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MessagePosté: 04 Juin 2025, 10:36 
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Jerónimo a écrit:
Très curieux également, l'environnement de Détective j'avoue je suis intrigué... Par contre déso mais dans la BA il y a des répliques où on doit forcer son écoute, le truc relou des films français, espérons que ce soit mieux dans le film / en salle (c'est peut-être mon PC qui est nul).


J'ai pas fait le mix de la BA, ne m'en parle pas... Le film est nickel, t'inquiète.

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MessagePosté: 04 Juin 2025, 12:27 
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J'ai un vrai problème avec les mix de FA en France. Ça m'en a "ruiné" certains que j'ai fait, donc je compatis...


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MessagePosté: 05 Juin 2025, 01:24 
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Tonton a écrit:
J'ai un vrai problème avec les mix de FA en France. Ça m'en a "ruiné" certains que j'ai fait, donc je compatis...


Ils font ça à l'arrache en dernière minute, sans même reprendre les répliques du film retravaillées, éclaircies... ils repartent des rushes. Bref.

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MessagePosté: 05 Juin 2025, 04:27 
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De toute façon t’as pas Duvauchelle donc t’inquiète, ça passe.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste
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MessagePosté: 05 Juin 2025, 08:05 
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tape dans ses mains sur La Compagnie créole
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Qui-Gon Jinn a écrit:
De toute façon t’as pas Duvauchelle donc t’inquiète, ça passe.

Ou Lindon..

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MessagePosté: 05 Juin 2025, 08:51 
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Dans son premier film, Peter Dorountzis travaillait le sujet des violences faites aux femmes par le prisme d'un tueur-violeur vagabond pour mieux faire rejaillir les attitudes quotidiennes largement partagées (et pour certaines admises).
En prenant cette fois-ci l'angle de la presse (de bas étage), il procède encore à ce contre-pied sur le point de vue pour mieux interroger le spectateur, les Rapaces du titre étant au fur et à mesure du film de moins en moins clairement définis.

On retrouve également le point de vue sur la violence, le réal n'étant jamais dans la monstration, ce qui n'empêche en rien l'horreur (la bande son de l'agression) et la tension, avec ce morceau de bravoure final.
Billy Budd, à propos de l'affiche a écrit:
Elle me rappelle la première affiche de « Sang pour Sang » (Blood Simple), que j’arrive pas à retrouver.

Lors de l'échange post séance, le réal évoquait l'influence de De Palma dans cette faculté à étirer le temps, et j'ai justement pensé aux frères Coen (dans un genre totalement différent) sur cet aspect (j'ai aussi pensé au Jeremy Saulnier de Blue Ruin et Green Room). Alors c'est peut-être un poil long, comme le dit QGJ on ne s'attend pas forcément au climax du film à ce moment-là, mais c'est bien géré, avec cette sortie finale hyper classe, et l'enchainement fuite / poursuite. C'était également intéressant d'avoir l'avis de Mallory Wanecque, qui indiquait que la scène du film est identique à celle imaginait à la lecture du scénario: on sent un travail précis et millimétré d'écriture, pensé à l'avance, et servi par des acteurs (et une direction de) qui font passé les émotions et la tension avec un regard, une expression de visage, non vraiement c'est bien mené.

Mais avant tout ça, j'adhère à peu près à tout le projet du film, ce thriller dans un univers français, avec un ambition qui fait plaisir: le mélange des tons est maitrisé: sujet de société, thriller, point de vue intime avec la relation père / fille, encore une fois des pointes d'humour qui ponctuent le film juste comme il faut, une galerie de perso qui vient muscler le film... Avec des acteurs tous inspirés et bien castés (j'avais un peu peur de Bouajila à la vue de la BA, je le trouvais un peu faux mais il est nickel) jusque dans les seconds et troisièmes rôles (par exemple Paul Hamy en chemise ouverte, tout en animalité et douceur, prêt à dégoupiller ou à caliner, on ne sait pas) et une réalisation au cordeau... Bon je suis évidemment influencé par nos échanges ici avec Z, mais même en prenant un peu de recul c'est bourré de talent, cohérent avec son 1er long tout en explorant d'autres aspects, bref, vivement le suivant.


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MessagePosté: 05 Juin 2025, 09:03 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
témoignage absurde à un procès pour agression sexuelle

Défense absurde de l'accusé d'un viol sur mineure, plutôt

Qui-Gon Jinn a écrit:
Et Sami "Boujaïla" (© Vincent Cassel) est parfait en anti-héros immédiatement caractérisé. Le film lui attribue des comportements peu déontologiques mais c'est impossible de pleinement le détester. A vrai dire j'aurais pas été contre le sentir même davantage connard.


Oui, j'avoue qu'on sympathise rapidement ave lui, et au final le mec pourrait être chez Libé que ca serait un peu pareil.

