pourri (attention au spoiler) où Sean Penn en pleine agiographie mystique le fait mourir le sourire au visage, comme très heureux alors que quand on lit le livre on se rend compte qu'au contraire, il est mort terrorisé, regrettant son isolement dans une denuement total et déchirant. C'est ce qui rend cette histoire si forte et touchante.

Enfin bref, un ratage quasi complet en ce qui me concerne. Sean Penn n'a pas compris grand chose à cette histoire ou du moins n'a pas essayer de comprendre ce qu'il y a derrière ce mythe du bon sauvage moderne. Emile Hirsch n'a pas la carrure (et bon il aurait pu maigrir davantage pour le rôle quand même, là on y croit pas tellement), le jeune DiCaprio il y a de ça dix ans aurait été parfait.
Reste quelques belles images (le minimum quand même) un morceau de Springsteen sympa (Society) mais pas grand chose d'autre. Pour le coup je trouve que le choix du docu-fiction aurait été largement plus judicieux tant la fiction pure n'apporte rien au récit.
2/6 et je suis gentil.

Sinon pour ceux qui n'ont pas lu le livre il y a quelques elements omis dans le film qui me semble fondamentaux dont deux assez importants je trouve
Premièrement quand Chris veut repartir du bus magique et tombe sur la rivière en crue, il ignore que cent mètre en aval il y a un câble et une nacelle qui lui aurait permis de traverser la rivière sans problème. Ce qui rend sa mort d'autant plus ironique.
Deuxièmement le vieux Ron Franz finit par écouter Chris, quelques mois après sa rencontre il achète un camping-car et part sur la route.

Je viens de lire le bouquin. Je trouve que Sean Penn ne s'en est pas si mal tiré et concernant la fin, Krakauer st bien moins dur que j'avis cru le comprendre. McCandless est mort seul, mais probablement heureux, même si il s'est retrouvé piégé alors qu'il avait décidé de revenir à la civilisation et mettre un terme à ses années de route. Il précise aussi que la mort par inanition, si elle est très pénible, fait connaître à la fin un état de grâce et d'épiphanie, donc il est probablement mort le sourire aux lèvres.

Ce qui n'est pas exagéré non plus, c'est la forte impression qu'à laissé Chris sur les gens qu'ils a rencontrés. Tout le monde semble avoir été marqué par son intelligence et sa sensibilité, déclarant l'avoir trouvé très différent des routards normaux.

Après le film ne met pas forcément en évidence les contradictions du bonhomme et force sur le sentimentalisme (la romance avec la hippie, c'est l'affaire de trois lignes).

Au final le livre est meilleur, mais les deux oeuvres sont bien complémentaires, ne serait-ce que pour mettre des images sur les paysages traversés.


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MessagePosté: 03 Fév 2008, 16:31 
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Une demi-heure après avoir vu le film, il me hante encore. Tant la beauté sauvage qui ferait rêver dans d'autres conditions que la souffrance du personnage principal qui fuit les seules choses qui comptent finalement.
C'est très perturbant et ça fait naître de nombreuses émotions, comme rarement au cinéma ces derniers temps pour ma part. J'aurais aimé être seule dans la salle.

6/6

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MessagePosté: 03 Fév 2008, 16:36 
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Delph a écrit:
Une demi-heure après avoir vu le film, il me hante encore.


En un sens, tant mieux.


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MessagePosté: 16 Fév 2008, 00:44 
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Je ressors une petite critique que j'avais fait sur le film il y a quelques temps :

En relatant l'histoire vraie de Christopher McCandless, dont nous faisait part le bouquin de Jon Krakauer, Voyage au bout de la solitude, Sean Penn s'engageait dans un pari risqué. Le sujet n'ai pas simple et les amateurs de "road trip into the wild" sont nombreux et souvent exigeants. On peut citer entre autre l'importante influence qu'on eu des écrivains comme Jack Kerouac ( le cultissime Sur la route ), Jack London ( Le magnifique recueil de nouvelles, L'amour de la vie ), ou encore Thoreau que le narrateur du film cite à plusieurs reprises. Niveau cinématographique, l'histoire de Christopher McCandless tend intimement vers le film de Sydney Pollack, Jeremiah Johnson, l'histoire d'un type fuyant le monde civilisé afin de trouver la liberté que lui offre les montages des Rocheuses.
Les références dans le genre sont donc nombreuses et de niveaux, et en ajoutant à ça les réticences de la famille McCandless à laisser la vie de leur fils être transposé à l'écran, Monsieur Penn avait tout intérêt à réussir son pari.

Mais qu'importe, le monsieur nous avait déjà montré de belles et prometteuses choses grâce à ces trois premières réalisations, preuve qu'il est doté d'un talent certains de metteur en scène.
Mais ici, il repousse plus loin encore toute l'estime que l'on pouvait déjà lui porté grâce à un film chargé en émotions, en paysages, en profondeur et en réalisme...

