Forum de FilmDeCulte

Ah chépas, moi je trouve que y a quand même une certaine ampleur dans le film, un scénario basique mais assez bien amené et puis bon des acteurs qui sont quand même à fond quoi... enfin moi je trouve.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Ah oui ça chuis d'accord, c'est l'énorme défaut du film. Insoutenable.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

ce qui est assez déplaisant dans ce remake, c'est le coté has-been de l'affaire. Sans compter que l'original, lui, avait 30 ans d'avance à sa sortie. C'est la mise en scène la plus expérimentale de son auteur.

L'entreprise de Corneau laisse la sensation d'avoir fait 10 pas en arrière.

Calmons-nous Tiny Tears... déjà le titre complet c'est 36, QUAI DES ORFEVRES.

(j'attends ton "Encore pire.")

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Bah c'est 10 pas volontaires quand même...

Le pari du film est loin d'être inintéressant, tout de même.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

c'est vrai mais le fait qu'ils foutent le 36 en gros m'avait fait immédiatement penser à 24 et je trouvais l'intention probable (faire ressembler l'affiche à celle d'un film policier américain) assez ridicule en regard du résultat final.

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Franchement sans être un vendu à Marchal, je trouve que 36 est un des rares films de ce type récent à réussir un mix pas trop foiré entre truc à l'américaine et univers/flics/acteurs français.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Oui alors ce dont parle Leo (Romy et les bières) c'est dans César et Rosalie, et il se trouve que dès le début, et encore plus par la suite, le personnage de Montand est montré comme un mec attachant mais très très fat et trop trop sûr de lui...
Pareil, ce même film, c'est quand même l'histoire d'une femme qui justement fait ses propres choix, indépendamment des hommes qui peuvent influencer sa vie.

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ah mais je n'ai rien contre les vendus à tel ou tel réalisateur.
par contre, sans parler de la misogynie, et je l'ai un peu oublié ce film, je me souviens de dialogues et d'acteurs particulièrement poussifs. genre l'ancien flic qui devient videur je crois... qui finit par péter les plombs.
et puis c'était tellement bourré de clichés.
enfin, je ne m'en souviens pas assez (joie!) pour en ressortir tout ce qui m'avait énervé, donc...

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une discussion sur 36, quai des orfèvres et une sur césar et rosalie, ça part vraiment dans tous les sens le deuxième souffle...

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Je confirme.
Pas un brin de mysoginie dans César et Rosalie. Rosalie ne fait au final que ce qu'elle veut.

Alors c'est une salope ...

Photo missionimpossibleIIIienne, musique matrixienne, violence miamivicienne, certes, mais derrière ces illusions de modernité et d'originalité (oui parce que je veux pas dire par là que le film essaie de se la jouer "à l'américaine") demeurent les oripeaux du film (de genre) français, avec tout ce que ça comprend de dialogues et de jeux qui sonnent faux et de facture parfois télévisuelle (HD super laide).

C'est quand même 2h36 (interdit ça) d'une longueur mais interminable d'autant plus que je ne ressens absolument, STRICTEMENT, jamais la moindre once de passion à l'écran.

Ca, des efforts, il y en a, ils sont visibles, et c'est bien, mais au final, le film ne communique rien, aucune passion.
Et comme l'histoire ne présente aucun intérêt (aucun attachement aux persos, rien, pas d'enquête ou de coups qui entraînent le spectateur) bah il ne reste quasiment rien à sauver.

J'aime beaucoup la toute première scène, très belle.
J'aime bien comment arrivent et disparaissent les personnages, sans qu'on ait besoin de le justifier, au gré du récit, de manière """réaliste""".

Et c'est à peu près tout.

2/6

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