Forum de FilmDeCulte

Je te soutiens à 100% Jericho!

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Why there is so much trouble in this world?

Ce qui nous avance pas beaucoup !

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Ce film est une blague. Reste à voir si elle est volontaire ou pas.

2/6

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

C'est toi la blague.

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Non mais c'est un film volontairement drôle et ridicule quand même, au moins par moments. Ou alors c'est un gros navet.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Alors attention, très bon Romero!!!! Un film beacoup mieux maitrisé formellement que tous ses autres films de Zombis, beaucoup plus épuré comme le disait TBA, un changement d'axe total et radical qui accomplit réellement le travail de Romero. Si l'on suit l'évolution de ce travail sur le traitement de l'exclusion, on se rend compte que Romero devait finir ( ou passer par) par faire un film comme celui-là!

Après divers traiements sur les rapports de la société à ce qu'elle exclue, et qui lui revient dans la face, il était nécéssaire de traiter l'incompréhension fondamentale du phénomène et le recentrement du regard sur soi (celui des médias). Déjà, dans Zombie, les politiciens et journalistes dans la tour ne regardaient plus les Zombies, ils étaient derrière les caméras (objet déjà traité, donc par Romero d'une certaine manière) et ne captent rien. Ici, c'est la recherche d'un moyen de comprendre ce qui ce passe, avec les même moyens que ces grosses caméras de Zombie, mais dans un but inverse qui est recherchée. S'illustre alors la difficile prise de contact avec ce réel. Dans ce contexte, Romero illustre à merveille l'impossibilité d'en rendre compte optant pour les problèmes journalistiques des documentaristes aux attaques de Zombies elle-mêmes. Il nous oppresse en recentrant la caméra sur les vivants, en réduisant le champ alors que les morts sont tout autour. La possibilité d'echapper à la reproduction du schéma médiatique (chacun recentre la caméra sur lui et oublie l'autre, faisant d'ailleurs ressortir le rôle du mort-vivant comme exclu) reste mince, et n'apparaît qu'en de rares moments, où l'évenemnt est traité, et où il reste possible de transmettre (Les rares attaques de mort-vivant, la diffusion sur le net).

En fait, le rôle de ces journalistes est analogue à celui de Riley ou Cholo dans Land, ils sont au journalistes ce que ces dernier sont à Denis Hopper. Il faut trouver l'équivalent journalistique de ce rapport entre personnes voulant se protéger. La praxis est ici transposée sur le mode journalistique parce que le rapport à l'autre passe par ce biais.

Bref Romero a changé, et a donné un nouveau souffle à ses films de Zombies, tout en perpétuant et radicalisant son propre mouvement.

Et qu'on ne vienne pas me parler du rapport avec Rec, ou Cloverfield, ou même Redacted, le procédé est ici imposé par une démarche de longue Haleine, qui ne pouvait mener qu'à ce travail.

Un très bon 5,5/6

(Part I)

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Vendu.

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1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Lol. (mais ça se justifie, quand même...)

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Je rejoins Karl et black addiction. Ce film est d'une intelligence, d'une lucidité et d'une humanité bouleversantes. Quel plaisir de voir un tel concentré de sens dans le cinéma fantastique actuel. J'ajouterai à votre analyse la pertinence d'un discours parallèle, souvent drôle dans la forme, cinglant dans le fond, sur les dérives d'une certaine mouvance du cinéma fantastique actuel, sa vacuité (si l'atroce (pour moi) Zack en se sent pas interpellé, il n'aura rien compris).
La dernière scène est monumentale.

Vendu.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Non c'est toi.

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Hein? Pas possible.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
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2. Die.
3. Rot.

Tu avais décidé de pas aimer. Tu es un vendu à toi même.

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Ah non je l'ai regardé en toute honnêteté. Et ma note est plutôt généreuse pour un film qui pourrait mériter beaucoup moins!

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2. Die.
3. Rot.

Ouais mais dans ce cas là, tu pourrais en dire plus, quan dmême... Il me semble que tous les vendus à Romero font un effort que tu ne fais pas, ce qui te rend plus vendu qu'eux...

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs