Forum de FilmDeCulte

Le forum cinéma le plus méchant du net...
Nous sommes le 23 Nov 2024, 12:29

Heures au format UTC + 1 heure




Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 130 messages ]  Aller à la page 1, 2, 3, 4, 5 ... 9  Suivante
Auteur Message
MessagePosté: 17 Jan 2008, 13:58 
Hors ligne
Meilleur Foruméen
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 25 Nov 2005, 00:46
Messages: 86858
Localisation: Fortress of Précarité
J'étais loin d'être un des détracteurs de la section News (dégoûtés ou morts de rire devant les images) mais j'étais cependant vraiment sceptique.

Je ne doutais pas un instant que les efforts et les bonnes intentions seraient au rendez-vous mais les maladresses peuvent vite arriver et un résultat similaire aux deux précédentes suites était possible.

Pour info, mon avis sur la saga :
http://forum.plan-sequence.com/viewtopi ... ight=rambo

Et bien au vu du film, je suis réconforté sans être non plus surpris.

Stallone promettait un retour à l'esprit du premier film et effectivement, on retrouve à la fois une violence certaine (qui sait tirer profit du gore des films de guerre récent) et un intérêt apporté au personnage (plus en tout cas que dans les II et III).

Le problème, pour toute suite de Rambo, c'est qu'il est IMPOSSIBLE de refaire le premier...un mec revient traumatisé du Vietnam, il est injustemment pourchassé par les flics dans un monde finalement aussi hostile que celui qu'il a quitté et il ne sait faire plus qu'une chose : survivre. Et à la fin, il craque dans une scène émouvante.

C'est juste plus possible de réitérer ça par la suite, tu peux pas appliquer la formule Die Hard. Il n'y a pas non plus un univers à la Terminator que tu peux développer au travers d'une trame qui prend plus d'ampleur.

Alors tu prends la seule chose que le perso sait faire, tuer, et tu fais la seule chose que tu peux faire, un film d'action où il passe son temps à tuer des gens.

Donc dans les suites, on a eu implacablement Rambo recruté pour tuer 150 personnes à lui tout seul ou presque.
Oublié le traumatisme du mec, tsais...limite guéri...

Alors évidemment, quand Stallone décide de revenir à l'esprit du premier, il se doit de traiter de ce traumatisme...on retrouve donc un Rambo plus désabusé que jamais, qui envoie chier tout le monde, qui ne croit plus en rien, etc...

Et à l'instar de Rocky Balboa, le récit tente d'apporter une résolution au parcours du personnage...Si évidemment il est impossible d'approcher la force évocatrice de la saga Rocky (parallèle de la vie de l'acteur/scénariste/réalisateur), l'ambition est là...et globalement réussi.

Ca reste malheureusement un peu trop light à mon goût...le problème étant également que Rocky n'a jamais été un film ancré dans son genre apparent (le film de sport/boxe) mais tout d'abord un drame, avec un protagoniste. Du coup, toutes les scènes comptent.
Rambo, même le premier, reste quand même en grande partie un film d'action/survival au demeurant intelligent, avec du fond.

Alors si Rocky Balboa se faisait important à chaque scène, John Rambo a un peu le cul entre deux chaises : film sur un perso et film d'action bourrin.

Les deux marchent plutôt bien mais auraient mérités d'être mieux mariés ou plus exploités à mon goût.

Parce que là, entre les scènes qui explore le perso (ses dialogues face aux religieux là, son rêve-flashback, ce qu'il représente face aux mercenaires ou aux soldats birmans) et les scènes de boucherie (toutes énormes même si dans le climax, le gore tend à tourner à vide parce que trop répétitif alors qu'il était jusque là super tripopreneur), y a pas mal de scènes qui traînent la patte, séquences fonctionnelles obliges d'un film d'action (je pense notamment au mini ventre mou entre le moment de la capture et l'arrivée de Rambo avec ses flèches).

Après, je trouve ça souvent fort...attention, si Rocky Balboa n'était pas fin, John Rambo l'est encore moins...C'est très premier degré et ça peut vite paraître grossier ou pire ridicule ou pire honteux ou pire...comédien (cace-dédi).

Mais chez moi ça passe.
J'adore la scène du "jeu" cruel des soldats au début (la première explosion putain pfooo), j'adore la scène où il s'énerve contre Michael Burnett ("Who are you???"), j'adore la scène du rêve (même si elle est trop longue), j'adore la fin (boucle bouclée) et j'adore Stallone, il est énorme, au sens propre comme figuré, dans le film.

J'aime aussi que dans la conrontation entre la cause (de Rambo) et la foi (des religieux), le discours ne soit pas trop appuyé (on évite Rambo qui porterait son pendentif avec une croix à la fin par exemple).

Et j'aime la mise en scène, qui bouge bcp dans les scènes d'action sans être confuse, qui se fait aussi froide que pour Rocky Balboa (très kakhi et pas vert émeraude comme bcp de films de jungle, cf. les premières scènes presques délavées), avec cette même caméra portée, etc...


C'est beaucoup plus imparfait que Rocky Balboa (scénario très basique, persos super archétypaux) mais il n'y a pas à rougir.


4-4,5/6

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 17 Jan 2008, 14:22 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 11 Juil 2005, 11:52
Messages: 5388
Localisation: in Baltimore with Mcnulty
Tu me donnes envie c'est déjà ça....

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 17 Jan 2008, 14:27 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 11 Juil 2005, 11:52
Messages: 5388
Localisation: in Baltimore with Mcnulty
hal5 a écrit:
Certes le film n'est pas dénué de défauts, certes il n'a pas l'aura émotionnelle que dégage Rocky Balboa, mais putain... WHAT A FUCKING HARDCORE MOVIE !!!!!
Ce que j'aime par dessus tout dans ce film, c'est son état d'esprit, le côté brutal, sauvage qui dévaste tout sur son chemin au travers d'un personnage transcendé, qui délaisse les oripeaux iconiques et outranciers du 2 et 3 pour mieux revenir aux sources du mythe. Le titre l'annonce, c'est évidemment le personnage en tant qu'humain qui intéresse Stallone dans ce nouvel opus. Il réussit ainsi à reproduire la même formule que pour son précédent film : traiter avec un 1er degré ahurissant de réalisme une figure que l'on pourrait croire figée dans le passé, pour mieux en faire ressortir toute la dualité et la noirceur. Car John Rambo est un film véritablement enragé, pour ne pas dire engagé. De tous les côtés, dans tous les plans, c'est comme si on avait lâché un personnage tout droit sorti d'un film de Rob Zombie croisé avec un Snake Plissken en mode über-badass. De la folie furieuse.
John Rambo exhale une telle brutalité qu'il en devient presque un objet conceptuel : une fascinante plongée dans la jungle, sans concession, sans une once d'humour, avec en ligne de mire le parcours d'un homme perdu dans son propre chaos intérieur (fabuleuse scène de rêve/flash back avec un plan surprise). John Rambo rejoint ainsi Rocky Balboa dans cette façon de finalement dresser le portrait d'un seul homme : Sylvester Stallone, qui évacue devant nos yeux écarquillés sa propre rage à l'écran... there's still some stuff in the basement.

John Rambo, c'est donc le nouveau Stallone, et franchement, ça te déboite le ventre bien comme il faut. 5/6


Putain les gars...

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 17 Jan 2008, 14:29 
Hors ligne
Vaut mieux l'avoir en journal
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 15:21
Messages: 22923
Localisation: Paris
Après le 4.5, après le 5, voici le 5.5/6

Le choc absolu, je partais conquis en espérant au moins un 4/6, je me retrouve avec un film d'une brutalité inouie, totalement désespéré (le discours sur la guerre est totalement nihiliste dans sa morale finale), sur un personnage qui n'en finit plus de cultiver sa solitude.
Stallone reprend presque point par point la construction narrative de son film précédent, et livre non seulement une performance d'acteur magnifique, mais aussi et surtout une très bonne mise en scène. Y a pas à dire, ce mec est doué.
Et je le répète : le film est monstrueusement violent !

Putain, ça fait du bien !!!!!

_________________
Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 17 Jan 2008, 14:30 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 11 Juil 2005, 11:52
Messages: 5388
Localisation: in Baltimore with Mcnulty
Cosmo a écrit:
Après le 4.5, après le 5, voici le 5.5/6

Le choc absolu, je partais conquis en espérant au moins un 4/6, je me retrouve avec un film d'une brutalité inouie, totalement désespéré (le discours sur la guerre est totalement nihiliste dans sa morale finale), sur un personnage qui n'en finit plus de cultiver sa solitude.
Stallone reprend presque point par point la construction narrative de son film précédent, et livre non seulement une performance d'acteur magnifique, mais aussi et surtout une très bonne mise en scène. Y a pas à dire, ce mec est doué.
Et je le répète : le film est monstrueusement violent !

Putain, ça fait du bien !!!!!


Putain....... j'aime ce mec (stallone je précise)

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 17 Jan 2008, 15:39 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 16:48
Messages: 11648
Localisation: in the forest of the Iroquois
Et le "Je préfère mourir pour une cause que vivre...", c'est ... justifié? c'est quoi?


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 17 Jan 2008, 15:40 
Hors ligne
Meilleur Foruméen
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 25 Nov 2005, 00:46
Messages: 86858
Localisation: Fortress of Précarité
Noony a écrit:
Et le "Je préfère mourir pour une cause que vivre...", c'est ... justifié? c'est quoi?


Ca fait partie de l'évolution de son perso au cours du film et ça fait partie d'un truc qu'il dit à un mercenaire pour le convaincre.

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 17 Jan 2008, 16:43 
Hors ligne
Vaut mieux l'avoir en journal
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 15:21
Messages: 22923
Localisation: Paris
Un avis un peu plus construit :


Sylvester Stallone avait su créer l’événement avec Rocky Balboa, magnifique œuvre sur la vieillesse, sur l’oubli et le deuil… Pouvait-il confirmer nos attentes, créer le doublon avec ce nouveau film, et clôturer dignement sa seconde grande saga ? La réponse a éclaté ce matin aux yeux des spectateurs chanceux qui ont pu assister à la projection de presse à Paris : OUI, Sylvester Stallone a bien réussi l’impossible, et un an après Rocky Balboa, il écrit et réalise une nouvelle œuvre majeure. Une bombe incroyablement désespérée, nihiliste (le message final est glaçant de découragement), engagée, à la structure narrative très proche de son film précédent. Le personnage est largement approfondi (son passé, son avenir, sa solitude, et surtout cet exorcisme dans lequel Rambo accepte finalement son destin de machine guerrière) dans des scènes où le jeu nuancé de Sylvester Stallone fait merveille. Mais ce qui surprend le plus dans ce nouveau film, c’est cette incroyable violence qui va au-delà de tout ce qu’on a pu voir sur un écran de cinéma : John Rambo est un long-métrage direct et très court, à mi chemin entre la bande d’exploitation indonésienne des années 70 et le cinéma de guerre plus moderne, d’une brutalité extrême, dans lequel les combats semblent authentiques et se déroulent véritablement sous nos yeux à travers des plans filmés caméra à l'épaule. Corps qui explosent, membres déchiquetés, femmes violés, enfants sacrifiés, le tout éloignant ainsi ce nouveau métrage du cinéma d'action que les deux précédents épisodes avaient redéfini voici vingt ans. Le petit ventre mou d'une durée de quinze minutes, qui ralentit le film en son milieu, ne l'empêche pas de s'imposer comme l'un des meilleurs de ce début d'année, et le second de la saga après Rambo 1.

5.5/6

_________________
Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 17 Jan 2008, 17:13 
Hors ligne
Vaut mieux l'avoir en journal
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 15:21
Messages: 22923
Localisation: Paris
Noony a écrit:
Et le "Je préfère mourir pour une cause que vivre...", c'est ... justifié? c'est quoi?