En effet, l'histoire en apparence simple d'un homme qui plaque tout ce qu'il possède pour partir on the road est bien plus profonde que ce qu'elle peut laisser croire.
Le rejet d'une civilisation urbaine formaté, matérialiste, qui ne laisse à sa population aucun temps pour respirer, pour vivre pleinement, est magnifiquement transposé à l'écran grâce au talent évident de Sean mais aussi grâce à la formidable interprétation d'Emile Hirsch dans la peau de "Supertramp", qui se révèle comme un acteur sur de la nouvelle génération, comme il nous l'avait laisser penser dans Les Seigneurs de Dogtown.
Son voyage initiatique, divisé en chapitres basé sur les différentes périodes de la vie menant à maturité ( naissance, enfance, adolescence, âge de raison…), sera parsemé de rencontres toutes plus atypique les unes que les autres. Elles seront le fruit d'échanges sincères et chaleureuses, contrastant avec l'hypocrisie de la vie urbaine, permettant ainsi à Christopher-Alex Supertramp-McCandless, de murir et de se rapprocher, au fil de son périple, de la vérité du bonheur qu'il est venu chercher.

Sa dernière rencontre sera celle de la solitude, une solitude dans laquelle seule la nature, dans tout ce qu'elle a de sauvage, accompagnera notre voyageur jusqu'au bout de son chemin.
C'est dans un final envoutant, quasi-psychédélique, que surgira la vérité qu'il cherchait depuis prêt de deux ans. C'est la nature qui la lui révélera, et il devra la lui payer au prix fort, l'homme n'étant qu'une créature enfanté par celle-ci, vulnérable et destructeur.
Un final filmé avec brio et justesse, laissant le spectateur sur le carreaux après deux heures trente d'introspection dans la vie d'un jeune homme qui représente une part de chacun d'entre nous. Cette part de liberté, de souffle de vie, de vérité que l'on cherche tous à atteindre. Certains diront que tout comme son personnage, Sean Penn reste accroché à des valeurs naïves, mais au contraire, je trouve que ces deux hommes vives/filmes à fond et avec une sincérité touchante ce en quoi ils croient le plus.

Pour ce qui est de sa structure, le film est construit sur une trame narrative éclaté, insérant des flashs backs sans jamais nous faire sortir du récit principal, et ça fonctionne très bien.
Les acteurs secondaires, quant à eux, sont tous bluffant, avec une mention spéciale à Hal Holbrook qui offre l'une des scènes les plus émouvante du film.

Bref un film à voir, et à revoir. Un chef d'œuvre comme l'on en voit peu.

6/6


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MessagePosté: 17 Fév 2008, 10:25 
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ouaaaaaaahhhhhhhouuuuuuu très beau film et magnifique hommage à la nature en ces temps ou la faune et la flore de la planète partent en sucette.
Le mec s'empoisonne avec une plante par méconnaissance de la nature et malgrès toute sa meilleur volonté pour y vivre.
Il aurait du allez voir les amérindiens des environs pour prendre conseil.
Si vous aimez les films écolos et spirituels tournez vous vers le très bon et pourtant tros méconnu film clearcut dont le topic à été clos par oh et puis merde pas de haine ça sert à rien j'ai compris qu'il y un deal qui se joue et il faut que je le partage ce film suffisait de demander. Freak j'ai rien contre toi j'avoue avoir été un peu taquin sur ce coup la; Sans rancune la vie est trop courte pour de la haine et bonhomme c'est de spiritualité dont tu as besoins et non de Chnek ou de shrek .... peace

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Dernière édition par Terremère le 17 Fév 2008, 11:16, édité 1 fois.

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MessagePosté: 17 Fév 2008, 11:01 
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Tu peux revenir cet aprem Terremère, Freak dort en ce moment. Ne gâche pas ta matinée à attendre une réponse.

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Terremère a écrit:
ouaaaaaaahhhhhhhouuuuuuu très beau film et magnifique hommage à la nature en ces temps ou la faune et la flore de la planète partent en sucette.
Le mec s'empoisonne avec une plante par méconnaissance de la nature et malgrès toute sa meilleur volonté pour y vivre.
Il aurait du allez voir les amérindiens des environs pour prendre conseil.

MacCandless a été très critiqué par les locaux lorsqu'il est mort, mais John Krakauer avançait l'explication qu'il ne s'était sans doute pas empoisonné aussi bêtement qu'expliqué dans le film.
Il ne s'était pas trompé de plante, il avait cueilli des carottes sauvages pendant plusieurs semaines sans se tromper. Son erreur avait été de manger des graines de carottes sauvages qui se sont avérées toxiques. Et à sa décharge, il faut dire que leur toxicité était alors inconnue. C'est seulement à la suite de sa mort que des études botaniques ont été réalisées pour le découvrir.

Citation:
Si vous aimez les films écolos et spirituels tournez vous vers le très bon et pourtant tros méconnu film clearcut dont le topic à été clos par la petite teub de film freak et sans véritable raison si ce n'est un manque de sens de l'humour , un abus de son pauvre petit pouvoir de frustré de modérateur associé à une pointe de jalousie de voir un film qui lui a échappé. Normal à 23 ans ça croit tout savoir et ça se prend pour un Monsieur.

Au moins si t'es banni, cette fois tu saurais la raison.


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MessagePosté: 17 Fév 2008, 11:33 
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