Forum de FilmDeCulte

Tu es venu me chercher avec un "Et une assertion catégorique qui ne veut rien dire, une !", donc tu as ce que tu mérites : une page wikipedia.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Je ne suis vraiment pas rentré dedans et cela m'est vite tombé des yeux.

S'il existe un film auquel le terme "surécriture" s'applique, c'est bien celui-ci. Banal en termes de placement de caméra, de montage et d'étalonnage (ce cadre bleuâtre permanent) et même de direction d'acteurs (Philip Seymour Hoffmann n'est pas particulièrement subtil dedans), le film exprime beaucoup mais capte peu.
Par ailleurs son originalité est à relativiser face à un film comme Sogni d'Oro de Moretti qui a finalement un dispositif proche sans le côté "chic et choc" .

Mieux vaut voir le Moretti ou même A Double Life de Cukor qui parvient à raconter la même histoire avec 20 minutes de moins et est déjà post-moderne.


De l'Amélie Poulain amélioré pour lecteurs de Cioran.
Le terme chef d'oeuvre est bien galvaudé et notre regard sur le monde devenu inflationniste.

1/6 (un point pour la vertu somnifère)

Tout ça pour cette formule minable...

Et les comparaisons wtf du pur Gontrand.

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CroqAnimement votre

Mets-le en ignore, ça t'empêchera d'avoir envie de lui répondre.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Le film ne vaut pas une polémique. Pacôme Thieleman dit qu'il assume peu d'influences cinématographiques, comme si cela ne l'intéressait pas, et bien ça se sent. La forme est super-télévisuelle. Un décor sans regard.


Salesman des Maysles est autrement déstabilisant avec la même vision du monde.

Encore une fois je vois pas le rapport (et j'adore le film de Maysles).

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CroqAnimement votre

Tiens j'ai regardé ce film récemment, intrigué par le message de jerzy. J'ai trouvé ça nul : interminable (d'ailleurs j'ai dû couper avant la fin), prétentieux mais creux, nombriliste et ultra-complaisant.

Je ne m'en souviens plus mais peut-être le film n'est-il pas si mal si on le replace dans son genre : film new yorkais à névroses et à prétentions intellos.

Dans le fond, du côté féminin, il a les défauts typiques d'un film d'ensemble cast.

Tiens, Catherine Kenner qui s'endort chez le psy. Ho Michelle Williams qui se prend une planche sur le crâne. Et Jennifer Jason Leigh cela faisait longtemps. Samantha Morton a bien potassé sa méthode...