Forum de FilmDeCulte

Bien installé dans la petite ville de Green Hills, Sonic veut maintenant prouver qu’il a l’étoffe d' un véritable héros. Un défi de taille se présente à lui quand le Dr Robotnik refait son apparition.

Le premier était sympa et inoffensif. Celui-ci a pour valeur ajoutée l'apparition de deux nouveaux personnages: Knuckles, un méchant qui va s'allier à Jim Carrey, sorte de Conan avec un humour très Drax des GARDIENS DE LA GALAXIE ; et l'hyper-attachant Tails, qui peut faire l'hélicoptère avec ses deux queues. Ces deux protagonistes sont finalement bien plus attachants que Sonic lui-même.

Ensuite l'histoire est basique mais bien menée, avec des enjeux qui se reconfigurent et s'aggravent au fur et à mesure de l'histoire. Très bon midpoint. Et puis c'est assez généreux dans l'action, je m'y attendais pas. Bref, sympa pour le jeune public.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

C'est James qui a écrit la critique?

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C'est l'enfant en moi.

make of that what you will

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

L'adulte en moi, prochain livre de Bastien Vivès.

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Looks like meat's back on the menu, boys!

De l'extérieur seulement.

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J'ai vraiment cru à un glow up sur le premier acte. Le héros m'a paru moins casse-couilles, l'humour vaguement plus inventif et même la photo paraît un peu plus soignée (enfin sauf sur les scènes de jour toutes plates)... Mais très vite, on se retrouve face à une bête quête de McGuffin qui va encore recycler des blockbusters passés, de The Dark Knight à Indiana Jones, jusque dans la caractérisation (Knuckles en mode Drax) et l'imagerie (oh un bon vieux "rayon vert qui fend le ciel à la verticale" comme si on était encore en 2012).
Les nouveaux personnages sont sous-exploités (Knuckles fait quasiment de la figuration avant le dernier tiers, Tails est juste là pour les gadgets et pas "hyper-attachant" du tout) et les anciens sont littéralement radiés de l'intrigue pendant une heure et, aussi falot soient-ils, ils manquent un peu (avant de s'avérer superflus quand ils intègrent enfin le récit).
Cette fois, le scénario essaie d'articuler un autre propos, autour de la notion de héros, un thème là aussi hérité de toute une vague de film de super-héros qui ont déjà plus de 15 ans, et le fait moins bien alors qu'il dispose de CENT VINGT-DEUX MINUTES.

Encore une fois, il n'y a rien de lamentable, pas de fautes de goût, mais ça se casse pas beaucoup la nénette.

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