Forum de FilmDeCulte

Voilà qui va encore fausser le top de fin d'année.

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

Blissfully et twilight mettent 1/6 à Mystères de Lisbonne (et ils ont raison).

Mais ils doivent être plus heureux loin de nous.

Voilà.

Toi aussi tu serais sûrement mieux loin de nous ...

Honnêtement, les notes de Bliss et Twilight, je m'en fous pas mal, le forum de FdC c'est plus ça aujourd'hui.

Ils mettent surtout 1/6 au Weir et ça j'aurai bien aimé lire l'avis

ça faisait longtemps que l'on n'avait pas sorti ce couplet-là. Sinon DPSR reste et pis c'est tout.

Ne t'attends pas à un grand Weir en tout cas.. C'est quand même décevant, à moitié académique, même si ça se laisse regarder pépère et qu'il y a de beaux moments.

Bah oui, forcément. Ici, c'est le forum de Freak et des amis de Freak. Je participe pas activement, je ne viens que quand je m'ennuie au taf et qu'il y a des passages de mou sur Facebook.

c'est hélas sur le site suite à une incompréhension. Personnellement, je suis en désaccord total. C'est un film old-school, d'aventure. Moi j'aime ce cinéma-là... et de plus en plus, je dois devenir vieux. Je pense que tu aimeras.

C'est bien davantage le forum de ceux qui veulent parler cinema sans considerer Freak comme l'ennemi ultime parce qu'il pense differemment.

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I think we're gonna need a helmet.

Moi j'ai absolument pas compris certaines scènes dans le film, à quoi elles pouvaient bien servir. Je ne parle pas d'un point de vue scénaristique mais bien d'un point de vue structurel, esthétique, global.
Par exemple la scène et pareil pour la scène de .
Bref j'ai vraiment eu du mal à cerner le projet de la réal cette fois en ayant un peu l'impression qu'elle se faisait contaminer par l'ennui du personnage. D'ailleurs en contrepoint je trouve totalement caricaturaux tout les passages justement où il est relié au monde du cinéma, que ce soit le photoshoot, la conférence de presse portnawak avec des chinois et des russes et le show italien, j'y pas cru, ça sonnait faux.
La fin tu l'attends depuis la première minute.

2/6

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CroqAnimement votre

Bon moi c'est bien simple, je suis 100% d'accord avec Noony et Freak, qui ont eu le courage d'écrire plus de deux lignes sur ce truc.

Putain quelle arnaque.

1/6 pour la forme, mais la colère me donne presque envie de mettre moins.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Que tu ne sois pas du tout rentré dans le film, je le conçois très bien... Mais de là à parler d'arnaque, c'est ridicule. Ce film-là ne peut fonctionner que sur le ressenti personnel, soit le truc le plus subjectif du monde...

Le personnage est une star de cinéma. Et c'est ce genre de situation débile que vit une star de cinéma. C'est une scène complètement banale pour lui. Il ne s'énerve même pas, il n'a pas l'air surpris, il répond avec un air blasé : "c'est rien, c'est pas mon truc."
Le spectateur qui ne comprend pas "Somewhere" croit que c'est une scène qui se veut absolument drôle, qui cherche à souligner et à surligner par son grotesque l'absurdité quotidienne que vit la star. Alors que c'est une scène plutôt impassible qui ne fonctionne que si on prend le film dans son ensemble. "Somewhere" ne doit pas être perçu comme une succession de scènes anodines mises bout à bout sans aucun lien entre elles, c'est au contraire un film dont le dépouillement repose avant tout sur une grande construction mentale, dont le rythme parfaitement maîtrisé suit une évolution sentimentale qui ne prend vraiment sens qu'une fois qu'on saisit le film dans son ensemble.

C'est bien gentil mais ça dit quoi à partir de là? Le film raisonne sur lui même, sur son propre microcosme hollywoodien. A moins d'être un tant soit peu fasciné par la figure du comédien superstar et d'être intéressé par son quotidien/ses états d'âme, ce que Coppola construit dans son scénario est quand même particulièrement light.

Le film me parait incroyablement fermé sur lui même, sur son univers de l'ultra bourgeoisie décadente américaine. Qu'il fascine des mecs comme Bret Easton Ellis, ça ne m'étonne guère. Mais au delà, je peine vraiment à comprendre.