Forum de FilmDeCulte

Oui mais bon toi et ton 6 à Jarhead.
Nobody's perfect.

J'aime quand tu fais de l'humour.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

J'avoue c'est limite insupportable là...surtout quand tu lis au boulot, interrompu toutes les 5 secondes pour reprendre 20min après...manque de concetration...je viens à peine de commencer, j'ai du mal à comprendre pourquoi il change de style comme ça dans la même "saga" après Le Dahlia Noir et Le Grand Nulle Part (pas lu L.A. Confidential).

En plus, je lis évidemment avec l'idée du futur film par Carnahan avec Clooney...je me demande ce que ça va donner...

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On a presque l'impression de lire un rapport de police ou la main courante..

L’histoire de Piscine Molitor Patel, dit Pi, fils du directeur du zoo de Pondichéry qui, lors d’un étonnant voyage sur un cargo japonais en compagnie de sa famille et de la ménagerie du cirque, fait naufrage et se retrouve seul sur une embarcation de fortune en tête à tête… avec un tigre du Bengale.

Un peu déçu. Parce que même si le récit est parsemé de jolies choses, apparitions de baleine et nuits d'orage, je pensais que le trip de retranchement me toucherait davantage et le pitch surréaliste serait mieux exploité. Je trouve que l'espace est toujours mal défini (alors qu'on joue pas mal sur ça), qu'il manque de tension sur le rafiot, et le style est un peu plat pour tenir jusqu'au bout de ces 200 pages d'étrange tête à tête (les 100 premières installent le décor). Pas désagréable mais je reste curieux de voir ce que Jeunet en fera à l'écran, la première partie me semble faite pour lui voire un peu redondante (le passage en revue des animaux, je le vois déjà dans ma tête), le reste sera plus inattendu peut-être. Ca peut être assez casse gueule. Shyamalan ça aurait été intéressant aussi.

3/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

un très mauvais bouquin



un homme racontées par uen dizaine femmes qui ont toute un nom à être sortiues d'Assurance sur la mort... et qui se finit non mais franchement ça te déplaît que je me masturbe *c'était mon message LAment PG -17*

Curieux, question de sensation, moi j'étais à fond dans le trip, progressivement, notamment sur la fin quand il commence à délirer par la soif et la faim...Le style est vraiment intéressant. Et la survie est finalement passionnante parce que crédible selon moi. L'auteur prend le temps de décrire sans ennuyer le déroulement, le processus...

(après, je sais pas si c'est un livre de métro...)

La première partie m'a parue un peu plus ennuyeuse, mais si intéressante dans son rapport aux choses, dans la construction de Pi, au sens où le héros est amené par son entourage et ses croyances à faire ce qu'il fait.





Pareil. Shyamalan nous aurait fait tripper la folie du personnage, Cuaron peut-être plus dans l'idée du survie, et Jeunet on pense au début forcément, et ça fait juste un peu moins envie.
Mais en adaptant intelligemment, y a un potentiel énorme.

Grand livre de l'intime par l'auteur génial de la moustache et de l'adversaire, et réalisateur du non moins puissant Retour à Kotelnitch dont je ne vous encourage à rien savoir de plus que la 4eme de couv:

Présentation de l'éditeur
La folie et l'horreur ont obsédé ma vie. Les livres que j'ai écrits ne parlent de rien d'autre. Après L'Adversaire, je n'en pouvais plus. J'ai voulu y échapper. J'ai cru y échapper en aimant une femme et en menant une enquête. L'enquête portait sur mon grand-père maternel, qui après une vie tragique a disparu à l'automne 1944 et, très probablement, été exécuté pour faits de collaboration. C'est le secret de ma mère, le fantôme qui hante notre famille. Pour exorciser ce fantôme, j'ai suivi des chemins hasardeux. Ils m'ont entraîné jusqu'à une petite ville perdue de la province russe où je suis resté longtemps, aux aguets, à attendre qu'il arrive quelque chose. Et quelque chose est arrivé : un crime atroce. La folie et l'horreur me rattrapaient. Elles m'ont rattrapé, en même temps, dans ma vie amoureuse. J'ai écrit pour la femme que j'aimais une histoire érotique qui devait faire effraction dans le réel, et le réel a déjoué mes plans. Il nous a précipités dans un cauchemar qui ressemblait aux pires de mes livres et qui a dévasté nos vies et notre amour. C'est de cela qu'il est question ici : des scénarios que nous élaborons pour maîtriser le réel et de la façon terrible dont le réel s'y prend pour nous répondre.

Sur ma guest-list, ça.... vais-je attendre la version poche ?

The History of Love de Nicole Krauss.

6/6, à mettre entre toutes les mains.




*court mais clair...*

Tout le monde ne maîtrise pas le braille...

Bah c'est très bien, ça se lit vite (presque 400 pages pourtant), c'est une belle histoire, tout ça.



Ça te va mieux, là?!

J'te rigolais... "entre toutes les mains"/"braille" tout ça... lalala...

Ah ouais quand même.


elles sont comment, tes fesses?

Alors douces, pommelées et poilues.