Forum de FilmDeCulte

Une surfeuse seule sur une plage paumée. Un requin. Un récif. La survie.

Bon petit pitch pour un thriller d'1h26 qui, s'il met un poil trop de temps à démarrer (je suis pas venu voir des scènes de surf, même si les plans sous-marins sont beaux) et s'avère parfois grossier dans l'écriture (la caractérisation au forceps, notamment dans les dialogues super didactiques) et dans la forme (un peu trop de ralentis inutiles, une BO assez vulgos qui flingue la tension), tient plutôt la route.

Jaume Collet-Serra accouche de films d'exploitation bien plus divertissants quand il fait dans le huis-clos concept (Non-Stop, Instinct de survie) que dans l'horreur (le moyen La Maison de cire, le ridicule Esther) ou le Liam Neeson movie à vocation dramatique (les ratés Sans identité et Night Run).

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Excellente tagline.

Rotary va adorer.

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Netflix les gars, Netflix.

J'ai pas trop aimé cette héroïne un peu fade et agaçante. Ils lui mettent un problème en background qui n'est pas forcément très développé, et son côté insupportable ne change pas du début à la fin du film (comme on aurait pu penser que ce fut le cas, avec un problème aussi grave).

La tension me semblait fonctionner, sinon, avec un film qui ne semble pas trop long (c'était le danger, avec un pitch aussi simple).

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Chess is art

Collet-Serra confirme son sens du découpage.

3,5/6

Orson le nouveau Kost...
Si t'as rien à dire c'est pas la peine de te forcer tu sais. Tu auras sans doute plus ta place sur Vodkaster.

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CroqAnimement votre

J'allais dire la même chose...

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Je me suis pas forcé et j'avais un truc à dire

Surtout la première demi-heure pour les jolies scènes de surf avec quelques plans furtifs sur le boule et les gros seins de Blake Lively.
Sinon d'accord avec le Freak, un bon film concept qui est assez efficace et pète pas plus haut que son cul. La mise en scène de Collet-Serra est carrée et contient même de bonnes idées (l'instant chrono), il y a de bons moments de tension et surtout on ne s'ennuie pas ce qui n'était pas gagné vu le pitch du film. J'aurais coupé la dernière scène au Texas, le background psychologique sur la mère ne me dérange pas plus que ça (bon excepté l'image quand elle reprend conscience sur la plage) surtout qu'il permet de nous rendre plus humaine l'héroine et je ne le trouve ici pas trop lourd.

4/6

Je la trouve craquante, envie de la péter tout le long du film.

Ouais, ça peut se comprendre, c'est un peu fait pour. Et sur ce plan-là c'est surtout une question de point de vue, à mon avis.

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Chess is art

Sympa, basique, plutôt bien géré. On s'ennuie pas. Le meilleur moment niveau gestion des attentes c'est On aimerait qu'il y ait un peu plus de moments comme ça.

Sinon, déçu par et gavé par un abus de fonds verts.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Et de masques numériques de Lively collés sur le visage de sa doublure pendant les scènes de surf, a fortiori au ralenti.

C'est très sympa. Petit film court cool. Ya des belles images, des jolies idées. La réa n'a aucun génie mais fait le taff.

Que ceux qui critiquent Gravity pour le trauma du personnage principal regardent ce film, pour qu'ils comprennent ce qu'est vraiment un film qui se rate sur ce point.

Blake, jla pète. Le chir a fait du bon boulot, avant j'y touchais pas.

4/6