Forum de FilmDeCulte

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Je vous préviens, c'est un top qui va refléter mes goûts donc un concentré de blockbusters US, le meilleur de ce qui se fait dans le cinéma de divertissement à grand spectacle, à une ou deux exceptions près. C'est très subjectif, c'est les films de ces 8 dernières années que j'ai vraiment adoré et pas nécessairement les meilleurs films...je n'y mets pas, par exemple, Zodiac de David Fincher, alors que j'aime beaucoup et qu'il est objectivement meilleur que certains des films de cette liste.

Je me suis forcé aussi à ne prendre en compte que les films sortis entre 2000 et 2010 dans leurs pays d'origine.

20 films, sans réel ordre :



War of the Worlds & Munich (Steven Spielberg, 2005)
Le plus beau diptyque possible sur le 11 septembre, ou comment traiter tantôt par la forme et tantôt par le fond de la signification d'une tragédie. En une année, Spielberg te montre l'étendue de son talent, celui du plus grand conteur d'histoires mais aussi d'Histoire (ouuuuuh).



Lord of the Rings (Peter Jackson, 2001, 2002, 2003)
Une épopée comme on ne pensait pas pouvoir en voir au cinéma? Le film est exemplaire à bien des niveaux, qu'il s'agisse de blockbuster tout court, mais également de film d'auteur, mais également d'adaptation, mais également pour le genre, etc. Tout ce qui vient avant et après y sera mesuré. Et probablement en négatif.



Memento & Batman Begins & The Dark Knight (Christopher Nolan, 2000, 2005, 2008)
Trois films pour témoigner de la naissance jusqu'à la consécration d'un auteur qui aura su réinventer non seulement les genres abordés (film noir, comic book) mais y apposer sa patte.



Cast Away & Beowulf (Robert Zemeckis, 2000, 2007)
Là aussi, on tient les deux extrêmes du cinéma de l'auteur, qu'il s'agisse du grand drame humain épuré à l'expérimentation technique, les deux relèvent de la performance imposante de génie.


X-Men & X2 (Bryan Singer, 2000, 2003)
Avant Raimi, il y avait Singer et c'est lui nous aura fait croire que c'était possible. Que c'était possible de faire une adaptation sérieuse et réussie de 40 ans de BD. Que c'était possible de construire à partir de ce premier chapitre un canevas encore plus large et plus riche et plus jouissif. Pour moi ce sont les deux adaptations par lesquelles se jugent toutes les autres tentatives réussies à n°2 encore plus réussi.


Kill Bill Volume 1 & Volume 2 (Quentin Tarantino, 2003, 2004)
Une lettre d'amour à mille genres, à tout un pan du cinéma, à soi-même, à sa culture, etc...Et si on a ne serait-ce que passablement la même, on prend le même pied à regarder l'ouvrage qu'il a dû prendre à le faire. Tarantino se glisse avec une compréhension remarquable au sein de sa propre cinéphilie et nous invite à se branler avec lui. Forcément jouissif.


Gladiator (Ridley Scott, 2000) & Alexander (Oliver Stone, 2004)
Le film qui relança un genre (et un auteur) et le film qui enterra le genre (et son auteur?). Les deux ne se ressemblent pas mais ce que l'un a habilement permis par le biais d'un blockbuster intelligent et sublime, l'autre l'exploite encore davantage en s'attachant à une figure historique pour un film fou, bouillant. La synthèse des deux est peut-être Kingdom of Heaven mais ce dernier pâtit justement de passer derrière ces deux monstres.


Spider-Man 2 (Sam Raimi, 2004)
Ou comment refaire le premier en décidant d'abandonner son 1:85 et ses effets de style de film de genre pour du 2:35 plus noble, au même titre que l'intrigue qui exploite alors à fond le personnage, en moins culcul-classique que le premier (que j'aime énormément aussi hein). La franchise prend un galon maousse avec cette suite et pour l'action, c'est ce qui s'est fait de mieux dans le genre.


Finding Nemo (Andrew Stanton & Lee Unkrich, 2003)
Comme je l'ai souvent dit, le talent de Pixar n'est pas juste dans leur génie de l'animation, mais dans leurs ambitions, et leurs intentions. Là où les autres studios se cantonnent à de la comédie d'aventure, Pixar mise sur tous les tableaux...et fait de "vrais films". Ici, outre l'humour extraordinaire, les références en pagaille, un visuel splendide, des personnages attachants et même de l'action, c'est avant tout l'histoire et l'émotion qui font du film ce qu'il est. Le film ne se résume ni à ses gags ni à son pitch.


