jiko a écrit:
D'accord...
Mais tout ça devient très confus. Je suis pas sûr que quelqu'un ai dit que mois de proprio c'était plus de social.
En même temps, moins de proprio privé c'est peut être l'assurance d'un marché stable (faut voir l'inflation des loyers ces dernières années).
Et pas d'angélisme, juste un refus de certaines choses. Etre au courant des réalités, ça veut pas forcément dire tout accépter. Dire "c'est comme ça, c'est parfois injuste mais bon voilà" ça me chagrine un peu.
Globalement si puisque qu'il était signifier qu'il faut se réjouir qu'il y ait moins de proprio puisqu'ils ne cherchent qu'à spéculer sans tenir compte de l'humain.
Je ne sais pas si le marché serait plus stable sans proprio privé. Parce qu'au niveau public il n'y a pas les ressources pour assumer assez de logements sociaux. L'attribution de ces logements (vu leur nombre insuffisant) laisse déjà du monde sur le carreau et se fait en fonction de critères stricts (quid des gens qui dépassent légèrement les barres fixées ?). Comment le public pourrait gérer encore plus de demandes et pourvoir à ces besoins ?
comment le financer ? Et en le financement sur des prélèvements fiscaux supplémentaires, comment réunir ces sommes sans déséquilibrer les budgets de catégories s'en sortant globalement pour l'instant ?
Je suis d'accord avec toi pour dire que devoir juste faire la constatation de l'existence de difficultés c'est chagrinant. C'est difficile. Le truc c'est que je ne vois pas comment arranger ça globalement et définitivement. Toutes les solutions que je vois et que des gens plus compétents que moi semblent voir (vu les actions menées) ne me paraissent être que des expédients, des solutions de fortune bricolées au coup par coup selon les situations, les endroits, les urgences.
J'aimerais pouvoir faire qqchose mais je suis incapable de trouver une solution.