J'avais très peur de cette phrase, que je trouve assez naze dans la ba. Finalement, elle est assez anodine dans le film, et n'a qu'une importance très très moyenne.

_________________
Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message:
MessagePosté: 17 Jan 2008, 22:01 
Hors ligne
Schtroumpf sodomite
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 22 Mar 2006, 22:43
Messages: 24601
Localisation: Arkham Asylum
Cosmo a écrit:
Noony a écrit:
Et le "Je préfère mourir pour une cause que vivre...", c'est ... justifié? c'est quoi?


J'avais très peur de cette phrase, que je trouve assez naze dans la ba. Finalement, elle est assez anodine dans le film, et n'a qu'une importance très très moyenne.


Tout a fait. Elle figure là en plein dialogue (plutôt convaincant d'ailleurs) et n'est pas du tout représentative de "l'idéologie" du film comme tente de nous faire croire l'immonde BA.
Bon, sinon, je suis assez d'accord avec tout ce qui a été dit. J'aime le côté simple du film, son aspect brute de décoffrage. Ca lui donne de l'ampleur. Et puis ca fait du bien un bon divertissement brutal avec des corones de buffle qui s'étale pas dans l'esthétisme surléché pour tafiottes en friche bordel de merde !

Sur ce je vous dis au revoir, car je suis parti pour ne pas avoir d'Internet pendant plusieurs jours ! :cry: *

*Connards d'Orange !

_________________
N'écoutez pas Film Freak


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 19 Jan 2008, 13:59 
Hors ligne
Vaut mieux l'avoir en journal
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 15:21
Messages: 22923
Localisation: Paris
Maintenant, je veux l'avis de Yuddi !!!

_________________
Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 20 Jan 2008, 03:30 
Hors ligne
Cat Power
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 20 Juil 2005, 05:08
Messages: 1924
Cosmo a écrit:
Maintenant, je veux l'avis de Yuddi !!!


Il était une fois Rambo & Yuddi

Alors Rambo et moi, c'est une amourette du CM2, j'ai entrevu le premier film à la télé, avec la couette remontée jusqu'aux sourcils. Et puis j'ai dû le revoir - dans la clandestinité parentale la plus totale - avec mes yeux purs et écarquillés trois ou quatre fois avant mes 13 ans. Le walkman Aiwa a souvent accueilli la K7 de la BO rembobinée avec l'index (en même temps que celle de Rocky IV). Aujourd'hui, quand j'entends "It's a long road" de Dan Hill, je me revois en train de couvrir mes livres de la Bibliothèque Verte ou de faire des dictées à mes peluches.

Oui mais tout ça on s'en fout.

Oui mais non tu vas voir ! En dépit des ravissantes et répétées bouses auxquelles il a pu participer *bon Over the Top c'est top*, Stallone est resté pour moi l'incarnation parfaite du taureau déconfit, moitié forgeron graissé de mazout, moitié nounours brailleur sur laquelle toute la merde du monde glisse sans trop s'incruster avec une belle simplicité. Et je crois que c'est ça qui m'émeut aujourd'hui, dans Rocky Balboa ou John Rambo, au-delà de leur âpreté, leur puissance nostalgique, et leurs indéniables qualités formelles : reconnaître ces paupières croulantes, ces sourcils taillés en circonflexe, voir rôder comme une chaussette sale cette masse de muscles outrancière et difforme qui trébuche, peine à parler, "tue pour lui-même" parce qu'il ne sait faire que ça. John Rambo - oui ouf on y vient -, repose donc entièrement sur le charisme d'un Stallone essoré, dépassé, d'une lucidité glaçante sur son personnage, un poil limité faut bien le reconnaître (le premier film avait déjà tout dit, tout craché). Le scénario condense des figures imposées, mais comme le film est court (1h30), virulent et d'une étonnante solennité, on a tout le temps de méditer sur Stallone l'acteur et Rambo l'ex supplicié qui court ici beaucoup moins qu'en 1985 et finit comme il se doit en bon garçon boucher. C'est moins "Rambo seul contre tous" que "Rambo au-dessus de tout", consciencieux mais blasé. Donc voilà, j'ai aimé pour toutes ces raisons excentriques et périphériques. Ce n'est pas un film énorme, c'est un bon petit film sec et carré avec un acteur énorme.

