Forum de FilmDeCulte

Wouah, c'est quand même pas top hein...plus ça avance et moins c'est bon...en fait, tant qu'on voit pas Kong, ça pourrait aller mais le gorille est vraiment trop ridicule...le masque change toutes les deux secondes, il marche comme un homme (quand il marche pas comme Bon Jovi), et y a des scènes qui tiennent du nanar (Kong qui souffle pour sécher Lange, avec les grosses joues enflées et tout...ridicule).

Et puis c'est un pur produit des '70s...je viens de faire un tour sur IMDb et je suis pas étonné de voir que le scénariste avait écrit A CAUSE D'UN ASSASSINAT et LES TROIS JOURS DU CONDOR...on nage en plein post-Watergate avec Jeff Bridges (et sa barbe pas possible) en zoologiste écolo Vs. Charles Grodin le méchant bureaucrate du pétrole qui veut presque génocider les autochtones, annihiler la flore et la faune et finit par embarquer l'autre gros Kong, pour en faire son sponsor façon Esso...

Encore que eux ça va, le pire, peut-être même pire que le costume à la Kong, c'est Jessica Lange. C'est probablement pas trop sa faute si elle joue à ce point mal vu la connerie de son personnage...d'ailleurs, niveau évolution de sa psychologie, vis à vis de Kong, c'est du fissa...

Enfin bref...reste que la mort de Kong (même si ça part vraiment en live niveau effusions de sang à gogo) demeure assez émouvante...comme quoi...

Mais bon, c'est pas fameux...

Bientôt, la même chose mais en mieux rédigé et accompagné de comparatifs avec le 33 et le 05 sur FDC!

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j'hésite à la revoir...Gosse, je me souviens avoir beaucoup pleuré à la fin lorsque c'était passé à la télé. Traumatisant

Roman Polanski, Michael Winner, et Sam Peckinpah ont tous les trois été contactés pour diriger le film, mais ont préféré refuser. Si John Guillermin n’était, à l’époque, pas le plus mauvais des faiseurs hollywoodiens (je n’ai pas vu La Tour infernale, mais il parait que ça se tient bien), on mesure à l’évocation de ces trois noms ce que le film aurait pu être (ok, pour Winner, ça se discute) : une œuvre violente, sèche, brutale, poétique (pour Polanski), glauque, romantique… Avec un budget conséquent pour l’époque (24.000.000$), le film aurait pu et du s’imposer comme la grosse production des années 70. Malheureusement, nous sommes loin derrière un Dents de la mer sorti un ou deux ans auparavant. Avec un fossoyeur de gros projets tels que le gros Dino de Laurentiis (Flash, Dune, Dragon rouge) à la production, avec Carlo Rambaldi aux effets-spéciaux (un gros King Kong de 12m de haut, mu par un système hydraulique, avait été créé et utilisé pour un ou deux plans, bonjour le gâchis de flouze – au final, ce King Kong a été baladé dans toutes les grandes villes du monde pour la promo du film, je me souviens encore l’avoir vu à Paris avec mes parents), avec Rick Baker appelé à la rescousse pour créer un costume taille humaine assez foireux, le film avait de grandes chances de se viander dans la connerie… Ce qu’il fait, par moments seulement, reconnaissons-le. C’est d’ailleurs assez étonnant de voir à quel point le film s’en sort bien par moments, et se plante à d’autres (généralement, dès que le grand singe est à l’écran). Les personnages sont bien souvent stéréotypés, voire franchement lamentables (Jessica Lange, putain, c’est non!!), mais l’histoire se tient à peu près. Le gros problème reste donc ce gros Kong est ses joues qui gonflent quand il souffle sur l’actrice. Puting kong !

2/6

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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Tiens M6 a bien fait son boulot hier et l'a diffusé en version non recadré (Chapeau!)...

Sinon je rejoins un peu ce que vous avez dit précédemment; les scènes avec Lange et Kong sont un peu ridicules et cassent l'unité du film mais hormis ça, l'apparition du singe est vraiment chouette, ainsi que sa scène de capture.

Les maquettes de New york sont vraiment peu nombreuses comparés à des films de monstres japonais antérieures ou de la même époque ce qui fait que niveau destruction massive, je suis un peu resté sur ma faim.
J'attendais aussi la fin avec impatience pour voir si elle réussirait à réveiller des souvenirs d'enfance et ça n'a pas raté, d'autant plus que les retrouvailles entre Bridges et Lange sont empêchés. Il y a un refus du happy-end qui m'a plutôt surpris.
Autrement ça y va plutôt fort en allusion sexuelles: lange (vraiment canon) débarquant d'un film porno, les airs réjouis de Kong...

J'ai revu que 10 minutes (quand ils arrivent sur l'île et sont découverts par les indigènes) mais entre la barbe de Bridges et Lange à moitié à poil complètement neuneu, au secours...

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Janet

Oui mais Lange à moitié à poil et ça, c'est...

Clair...Je viens de revoir le film de 33 et pour la scène de l'effeuillage Guillermin enlève tout le haut

Génial. Un bout de sein durant trois secondes, efleuré par une vieille main géante en plastique. Il vous en faut peu.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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rohhh on a le droit de rigoler