Forum de FilmDeCulte

J'ai argumenté dans mon premier message et j'ai écrit deux critiques sur le sujet. Sinon, as-tu vu Troubles, Time Bomb etc etc ?

Va falloir revoir la définition d'"argumenter" parce que ça tient du foutage de gueule là...et sinon, je remets pas en cause l'existence d'un genre qui serait le "thriller avec confusion d'identité" mais ça ne change rien aux similitudes entre les intrigues de Total Recall et Unknown...l'idée du mec qui se croit un individu lambda et se retrouve au coeur d'une conspiration qui remet en cause son identité jusqu'à ce qu'il découvre qu'il est en réalité un assassin qui avait lui-même crée cette couverture afin d'approcher de sa cible, c'est la même histoire!
Tu te focalises trop sur le fait que l'un est de la SF (où le mec se prend pour sa couverture parce que la fausse identité est implantée dans son cerveau) et l'autre non (où le mec se prend pour sa couverture parce qu'il a eu un accident et ne se rappelle plus que de sa fausse identité).
Et comme je l'ai indiqué, les personnages sont les mêmes, ça va au-delà de l'archétype.

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Il y a aucun foutage de gueule, bien au contraire. Comme je n'ai pas dit que c'était le chef d'oeuvre du siècle mais une série B bien foutue, que veux-tu que je te dise ? Faut-il que je me pignole sur ce que le réalisateur a voulu faire passer genre Michael Bay-The Island style ? Non. MERCI. Faut-il que je reprenne l'histoire du projet et décrive la note d'intention du dossier de presse ? Non. Merci.

Et je ne change rien à ma critique matchienne.
«Sans identité» de Jaume Collet-Serra («La maison de cire» avec Paris Hilton, «Goal II») respecte le cahier des charges et le spectateur à la recherche d’une série B pour se divertir. Adaptée d’un roman de Didier Van Cauwelaert, l’intrigue suit le combat d’un homme dépossédé de son identité après avoir été plongé dans le coma. Dans le rôle de ce médecin paranoïaque, Liam Nesson emmène ne vraie touche d’humanité, alors que le casting féminin – Diane Kruger en réfugiée bosniaque, January Jones – apporte touche de charme toujours présente dans les productions Joel Silver. Et comme l’action est plutôt efficace et que la ville de Berlin diffuse son atmosphère si particulière, post-Guerre Froide, «Sans identité» se suit avec un certain plaisir, même s’il faut veiller à ne pas trop réfléchir aux invraisemblances du scénario.

Et sur Total Recall, tu es toujours aussi à l'Ouest. Dans Sans identité, il n'y a jamais ambiguïté dans la résolution de l'intrigue, jamais remise en question de la réalité concrète. Après, oui, il y a bien doute sur l'identité mais comme dans 800000 films, dont de nombreux films à l'ambiance réaliste bcp plus proche (et tu n'as pas répondu sur Troubles et Time Bomb).
Et je te renvoie à ça:
http://archive.filmdeculte.com/coupdeprojo/dick.php

Tu peux t'en passer, FF !

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

"Série B basique mais assez efficace, avec mon ami Liam, Diane Kruger en réfugiée bosniaque - là, j'avoue avoir du mal à comprendre le casting et ma chouchoute du moment, January Jones. La révélation finale est un peu prévisible, mais je trouve ça bien fagoté.

4/6"

J'appelle pas ça argumenter...mais bon. Passons.


T'as raison, continue à pondre des critiques à la Prout Man. Much more interesting.


Je n'ai parlé que de la trame, du twist et des persos...je dis justement que le film n'exploite rien thématiquement.


Mais c'est pas juste le doute sur l'identité putain, c'est le twist qui est le même (un mec qui se prend pour la couverture qu'il a lui-même crée afin d'approcher une cible qu'il doit assassiner) avec des persos identiques.


Encore une fois, tu cherches à éloigner les deux films en parlant de genre, d'ambiance, en me citant d'autres films...moi, je ne fais que comparer L'INTRIGUE, le TWIST...c'est quoi ton prochain "argument"? Que dans Unknown y a pas de femmes à trois seins donc c'est pas copié?


Pas vu Troubles...quant à Time Bomb, s'il s'agit du sous-film avec Michael Biehn, je l'ai vu à l'époque sur Canal. J'ai préféré oublier.


Justement, c'est ce qui m'a étonné.

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CHEF D'OEUVRE.

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LOL

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N'écoutez pas Film Freak

Troubles (Shattered) de Petersen est un de mes films Néo-Noir préférés. Un genre de soap opera qu'aurait pu réalisé Hitchcock. Ça m'a aussi fait pensé aux pastiches des "soap" que Zemeckis a fait dans son Back to the Future part II (les segments du futur), et Death Becomes Her. Mais ça a peut-être à voir avec la musique de Alan Silvestri.

Sinon, je rigole vraiment de vous lire. C'est vraiment récurrent ici de vouloir constamment appuyer un point de vue (qui est personnel) en ressortant des chiffres "opinion public" de chez IMDB ou Rotten Tomatoe. Mais qu'est-ce qu'on en a à battre?

En même temps, c'est le forum qui demande ça. Car quand tu te tiens tout seul avec une appréciation trop différente de la masse, tu te fais rentrer dedans allègrement ici-bas. Faut pas s'étonner de voir des foruméens accumuler des preuves IMDB comme conviction que leur esprit est conforme, donc en santé. Bonjour la cour d'école.

Sinon, merci pour les spoilers hein.

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"marre du retour infini de ce topic"

Je l'ai indiqué en majuscule dès mon premier message.

Bonjour l'analphabète.

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Oh ben, il est pas si mauvais que ça, ce film... C'est parfois un peu n'importe quoi mais y a un réel plaisir de série B à la hitchcock (sous-hitchcock plutôt).

Donc si je devais arbitrer le match, je dirais que Karloff a raison.

3/6

Pauvre K, le coup de grâce.

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Pourquoi Hitchcock? (ou même sous Hitchcock?)

C'est pour faire une généralité ou y a un vrai truc qui rappelle Hitchcock et son cinéma?

(Je ne compte pas voir Sans Identité je crois, ça ne m'intéresse pas, mais j'aimerais savoir ce qui peut rappeler là dedans le meilleur réalisateur du monde)

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Moins dans le style que dans la structure du récit, notamment la première partie où le héros semble accusé à tort et doit trouver la vérité... Et cette efficacité dans la gestion du suspense.

Je suis sûr que tout le monde se revendique d'abord d'Hitchcok que de KDick d'ailleurs... Ce dernier n'a pas inventé l'usurpation d'identité comme moteur narratif.

K. Dick c'est pas tant l'usurpation d'identité que le trouble identitaire...
Pour schématiser :
Chez Hitchcock, un mec est pris pour un autre.
Chez K. Dick, un mec se prend pour un autre.

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