Forum de FilmDeCulte

1. Blanche-Neige et les Sept Nains (Snow White and the Seven Dwarfs) — David Hand, 1937
2. Pinocchio (id.) — Hamilton Luske, Ben Sharpsteen, 1940
3. Fantasia (Walt Disney's Fantasia) — Ben Sharpsteen, 1940
4. Dumbo, l'éléphant volant (Dumbo) — Ben Sharpsteen, 1941
5. Bambi (id.) — David Hand, 1942
6. Cendrillon (Cinderella) — Ben Sharpsteen, 1950

7. Alice au pays des merveilles (Alice in Wonderland) — Clyde Geronimi, Wilfred Jackson, Hamilton Luske, 1951



Encore un film dont je n'avais aucun souvenir propre, me rappelant uniquement de tout ce qui a imprégné la culture populaire.
Putain comme ça stresse comme film. Je suis partagé entre mon admiration de l'inventivité générale - enivrante dans ses jeux de mots, les "règles" de son univers, la richesse du monde - et mon agacement face à l'hystérie non-sensique qui domine le film. Le rythme frénétique de cette succession de saynètes où le n'importe quoi va vraiment trop loin m'a souvent laissé sur le carreau. Alors contrairement aux Disney précédent, le film a le mérite de n'avoir aucune séquence "faible", tout est high pitched tout le temps, mais, un peu comme un Lynch pour mômes, l'indéniable terreau symbolique reste trop peu user-friendly pour réellement m'intéresser et surtout, avant toute chose, m'impliquer.

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C'est Clyde Geronimi qui réalise, non

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Arguing on the internet is like running in the Special Olympics. Even if you win, you're still retarded.

Ils sont trois crédités à la réa mais en aucun cas Ben.

Tout comme Bob, je n'avais aucun souvenir de mon visionnage enfant.

Quel film absolument dingo. 1h15 de pure déjantage. Contrairement à d'autres Disney qui auraient aussi bien pu être des capes et épée ou des love story live action, celui-ci utilise le plein pouvoir de l'animation pour un résultat jusqu'au-boutiste et unique.

Mais bon sang qu'est-ce que c'est crispant. On pourrait arguer que c'est the stuff nightmares are made of et que c'est justement le but, mais ces tronches, ces ciels post-apo, ces mutations digne de Téléchat m'ont glacé le sang. Et puis y a zéro aboutissement, c'est juste un trip.

Ça pue le "film préféré des gens qui n'aiment pas Disney".

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

c'est tellement ça. Je ne connais aucun enfant qui le cite spontanément.

Je détestais le film gamin. Mais curieux de le revoir, du coup, parce que c'était l'étrangeté du truc qui me hérissait.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Revu il y a quelques années et j'ai trouvé ça un peu horripilant.