Battle Royale (Kenji Fukasaku, 2000)
Ou comment un vieillard aux portes de la mort va te faire le film djeunz le plus bourrin qui soit, sous influence de manga et de jeu vidéo. Ca en serait presque immature si le film n'avait pas un fond intéressant dans le regard qu'il porte sur la société japonaise, communiqué via un pitch presque SF et à la fois très moderne (manque plus que des caméras de télé-réalité) qu'il exploite à 200%.


Unbreakable (M. Night Shyamalan, 2000)
Le film comic book qui a 10 ans d'avance sur tout le monde. Ca en dit long sur l'assimilation par son auteur de tout un univers et de ses codes à une époque où le genre n'avait pas encore explosé sur les écrans. Il y a dans ce film une intelligence de traitement qu'on ne retrouve que dans les plus célèbres romans graphiques. C'est à ce point. Et le mec y apporte ses propres thèmes et en fait une belle fable qui semble être partie de la phrase "mon papa c'est le plus fort".


J'aurai bien aimé foutre Fincher, Bay et Del Toro là-dedans mais bon...

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OK, les films qui m'ont le plus marqués, le meilleur (juste les 6/6, en fait) de 2000-2007.

(J'ai l'impression que l'ordre est complètement con mais bon)

1. The New World (2006)

Un miracle. Ce film me touche au plus profond de moi-même. L'impression qu'il a été réalisé juste pour moi.

2. Eternal Sunshine of the Spotless Mind (2004)

Je suis fou du scénario, et Gondry l'a mis en images de la meilleure manière possible. Kate Winslet forever.

3. Toy Story 2 / Monsters, Inc. / The Incredibles (2000/2002/2004)

Je rajouterai WALL-E bien sûr. Mon admiration pour Pixar et leur poignée de purs chefs-d'oeuvre est sans limites.

4. Mystic River / Million Dollar Baby (2003/2005)

Deux uppercuts in your face. Un à gauche, un à droite. K.O.

5. Amores Perros / Babel (2000/2006)

Un talent indéniable, mais surtout une humanité qui emporte tout sur son passage. Deux chefs-d'oeuvre.

6. American Beauty (2000)

Le scénario, la mise en scène, la musique, les acteurs, la photo, tout tout tout est absolument génial. Je ne m'en lasserai jamais, c'est une pure merveille. La fin est une des plus belles jamais réalisées.

7. L'Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford (2007)

Je comprends pas comment ce film n'est pas plus aimé que ça. Le truc qui te donne froid au dents tellement t'es bouche bée. Parfait de bout en bout.

8. The Lord of the Rings (Trilogie) (2001-2003)

L'adaptation ultime, espérée et intouchable. Magique.

9. Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain (2001)

Un petit bonheur sur pellicule.

10. We Own The Night (2007)

Ecrasant de beauté.

11. The Insider (2000)

Mann au sommet. Pacino & Crowe aussi.

12. 4 Mois 3 semaines 2 jours (2007)

Essentiel.

13. Hable con ella (2002)

L'émotion sourit aux audacieux. Bouleversant.

14. Requiem for a Dream (2001)

Un traumatisme. La performance de Ellen Burstyn est surréaliste. La musique de Mansell est un coup de génie.

15. Brokeback Mountain (2006)

Chef-d'oeuvre, grâce à la sensibilité et le tact de Ang Lee.

16. The Others (2001)

Exemplaire de bout en bout. Une claque inoubliable. La terreur.

17. Sideways (2005)

Un bijou désespérément sous-estimé.

18. Princesse Mononoké (2000)

Le meilleur manga que j'aie jamais vu, d'une puissance inouïe.

19. Dogville (2003)

Mêler littérature et théâtre, et accoucher d'une chef-d'oeuvre cinématographique. Phénoménal.

20. La Meglio Gioventu (2003)

6h qui paraissent en faire 2. C'est extraordinaire. Un modèle d'écriture.

A updater avec ceux de 2008 (There Will Be Blood, WALL-E) et 2009.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

American Beauty, on le compte 99 ou 2000? (je l'ai classé dans on top 90's, je crois...)

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Perso je tiens compte des dates de sortie de mon pays. En Belgique il est sorti en février 2000. Le même jour que Toy Story 2 (la meilleure semaine de la décennie en fait).

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Moi je l'ai compté en 99 (comme The Insider et Any Given Sunday, sortis en 2000 en France également et qui auraient été dans le top).