Qui-Gon Jinn a écrit:
Bouajila et Wanecque vont s'investir corps et bien dans un meurtre parmi tant d'autres, mais je peine à saisir leur motivation. Z me disait hier qu'il voulait éviter les poncifs (il y aurait selon lui une scène "explicative" coupée au montage). Mais du coup la question fatidique que tout lecteur de scénario se pose m'est apparue cruellement pendant les trois premiers quarts d'heure: "Why should I care?". Alors certes les meurtres c'est horrible, surtout sur les jeunes femmes (désolé Castorp), mais pourquoi est-ce que ces personnages-là se mettent à fond sur cette affaire-là ? C'est pas comme si c'était un truc lambda qui les happait peu à peu, on sent un changement de braquet volontaire et décidé de leur part, mais on ne comprend pas pourquoi.


Perso ça ne m'a pas choqué du tout, j'ai été impliqué dès le début...
D'ailleurs la réplique de Bouajila à un moment donné, expliquant à sa fille qu'il s'est déjà fait courser par des meurtriers dans la bois, pas tous les jours mais ca lui est arrivé... C'est un peu son quotidien, et là il a du flair sur cette affaire, il veut aller au bout, et pour sa fille c'est la manière de s'investir pour résoudre sa relation avec son père. Ca me suffit, on a des clés, mais sans psychologiser à outrance.

Qui-Gon Jinn a écrit:
les mascus, nouvelle tarte à la crème de l'époque, qui ont tué cette fille pour... euh pourquoi d'ailleurs ? ;


Genre tu as besoin de connaitre leur motif? Les mecs sont timbrés, y'a qu'à se pencher pour savoir que ca existe, et c'est pas le but du film d'expliquer les actions de ces mecs-là.

Qui-Gon Jinn a écrit:
providence un peu rapide en mode "Les routiers sont sympa"...).


Moi je le vois plutôt comme un retournement de l'outil qu'est la CB. D'ailleurs Bouajila se fait courser car les gars indiquent un délit de fuite, donc le pincipe c'est plutôt la solidarité (même si les mecs continueront à siffler les gonzesses sur le bord des routes).
Mais de toute façon, super idée d'introduire la CB dans l'univers, avec son langage codé, son aspect interlope et sous-marin, génial.


Dernière édition par Jerónimo le 05 Juin 2025, 10:33, édité 1 fois.

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MessagePosté: 05 Juin 2025, 10:22 
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Ça a l’air inspiré de l’affaire Kulik mais des horreurs commises en groupes par des hommes ça abonde.


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MessagePosté: 05 Juin 2025, 10:29 
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bmntmp a écrit:
Ça a l’air inspiré de l’affaire Kulik mais des horreurs commises en groupes par des hommes ça abonde.


Oui, Z en parle en spoiler (et en interview)


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MessagePosté: 12 Juin 2025, 13:59 
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Ça va peut-être paraître très con à certains tant on pourrait dire que c'est "la base" mais je crois que ce n'est que très tard dans ma cinéphilie, genre il y a un peu moins de dix ans, que j'ai percuté à quel point l'une des composantes majeures de la tenue d'un film résidait dans la capacité pour le réalisateur à gérer le ton. Il y a cette citation de Fincher, que Première avait mis en exergue dans une de leurs interviews et qui était un mantra durant ma jeunesse, "le métier de réalisateur est de rendre crédible une réalité complètement fabriquée" et je crois que, bêtement, des années durant, je n'ai vu dans cette sentence que ses applications les plus concrètes, en terme de fond et de forme, d'écriture et de mise en scène mais d'un point de vue technique mais je me souviens qu'en voyant Elle de Verhoeven, j'ai enfin saisi comme la tâche du cinéaste ne tenait pas tant à une qualité visuelle qu'à véritable numéro d'équilibriste pour ne pas dire de parfumeur, à doser avec justesse les ingrédients.

Et c'est ce qui m'a percuté presque d'entrée devant ce deuxième long de Peter, un incroyable bond vers une autre dimension vis-à-vis de Vaurien, qui flirte certes encore avec le réel mais s'inscrit également dans le genre, ou plutôt s'y glisse-t-il. De son prégénérique qui dit déjà tout de la filouterie de ces "rapaces" sur un ton jovial au générique enjoué avec sa typo de série B, voire de roman de gare, sur fond d'images d'une revue considérée comme ordurière, jusqu'à la présentation succincte des différents journalistes (superbe gros plan sur les yeux de Stefan Crepon) pour laquelle la musique créé un liant et nous prend par la main, on a déjà évolué d'une tonalité vers une autre, arrivant dans cette salle d'audience où l'horreur dans ce qu'elle a de plus inconsciente de soi est tout de même ponctuée d'un pouffage de la part de celui qui croque le portrait du témoin. "Le monde change mais vous n'avez pas changé" (je paraphrase) lâche le juge à l'accusé, énonçant en un sens ce que va découvrir plus tard notre protagoniste.

Avant que son monde à lui ne change, le film nous le donne à voir dans une première moitié que j'ai trouvé vraiment engageante, réussissant son portrait d'un métier, où le sordide fait partie du quotidien, et peut se prendre à la légère, sans état d'âme moral quant aux méthodes employés. C'est jamais une comédie, jamais satirique ni cynique, c'est réel. La bonhommie d'un mec comme Darroussin, notamment dans ses épisodes d'enquête un peu lose, t'assoit instantanément le truc avec authenticité. Tout comme des scènes comme celle dans le bar avec la capsule de bière où ils discutent tous ensemble d'une affaire, sorte de havre de paix chaleureux au milieu d'un monde froid. Formellement aussi, la façon de passer d'un univers à l'autre se fait de façon organique, des cadres très The Parallax View pour caractériser Le Journalisme au début, avec de grosses lignes qui fendent l'image (comme la contre-plongée sur Crepon et Cohen avec ce plafond réfléchissant les quidams qui marchent ou la vue du ciel sur la terrasse de café avec ses rangées de siège) jusque dans cette discussion dans le bar à la Seven (en moins philo).

J'aime que le film adopte un rythme assuré, osant les micro-longueurs pour illustrer l'attente et le piétinement, avant que l'étau ne se resserre. Il y a quelque chose d'atypique dans ce récit qui est une enquête mais ne cultive pas son mystère. Le fait est tellement divers que ça va pas devenir "mais qui a tué Laura Palmer?", le journaliste a déjà son idée, il trempe un peu plus loin les pieds et, par une coïncidence lourde de sens, quand sa fille le rejoint, les rapaces, les autres, s'abattent sur eux.

J'aime beaucoup aussi comme le film évoque son propos sans jamais être didactique comme La Nuit du 12. C'est un témoignage d'Ava qui devient un article de son père et qui prend finalement forme sur le terrain. Le coup de la CB, c'est vraiment une métaphore géniale : un objet du passé principalement utilisé par des mecs, pour se parler, en cachette, pour se rancarder, comme autant de vautours échangeant dans leur langage. Le monde changé mais eux n'ont pas changé. Ils utilisent toujours leurs vieilles CB et restent des prédateurs.

Tout le dernier tiers, constitué notamment de cette séquence prolongée dans le restaurant, est remarquable. La mise en place est habile, les enjeux sont clairs et donc la tension devient palpable. Soudain, this shit just got real. Sam n'est plus simplement un fouille-merde, il est dans la merde. L'enquêteur est devenu acteur. On est vraiment devant un beau morceau de cinéma, le genre de scène pour laquelle on peut faire tout un film, juste pour la tourner, juste pour celle-là. Elle est étirée juste ce qu'il faut et culmine avec un effet de style parfait.

Le film a l'intelligence et l'originalité de garder toujours un pied dans le réel, d'éviter des choses trop attendues (y a littéralement un fusil de Tchekhov réfuté), peut-être un poil trop (j'aime bien la compréhension graduelle de Sam sur ses manquements en tant que père - la scène du répondeur - mais leur relation s'économise peut-être à tort une vraie scène de conflit) et parfois non (le dernier échange était un poil trop pour moi même si ça reste ma came) et la structure en goulot est pertinente mais l'univers est si riche et la galerie de personnages si attachante qu'on est frustré de ne pas les revoir par la suite (c'est du J.J. Abrams dans la présentation, je veux des suites! je veux une série!).

Non vraiment, c'est top.

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MessagePosté: 20 Juin 2025, 16:05 
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Vous me direz si l'affiche ou la bande-annonce viennent à vous ?
Et comment c'est arrivé ?

Je suis curieux de l'aspect promo.

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MessagePosté: 20 Juin 2025, 16:10 
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Vu la bande-annonce dans l'UGC Ciné Cité Créteil mercredi avant 28 ans plus tard et à l'UGC Ciné Cité Les Halles jeudi avant Avignon.

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MessagePosté: 20 Juin 2025, 16:42 
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Film Freak a écrit:
Vu la bande-annonce dans l'UGC Ciné Cité Créteil mercredi avant 28 ans plus tard et à l'UGC Ciné Cité Les Halles jeudi avant Avignon.


Et t'es le premier à avoir vu la grande affiche aux Halles.

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MessagePosté: 20 Juin 2025, 22:23 
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J’ai montré la bande-annonce à un copain pour l’inciter à venir le voir avec moi lundi. Bon heu ça l’a pas motivé, j’en suis désolé. Je pense que la terreur qu’on peut ressentir à l’encontre des polars français a beaucoup joué. Par contre je lui ai montré celle de Vaurien et ça l’a intrigué. Possible qu’il le rattrape, surtout après l’éloge que j’en ai fait.

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MessagePosté: 20 Juin 2025, 22:52 
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Zad a écrit:
J’ai montré la bande-annonce à un copain pour l’inciter à venir le voir avec moi lundi. Bon heu ça l’a pas motivé, j’en suis désolé. Je pense que la terreur qu’on peut ressentir à l’encontre des polars français a beaucoup joué.


Rooooooh s'en tenir à la bande-annonce, c'est comme se contenter de lire Détective pour s'informer :D

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