4/6

_________________
Yuddirladada part en rando


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 20 Jan 2008, 04:03 
Hors ligne
Successful superfucker
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 28 Déc 2006, 21:20
Messages: 8711
Que c'est bien écrit. *ça mérite un chèche*


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 05 Fév 2008, 16:58 
Hors ligne
Matou miteux
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 05 Juil 2005, 13:48
Messages: 12933
Localisation: From a little shell, at the bottom of the sea
Est-ce que ça a un intérêt si on n'a vu aucun des trois premiers (juste en réaction à mon frère qui, lui, les matait en boucle)?

_________________
Doll, it's a heartbreaking affair


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 05 Fév 2008, 17:00 
Hors ligne
Schtroumpf sodomite
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 22 Mar 2006, 22:43
Messages: 24601
Localisation: Arkham Asylum
Blissfully a écrit:
Est-ce que ça a un intérêt si on n'a vu aucun des trois premiers (juste en réaction à mon frère qui, lui, les matait en boucle)?


Là, comme ça, sans réfléchir, je dirais oui.

_________________
N'écoutez pas Film Freak


Haut
 Profil  
 
Afficher les messages postés depuis:  Trier par  
Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 130 messages ]  Aller à la page 1, 2, 3, 4, 5 ... 9  Suivante

Heures au format UTC + 1 heure


Articles en relation
 Sujets   Auteur   Réponses   Vus   Dernier message 
Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. John Rambo - Director's Cut (Sylvester Stallone, 2010)

Cosmo

1

1604

20 Aoû 2010, 09:53

Ozymandias Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Rocky (la saga) (John G. Avildsen & Sylvester Stallone, 1976-1990)

[ Aller à la pageAller à la page: 1 ... 5, 6, 7 ]

Film Freak

99

9714

17 Avr 2024, 22:33

Le Cow-boy Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Rambo (la saga) (Kotcheff, Cosmatos, MacDonald, Stallone, 1982-2008)

[ Aller à la pageAller à la page: 1, 2, 3, 4, 5 ]

Film Freak

71

6004

10 Fév 2022, 15:48

Lohmann Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. The Expendables (Sylvester Stallone, 2010)

[ Aller à la pageAller à la page: 1 ... 4, 5, 6 ]

Cosmo

83

7487

22 Sep 2010, 11:40

Mufti Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Rambo : Last Blood (Adrian Grünberg, 2019)

[ Aller à la pageAller à la page: 1, 2 ]

Film Freak

18

2169

29 Sep 2019, 23:55

Abyssin Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Arthur Rambo (Laurent Cantet - 2021)

[ Aller à la pageAller à la page: 1, 2 ]

Qui-Gon Jinn

18

1586

13 Fév 2022, 13:20

Vieux-Gontrand Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Les 3 Royaumes (John Woo - 2008)

[ Aller à la pageAller à la page: 1, 2, 3, 4 ]

Karloff

56

5439

05 Mar 2024, 06:51

Abyssin Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Boy A (John Crowley - 2008)

DPSR

4

1630

05 Jan 2012, 16:29

xTom Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Max Payne (John Moore, 2008)

[ Aller à la pageAller à la page: 1, 2, 3, 4 ]

Film Freak

48

5348

04 Juil 2010, 21:58

Mister Zob Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. From Inside (John Bergin - 2008)

Blissfully

0

1234

08 Fév 2009, 02:38

Blissfully Voir le dernier message

 


Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 6 invités


Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets
Vous ne pouvez pas éditer vos messages
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages

Rechercher:
Aller à:  
Powered by phpBB® Forum Software © phpBB Group
Traduction par: phpBB-fr.com
phpBB SEO
Hébergement mutualisé : Avenue Du Web