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Munich / AI / War of the world - Steven Spielberg

La peur post 11 septembre, la classe absolue. Un grand cinéaste.
Shara / La foret de mogari - Naomi Kawase

Chaque moment est un pur bonheur, un cadeau de Naomi. Elle film avec une grâce absolue.
Mulholland drive / Inland Empire - David Lynch

Lynch au top avec deux films qui auront comptés parmi les plus grand moment de cinéma qu'il m'est été donné de voir.
Le nouveau Monde - terrence malick

La réecriture d'une histoire à travers des images splendide.Rien à dire.
Les harmonies werckmeister - bela tarr

Bela tarr, c'est le cinéaste qui aura compté et qui m'aura poussé à faire du cinéma je lui en remercie. Ses harmonies sont fabuleuses.
Gerry - Gus van sant

La triologie de Gus van sant a atteint des sommets avec Gerry, une hymne à l'amitié fabuleuse, et un sens du son et de l'image impressionnant.
Mary - Abel ferrara

Mary c'est LE film que j'aurais aimé réaliser sur le christianisme. C'est beau, fort, politiquement incorrect et surtout extrêmement bien écrit.
Southland tales - Richard Kelly

Alors celui-ci c'est l'ofni total ou comment après le buzz Darko sortir un film casse gueule qui pourtant aurait mérité d'être vu par le plus grand nombre à la vue de ses qualités scénaristiques et des prestations de ses protagonistes.
The Brown Bunny - Vincent Gallo

Un peu comme Gerry, Brown bunny nous envoute par l'image et le son, et nous offre une histoire d'amour impossible avec un Gallo au top. Du grand cinéma.
Youth Without Youth - Francis Ford Coppola

Là c'est la renaissance d'un immense cinéaste, sur un scénario d'Elliade, Coppola en sort un film magnifique avec un tim roth impressionnant.
Le village - M. Night Shyamalan

Faire un film ainsi après Signes c'était couillue, c'est payant il traite la peur et le comportement humain avec une justesse qu'y m'échappe encore.
Profils Paysans : le quotidien - Raymond Depardon

Depardon Cinéaste. C'est le maitre pour capté l'attention n'importe où, avec ce profils paysans Raymond depardon aura réussi à faire un film touchant et sincère avec peu. Chapeau bas l'ami.
There will be blood - Paul Thomas Anderson

Naissance d'un futur très grand? Fort possible, après l'excellent Magnolia et le très bon Punch drunk love, on a le droit à une immense fresque emmené par un Day lewis fidèle à lui même. Grand moment de cinéma.
Blissfully yours - Apichatpong Weerasethakul

Apichatpong Weerasethakul c'est trois films vus au cinéma, trois claque.
La nuit nous appartient - James Gray

James gray aura du mal à percé à Cannes, en tout cas c'est un grand film noir dans la lignée de ses deux précédents, il aura su réinventé un genre dans une période où le recyclé est roi. Bravo.
The Fountain - Darren Aronofsky

Un peu comme Youth, Daren fait un film d'après des mythes et ça donne une des plus belle histoire d'amour vu au cinéma dans cette décennie.

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Why there is so much trouble in this world?

Bah c'est peu le principe du sujet, non ?
J'espère que tous les intervenants établissent la liste des films qu'ils aiment, qui les touchent, leurs films "de coeur", et qu'ils ne suivent pas une doxa quelconque pour flatter je ne sais quels critères extérieurs ou "cinéphiliquement corrects". Ce serait bien chiant, sinon...
C'est une liste subjective, et c'est ce qui est intéressant.



C'est précisément la raison pour laquelle Kill Bill m'a beaucoup déçu, cette fétichisation absolue du cinéma, ce côté masturbatoire en vase clos, post-post-post-moderne, qui ne fonctionne que sur la référence et le jeu passéiste avec les genres et les codes. Ca a beau être super brillant et assez jouissif (encore que perso, je ne suis pas en extase devant comme beaucoup d'autres), je trouve que c'est d'une vacuité totale. Aevc ce diptyque, Tarantino jouit et s'enivre de ses fantasmes cinéphages, sans jamais proposer de regard sur le monde qui nous entoure : en fait, il n'a rien à dire, et je trouve que ça en limite considérablement la portée. J'ai un autre problème avec KB, peut-être encore plus profond, mais j'arrête ici le HS. Et c'est encore pire avec son film suivant.
Je précise que je suis un énorme fan de ses trois premiers films (et notamment du magnifique Jackie Brown que je considère comme son meilleur).



Ah oui, effectivement pas mal en commun. Y en a deux-trois que je n'aurais certainement pas mis là mais dans l'ensemble je plussoie presque pour tout.
Il manque juste le meilleur, quoi, c'est con...

