Forum de FilmDeCulte

Sans doute le plus mauvais film que j'ai vu à Cannes...

Un nanar, un vrai, qui m'a rappelé Vidocq...

0/6

Nanar chic et complètement toc.

0/6

Fou, ça... L'avis d'Ecran Large n'était donc pas extrême (ils parlent également de nanar)...

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Le meilleur, c'était un Zad légèrement pompette et qui faisait plein de gestes à la con tellement il était consterné.

"Légèrement" ? C'est bien, y a du progrès.

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Ratage intégral qui s'est transformé en PUTAIN de SALOPERIE de film de MERDE qui aura décidé de me faire bien IECH.

1/6

La synthèse est plutôt bien fichue, mais l'hystérie totale d'un personnage finalement proche de son premier long métrage m'a achevé (et Bellucci joue comme un cochon), et la justification à deux balles que tu sens venir à 10000 km m'a achevé, jamais j'aurais cru De Van capable de ça (parce que tout le début ne marche pas mais au moins il y a une sorte de jusqu'au boutisme qu'on peut rattacher à Ricky d'Ozon, beau duo de films inutiles qui ont coûté bonbon, et puis non). Sept ans pour faire ça c'est juste lamentable.

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du caca qui colle aux poils du cul.

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NE TE RETOURNE PAS
De Marina De Van

0/6

BOUCLE D’OR REDUX

Le pire est peut-être encore qu’il faille voir dans <b>Ne te retourne pas</b>, ne serait-ce que par son titre, un hommage avoué à Nicolas Roeg – dont espérons-le on épargnera les vieux jours du visionnage. C’est peu dire pourtant qu’on croyait en Marina De Van, sur l’excellent souvenir de son premier film, <b>Dans ma peau</b>, rencontre improbable et sauvage entre une francitude Fémis et le Cronenberg organique des débuts. On avait aussi noté sa collaboration prolifique au scénario du subtil <b>Comme des voleurs (à l’est)</b> de Lionel Baier ; et sur cette bonne lancée, tout laissait à croire, sur le seul bénéfice de son pitch intrigant, que <b>Ne te retourne pas</b> confirmerait l’essai. A peu près rien, pourtant, à sauver, dans le navet qui au final nous arrive. Les effets spéciaux tout de même, diront les indulgents. Mais ce serait négliger que pour quelques plans de belle monstruosité numérique, c’est tout le film qui doit se plier à un étalonnage jaunâtre simplement dégueulasse, au fil d’une mise en scène d’une laideur consommée qu’on croyait morte et enterrée avec la carrière de Pitof. Las, il faut donc encaisser la patine métal rouillée de ce machin innommable, découpé à la serpe, et <i>in fine</i>, de toute façon, plombé par une écriture abominable, rendant tout effort de direction d’acteurs impossible. On n’avait en effet pas eu à entendre pareils dialogues depuis <b>Red Is Dead</b>. Le souci étant qu’ici, nulle parodie : le premier degré est affirmé, et douloureux.


(crédit spécial à pandi pour la réf à red is dead, parfaite)

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OWNED !

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Après tous ces avis négatifs, le film ne pourra en paraître que meilleur !

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On a frôlé la fissure anale...

wtf?

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Bah c'est pour dire que t'as méchamment taillé le film, c'est bien joué.
En français, pour citer (encore et toujours) South Park, il s'est fait doucher.

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c'était pour qu'on puisse causer oite et ouame

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Ca me donne envie de le voir...

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N'écoutez pas Film Freak