Forum de FilmDeCulte

Mais avoue que tu as les boules et que tu vas le revendre pour t'acheter une version correcte, avouuuuuuuuuuuuuuuuue.

lol. nan! steelbook c'est beau!

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Ah pour moi c'est clairement ça. Le père malgré sa tête de gentil est un gros taré qui n'a pas planqué sa fille pour la protéger et lui offrir une vie normale, mais pour préparer sa vengeance en l'instrumentalisant comme un gros chacal, et il ne vaut clairement pas mieux que Marissa. Pour lui pousser le bouton ne signifie qu'une chose: unleash hell.

Sauf que "personne" ne remarquera l'infraction de la règle des 180°.

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"Je suis prêt à accepter une tonne de qualité chez Spielberg" Lohmann

Ça serait pas la 1ère fois qu'un choix de mise en scène ne serait remarqué que par trois pelés et un tondu.

C'est quand même une règle basique qui, si elle n'est pas respectée (hors volonté du metteur en scène), est perturbante aux yeux de tout le monde.

Perso ça m'a "perturbe" (dans le bon sens : j'ai senti une étrangeté), mais j'avais pas capté le saut d'axe...

Je sais maintenant que c'est une déception, encore une...

J'apprécie l'énergie du film, la mise en scène dynamique, la bande son des Chemical Brothers, la classe visuelle générale, mais... je n'y ai pas cru une seule seconde, tout simplement. J'ai attendu sagement que ça se termine... mais c'est long!

2/6

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Alors le scénario est con comme la lune, enfin, disons comme un épisode d'Alias, quoi. Mais une fois que tu as compris ça, et que tu as compris aussi qu'on va t'epuiser de musique en permanence, de la soupasse sympatoche mais surtout hyper-envahissante des Chemical, bref en gros quand tu comprends qu'il ne faut se servir que de ses yeux, alors là, quelle claque. Mise en scène fabuleuse, décidément, complètement outrée, qui devrait sans cesse être écœurante mais que je ne peux m'empêcher de trouver sublime. Je n'arretais pas de me dire que dans son principe permanent de littéralité, dans son envie franchement réjouissante de réaliser un exploit par plan (le plan-sequence jusque dans le métro est exemplaire pour ces deux choses: pure fascination scopique pour ce tour de force impressionnant, et littéralité de la mise en images de l'action, camera virevoltante, mise en place des agents qui surveillent Bana, tags au mur "Une nation sous vidéosurveillance", publicité représentant des yeux gigantesques... C'est too much mais c'est kiffant!), dans son aspect série B grandie par un vrai plaisir ludique d'esthete, Wright avait quelque chose d'un Hitchcock moderne, quelque chose en tout cas du classique hollywoodien, généreux et malin, adorant mettre son amour de l'expérimentation au service de la narration. Décidément, tant pis, un jour il faudra que je regarde Le Soliste, malgré la purge que ça semble être... Maintenant Joe, faut te retrouver un script du calibre d'Atonement. Et faut se calmer, au son, tu peux faire confiance à tes plans: ils déboitent.

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Absolument, un parmi les nombreux choix de mise en scène très intelligents de Wright. Et puis depuis quand un raccord "faux" serait une faute? On les emmerde les règles de grammaire cinématographiques, on n'est plus à l'école.

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Scène d'action la plus molle du monde.

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J'aime beaucoup
Enfin j'aime surtout tout ce qui la précède, la baston c'est vraiment la portion congrue de ce moment, le plan-sequence commence bien plus tôt. La fin en sous-sol est moins intéressante. On sent que Wright a trop tiré sur la corde, n'a pas voulu faire deux plans, du coup il est obligé d'ecourter la baston, dont on se fout de toute façon. Après, il tente de s'en dépêtrer quand meme en jouant sur la sécheresse de l'affrontement vu qu'il veut pas le faire durer. Mais il abuse definitivement avec le jet de couteau final, à mon avis en synthèse.

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Me rappelle plus de ce plan-séquence, je retiens surtout l'incompréhension du montage dans la première scène d'action...

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Ah bon? Laquelle?

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Quand elle s'infiltre (ou s'évade, chais plus) du truc là...

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