Totalement à l'arrache, ça va bien changer.
C'est aussi l'occasion des citer des films qui ne l'ont pas été.
Pas d'ordre possible, il serait différent demain...
Petits commentaires à la con à étayer à l'occase.


Sunshine

"Le réalisateur qui nous a habitué à des films frénétiques se calme ici, nous proposant une croisière à bord du dernier espoir de la vie sur Terre. Vu de l'extérieur le vaisseau est paisible fait son chemin sûrement en direction du Soleil présent tout au long du film par l'omniprésence de la couleur jaune qui envahit de toute part le film, le vaisseau et les rêves des personnages. " extrait de ma critique qui se trouve -> ici <-

Memento

A l'envers à l'endroit, sans temps mort, haletant tout en mesurant ses efforts, efficace, imprévisible. Le montage bouleverse les habitudes confortables du spectateur pour finalement le laisser sans voix. Jamais imité, jamais égalé, simplement insurpassable.

Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain

Tellement candide qu'il prend aux tripes de l'enfant resté en nous. A la fois beau visuellement et moralement, une confiserie qui s'avère être un vrai repas gastronomique, à la fois léger et riche.

Collision

Le film oxymorique, bourré de contraste, émouvantissime si on ne refuse pas quelques miévreries moralisatrices et tellement plus juste et instructif que n'importe quel journal télévisé.

Le Fils de l'Homme

LE PLAN SEQUENCE FINAL. L'apocalypse pas comme d'habitude, la photo. La peur au ventre, celui de la mère.

Cloverfield

Caméra Subjective, , un fantasme qui se réalise. Et c'est bien fait.

Old Boy

Sommet d'une trilogie, action, mystère, histoires de famille. Sans concession, la rage personnifiée.

Garden State

Critique ici

Le reste un jour prochain, peut-etre...

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Un barbu remplace un coeur pour me plaire...

Et pourtant dans mon entourage, ceux qui ne captent pas 5 % des références préfèrent en général le film aux autres cinéphiles

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There is no such thing in life as normal

Ca ne me surprend pas du tout. Probablement parce qu'une réception profane de toute cette profusion citationnelle ne se coltine pas l'écueil de la comparaison. Je m'exprime sans doute mal : je veux dire que quelqu'un qui connaît sur le bout des doigts les références, qui a baigné dans le cinéma auquel Tarantino rend hommage, risque de tomber dans une perception allant du "pas digne de l'original" (au mieux) au "pompage/plagiat scandaleux" (au pire). Moi aussi j'ai lu de très nombreuses réactions de fanas du cinéma de genre cité par QT, qui n'ont pas pu avaler Kill Bill, précisément pour cette raison. Quelqu'un qui n'y connaît rien ne risque pas de subir ça.
Faut croire que je fais partie des 5% parce que je connais que dalle des citations que Tarantino effectue ici, je connais à peu près que dalle des influences qu'il régurgite et du cinéma de genre, bis, Z, etc..., et pourtant je n'ai pas été pleinement enthousiasmé par le dipytque.
Mais tout ça ne change rien à mon problème : pas besoin d'être familiarisé avec ce bagage citationnel pour se rendre compte que le film repose là-dessus. On n'a pas besoin de voir que tel couleur de vêtement sort de tel film, ou que telle scène fait référence à telle autre, pour comprendre que Kill Bill (n')est (qu')un gigantesque hommage amoureux, ludique et fétichiste au cinéma qu'adule son auteur. Et, donc, qu'il ne dépasse jamais ce stade. On peut trouver ça monstrueusement jouissif et généreux, je ne le nie pas (d'ailleurs, c'est en partie mon cas), mais on peut aussi trouver ça très limité. Personnellement, ça ma fouette bien l'adrénaline et les endorphines, mais ça n'atteint jamais les zones plus profondes, plus affectives, celles qui font naître une vraie relation intime avec le film. La raison est celle que j'ai évoquée dans mon précédent post : il n'a rien à exprimer d'autre que sa relation fétichisée au cinéma, rien à dire que ait trait au monde, aux êtres, à l'humain, bref... aux choses qui me touchent, quoi.

Genre moi c'est un de mes films préférés mais je connais pas grand chose à ses références.

D'accord avec ça, même si j'aime beaucoup le film il est clair qu'il est limité. Le seul film où Tarantino raccorde son jeu avec son histoire c'est Jackie Brown.

Et boulevard de la mort?????

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Qu'est-ce qu'il faut pas lire ... Je trouve les films de Tarantino profondément intimes et affectifs. Pas besoin d'avoir un regard sur notre monde réel pour ça !

Là, à vous lire, on a l'impression que ses films ne sont qu'une suite de citations alignées sans aucune âme... C'est tout faux.