Forum de FilmDeCulte

Aie !!! Je savais pas que tu aimais avant.

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Bon, on verra demain.

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Je choisirai le camp de mon ressenti.

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faut développer là!

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ça sent le 3/6 ça...

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Ca veut dire quoi ça ? Que pour froisser personne je vais mettre 3/6 ? Mais bien sur... si j'ai le sentiment d'un 6 je mettrais 6.

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Ah c'est ça l'heure d'été? Des films sur le Musée d'Orsay avec Juliette Binoche à chaque fois?

yé plésantais pardon

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Tu plaisantais ? Pourquoi j'ai un doute ?

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je sais pas en tout cas moi je jokais

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Je trouve que le film pâtit de l'absence de Chu Tien-wen, la scénariste attitrée de Hou Hsiao-hsien. La démarche n'est pas si éloignée de Café Lumière : un film-hommage (à Lamorisse, à Ozu), une flânerie à demi-mots dans une ville étrangère (la France, le Japon), une esquisse de différends familiaux et sentimentaux... Mais là où Café Lumière en disait long (sur la solitude, presque apaisée, de l'héroïne, sur sa romance tacite avec Tadanobu Asano, sur la passion de Hou pour les réseaux ferrés, les lieux secrets, pour la lumière, la campagne...), avec une économie de moyens assez renversante, Le Voyage... tourne en rond. C'est l'effet ballon - ballonné. On respire moins, l'air est vicié par des effets un peu grossiers (les impros du Juliette Binoche axées principalement sur des crises de nerf et des disputes, par peur du blanc et du silence, par peur du plan-séquence). Le scénario est co-signé Hou et François Margolin son producteur français qui a sans doute influé sur le choix des lieux, des problèmes passionnants de location et de propriété... Et ce "rien à jouer", cette indécision, ces petits flottements si caractéristiques du cinéma de Hou perdent beaucoup de leur charme. J'aime bien Orsay, mais la conférence au musée n'était peut-être pas indispensable. Bon après ce n'est jamais un nanar, c'est pas comme si Dany Brillant ou Amélix venaient faire les cabots devant des tableaux de Seurat. Rien que Lee Pin-bing à la photo... C'est chiant mais au moins c'est beau.

3/6

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Yuddirladada part en rando

C'est clair, je suis curieux...
Je trouve le film charmant mais très mineur, et même assez oubliable 8 mois après. Et Yuddi n'a pas tort en soulignant l'absence de Chu Tien-wen...

oui, c'est un truc familial, les décors, le casting (le môme c'est le fils de l'attachée de presse et de Margolin, je crois), etc.

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C'est bien l'impression que la ba m'a donné. Tu avais aimé Café Lumière Leo ?

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c'est pas simple du tout ta phrase, j'ai rien compris.

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