Forum de FilmDeCulte

La Cage aux poules en VF.



Un présentateur de TV lance une campagne pour faire fermer la dernière maison close du Texas, mais il se heurte à la popularité intouchable de Madame Mona.

Dolly Parton et Burt Reynolds s'aiment dans cette comédie musicale country où le lieu principal est donc un beau bordel à putes toutes heureuses de leur sort (Patrice Leconte et Rue des plaisirs n'ont rien inventé), une sorte de rencontre improbable entre Sherif fais-moi peur et le Cocoricocoshow où se mêlent catins des années 80 *tu vois déjà le portrait* et cowboy baiseurs plus gays tu meurs. Au milieu, Bouboule, femme-homme de ménage traitée comme une vieille table basse, perpétuellement maquillée comme un clown tueur de série Z. Dès que ça se promène chez les moustachus, c'est souvent gagné par une mollesse redoutable, mais dès que Dolly, tous seins dehors, et ses potes font le show, c'est à te faire tourner les yeux.

4/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

Ah, mais une fois de plus, ça va beaucoup mieux passer avec des images, car celui-là aussi il rentre dans la catégorie des "il faut le voir pour y croire".


Hello Dolly. 1e apparition qui confirme qu'elle a vingt ans de plus que sur l'affiche.


Rentrons tout de suite dans le vif du sujet : les putes qui dansent sur de la country. C'est sensé se passer dans les années cinquantes, mais bon... même la robe d'hippocampe de Dolly fait 80's. J'adore ce concept de chorégraphie ou personne ne fait la même chose en même temps.


Cocoricocoboy. Il parait que le film a eu beaucoup de succès en vidéoclub à cause de son titre : tout le monde pensait que c'était un film de cul. Et rien qu'en voyant la tronche des putes sur cette photo, tu te dis qu'il y a du en avoir, des décus...


J'espère que Burt Reynolds montre ce film a ses petits-enfants à chaque noel.


Magic Nichons. 1 scène = 1 costume improbable pour Dolly.


Les clients des putes. No comment. En gros plans ils ont l'air encore moins virils.


Je suis sûr qu'ils étaient jaloux des robes des actrices.

Bon j'en passe et des meilleures, bien sûr. Ca se finit quand même en beauté avec Dolly qui, la larme à l'oeil, entonne son grand tube de l'époque "I will always love you"... Dolly qui a été d'ailleurs nommée aux Golden Globes pour ce film (a ce jour, cette nomination reste aussi inexpliquée que le triangle des bermudes) Le film a toutes les apparences d'un razzie-favorites et en fait pas du tout, ça a été un grand succès familial (!) de 1982, il a même été nommé aux oscars. Ca non plus je ne l'explique pas.

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Liza says "Don't drop bombs!"

Robe spéciale danse du dragon.



Tout le monde s'exprime. Vire la country et mets du Bananarama, ça marche aussi.



Sexualisme.



Homosexualisme.



Une capture de Bouboule!



J'avais oublié ça. Le climax trémolo.



Le plus grand succès d'une comédie musicale dans les années 80 qu'ils disent. Je me demande si ils s'enflamment pas un poco.

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Doll, it's a heartbreaking affair

J'ai pas réussi a faire une belle capture de quand elle fait des prises de ninja aux méchants dans les escaliers ou quand elle tombe de sa chaise (ses deux scènes clés). On dirait qu'elle es maquillée comme un numéro d'art.

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Liza says "Don't drop bombs!"

Ah ouais elle/il est mieux en mouvement. Mais l'image colle bien avec ta signature remarque.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Twilight, tu es critique sur nanarland?

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

C'est Bliss qui spoile en public tous les plaisirs coupables de ma dvdthéque.
Mais là on arrive à la fin de la pile, donc bon...

A propos de nanars, justement, un jour quelqu'un m'a dit "chacun ses mauvais gouts", au début ca m'a un peu vexé, puis finalement c'est plutôt juste, comme formule. Donc voilà, ceux-là (Spicewolrd / Le couvent/ Whorehouse etc...) c'est les miens

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Liza says "Don't drop bombs!"

Je demande ça aussi parce que ta critique fait très nanarland.

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs