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MessagePosté: 14 Mar 2012, 09:34 
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Mister Zob a écrit:
Moi j'y crois !
Entre 2 séances de ré-étalonnage de French Connection, je suis sûr que Bill trouvera un jour le temps de casser les couilles d'Universal et/ou Paramount pour que ça sorte.
A ma connaissance il a même déjà bossé sur des bonus.


Ah ben ce serait génial. Achat direct ! Je veux voir la scène du pont en HD !

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MessagePosté: 14 Mar 2012, 10:13 
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Tetsuo a écrit:
Non. La méthode Hitchcock s'est rodée avec ses thrillers anglais des années 30 et ses films hollywoodiens des années 40. En 53, il atteignait le sommet de son art et de son inspiration et il n'avait de leçon à recevoir de personne et certainement pas de Clouzot (dont c'est, en effet, l'un des films les impressionnant, mais de là à parler d'avant-garde, faut pas déconner. D'ailleurs il s'est totalement crouté quand il a tenté de se lancer dans l'avant-garde le père Henri-Georges...).

Je suis d'accord pour le coup, mais par contre j'avais déjà lu que Les diaboliques avait relancé l'inspiration d'Hitchcock, qui du coup voulait avec Psychose faire un petit film en noir et blanc avec trois fois rien "comme les diaboliques" (mais je sais plus où j'avais lu cette citation). Effectivement, au-delà de la forme, on trouve quelques points communs entre les deux films : les scènes de route stressées, la "perversion" sexuelle, le meurtre dans la salle de bain et le corps à cacher dans l'eau, l'enquête a posteriori, le twist...
Après je ne trouve pas qu'ils se ressemblent tellement, mais c'est marrant d'imaginer que toute une vague du cinéma d'horreur et de séries B, enfants de la représentation de l'horreur si "moderne" qui est celle de Psychose, soit en partie héritée d'un film français ultra-classique (un des dernier grands du classicisme national, vu la date), qui tirait d'ailleurs lui-même tous les enseignements du cinéma d'Hitchock.

Je me demande de même si le Hitchcock derrière période (genre Frenzy : plus sexuel, plus baroque, plus sale) ne s'est pas de la même façon ressourcé chez un de ses élèves, en l’occurrence Argento, dont j'avais encore une fois lu qu'il admirait beaucoup les films (L'oiseau au plumage de Cristal, c'est 1970, Frenzy 72)


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MessagePosté: 14 Mar 2012, 11:05 
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Oui, je crois que j'ai déjà entendu ça aussi. Après, je sais que Psychose a été fait dans la foulé de sa série télé, avec la même équipe et dans des conditions similaires. Mais hormis un savoir faire dans la gestion du suspens, je trouve qu'ils n'ont tellement rien à voir l'un avec l'autre... Les Diaboliques lui a peut-être donné des idées de scénario et l'impulsion nécessaire, mais je trouve que ça s'arrête là...

Pour Frenzy, je sais pas... La dernière partie de carrière de Hitchcock me semble tellement déconnectée de son époque, suivant son propre chemin, hermétique à tout autre horizon cinématographique que le sien...

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MessagePosté: 14 Mar 2012, 11:27 
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Tetsuo a écrit:
Les Diaboliques lui a peut-être donné des idées de scénario et l'impulsion nécessaire, mais je trouve que ça s'arrête là...

Ou l'idée d'adapter Boileau & Narcejac.

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MessagePosté: 14 Mar 2012, 11:40 
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Ah bah tient, ça je savais pas !
Bon après, voilà la gueule de Vertigo et le gueule des Diaboliques quoi...

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MessagePosté: 15 Mar 2012, 06:06 
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Tetsuo a écrit:
Non. La méthode Hitchcock s'est rodée avec ses thrillers anglais des années 30 et ses films hollywoodiens des années 40.


Je te parle d'inspiration. Pas de rodage.

Bien sûr, Hitchcock ne serait pas Hitchcock s'il faisait du Clouzot. Mais il est assez facile d'imaginer qu' Hitchcock aurait pu être inspiré par Clouzot. D'abord parce qu'il l'admirait, et qu'il nageait dans les mêmes eaux. Mais c'est une simple observation de ma part. Qu'est-ce que j'en sais au final. Mais je trouve qu'il y a similarité dans la manière.

Tetsuo a écrit:
En 53, il atteignait le sommet de son art et de son inspiration et il n'avait de leçon à recevoir de personne et certainement pas de Clouzot


Oui, mais ces exercices de style (à la Wages of Fear) sont arrivés bien plus tard. Je pense notamment a The Birds.

Tetsuo a écrit:
dont c'est, en effet, l'un des films les impressionnant, mais de là à parler d'avant-garde, faut pas déconner. D'ailleurs il s'est totalement crouté quand il a tenté de se lancer dans l'avant-garde le père Henri-Georges...).


Le mot "avant-gardiste" était un qualificatif pour signifier qu'on avait jamais vu un film comme Le Salaire de la Peur quand c'est sorti. Loin de moi l'idée de lui apposer l'étiquette de quelconque mouvement d'avant-garde.

Je me trompe peut-être, mais les exercices de style dans ce genre ont fait leur apparition bien plus tard (avec Hitchcock, avec Spielberg. Je pense à The Birds, Duel, Jaws. Ces films d'épouvantes aux scénarios ultra simple qui permettait aux réals d’expérimenter leur mise en scène du suspense. Pour moi, en 1953, et en France, un film comme Le Salaire de la Peur c'est de l'inédit.

Sinon, pourrais-tu me trouver un film de ce type sorti en France avant 1950, et qui serait aussi virtuose dans sa façon de créer le suspense, et qui serait carrément un film d'action. Je cherche, mais je ne trouve pas.

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MessagePosté: 15 Mar 2012, 15:18 
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David Swinton a écrit:
Je te parle d'inspiration. Pas de rodage.

Bien sûr, Hitchcock ne serait pas Hitchcock s'il faisait du Clouzot. Mais il est assez facile d'imaginer qu' Hitchcock aurait pu être inspiré par Clouzot. D'abord parce qu'il l'admirait, et qu'il nageait dans les mêmes eaux. Mais c'est une simple observation de ma part. Qu'est-ce que j'en sais au final. Mais je trouve qu'il y a similarité dans la manière.


Très franchement, hormis une tendance à manipuler brillamment le suspens et à l'étirer à son comble, c'est quand même deux cinémas très différents. Nageaient-il vraiment dans les même eaux ? j'en suis pas sûr... Alors peut-être que les films de Clouzot ont inspiré à Hitchcock quelques idées, m'enfin ça reste très anecdotique en fin de compte.

Citation:
Oui, mais ces exercices de style (à la Wages of Fear) sont arrivés bien plus tard. Je pense notamment a The Birds.


"Exercice de style", une fois de plus, je suis pas sûr que ce soit la bonne expression mais bref, je crois comprendre ce que tu veux dire. Hitchcock a toujours eu un goût pour l'expérimentation, aussi bien scénaristique que visuelle que ce soit l'unité de lieu de Lifeboat ou le découpage de La Corde. Ca a toujours été un de ses grands arguments de vente d'ailleurs, les films à concept et à pitch.

Citation:
Le mot "avant-gardiste" était un qualificatif pour signifier qu'on avait jamais vu un film comme Le Salaire de la Peur quand c'est sorti. Loin de moi l'idée de lui apposer l'étiquette de quelconque mouvement d'avant-garde.

Je me trompe peut-être, mais les exercices de style dans ce genre ont fait leur apparition bien plus tard (avec Hitchcock, avec Spielberg. Je pense à The Birds, Duel, Jaws. Ces films d'épouvantes aux scénarios ultra simple qui permettait aux réals d’expérimenter leur mise en scène du suspense. Pour moi, en 1953, et en France, un film comme Le Salaire de la Peur c'est de l'inédit.

Sinon, pourrais-tu me trouver un film de ce type sorti en France avant 1950, et qui serait aussi virtuose dans sa façon de créer le suspense, et qui serait carrément un film d'action. Je cherche, mais je ne trouve pas.


En cumulant les critères comme ça on peut faire de quasiment tous les films des inédits tu sais :)
La radicalité du Salaire de la Peur en fait peut-être un film atypique pour l'époque mais j'ai pas l'impression non-plus d'une révolution cinématographique. En l'occurrence, des films avec du suspens archi-tendu, y'en a quand même eu avant Clouzot. Chez Fritz Lang par exemple, M le maudit c'est plutôt pas mal dans le genre mise en scène qui expérimente la tension (avec en prime une dimension psychologique, morale et politique qu'on ne trouve pas chez HG).

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MessagePosté: 15 Mar 2012, 19:42 
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Tetsuo a écrit:
En cumulant les critères comme ça on peut faire de quasiment tous les films des inédits tu sais
La radicalité du Salaire de la Peur en fait peut-être un film atypique pour l'époque mais j'ai pas l'impression non-plus d'une révolution cinématographique. En l'occurrence, des films avec du suspens archi-tendu, y'en a quand même eu avant Clouzot. Chez Fritz Lang par exemple, M le maudit c'est plutôt pas mal dans le genre mise en scène qui expérimente la tension (avec en prime une dimension psychologique, morale et politique qu'on ne trouve pas chez HG).


En fait, la particularité de ce film, c'est d'expérimenter le suspense sur la durée (dans le cas de Wages of Fear, toute la deuxième partie du film), et dans une même unité de lieu (le camion... comme la voiture l'était dans DUEL, comme le bateau l'était dans Jaws, et la barque dans Lifeboat). C'est cela que j'entends par "inédit". Il me semble que ça ne s'était pas beaucoup fait a l'époque.

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MessagePosté: 15 Mar 2012, 21:24 
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Soit.

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MessagePosté: 01 Mar 2024, 17:26 
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C'est quand même un film avec deux potes qui s'appellent Mario et Luigi.

J'ai vu le Friedkin il y a quelques années et comme j'ai prévu de le revoir dans la rétro et que le remake par Julien Leclercq sort à la fin du mois sur Netflix, je ne pouvais pas laisser béante cette lacune de ma culture cinématographique.

Il est audacieux de passer pas moins d'UNE HEURE avant que les camions ne démarrent pour poser la situation, avec cette bourgade qui pourrait tout aussi bien être un No Man's Land, peuplé d'exilés malgré eux venus des quatre coins du monde et bloqués là, dans l'attente d'un travail synonyme d'échappatoire, de salut. Le peinture que fait le film de ces limbes sur Terre m'a fait comprendre à quel point le film avait influencé le Dunkerque de Nolan, également un film sur la camaraderie formée entre gens sacrifiables au sein d'un purgatoire avant de se transformer en véhicule à suspense épuré. Y a même des mecs couverts de pétrole sur la fin.

C'est évidemment trop long mais à dessein et Clouzot tire le maximum de son atmosphère moite ainsi que des relations entre les personnages, avec ce français sûr de lui qui troque aisément un ami étranger pour un compatriote dont il admire la gouaille bonhomme avant que le récit ne vienne renverser la situation, montrant la débrouillardise et l'altruisme de l'italien écarté et la couardise de celui qui a été (sans doute) prêt à tuer pour l'argent. C'est en ça que le film dépasse le simple high concept de sa deuxième moitié, certes épisodique mais rondement menée (même si la mise en scène demeure assez statique), évoluant entre imagerie cauchemardesque (l'onirisme des scènes de nuit, la mare de mazout) et approche procédurale (les solutions pour résoudre le problème du ponton, puis de l'éboulement). Une amitié se forge (en même temps, les allemands et les italiens se sont toujours bien entendus), une autre se détériore (comme une descente en règle des codes du gangster), et tous sont victimes du capitalisme (encore lui).

C'est pourquoi je ne com-prends-pas cet épilogue DÉBILE. Alors que le film avait une fin magnifique sur le corps effondré de Mario au pied du puits en flammes de nuit, Clouzot force la gogolerie uniquement pour en arriver à cette conclusion soudainement satirique mais surtout vulgaire.

Très curieux de redonner une chance au Friedkin qui ne m'avait pas complètement séduit.
(et j'apprends qu'il y avait déjà eu un remake US en 1958)

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MessagePosté: 26 Mar 2024, 10:13 
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J'ai lu une biographie de Georges Arnaud (l'auteur du roman) il y a quelques mois et j'étais curieux de revoir le film, ce qui m'a permis de me rendre compte que je confondais certainement mes vagues souvenirs avec Cent Mille Dollars au soleil. Hum.
Belle découverte donc, vous avez tout dit de l'audace de chapitrage en deux parties, où la première est loin de faire pâle figure en matière de tension et nourrit la profondeur des personnage et de leurs relations pour ne pas faire de la deuxième une simple boite à ressorts.
La toute fin est foirée à souhait effectivement, c'est dommage.
Ultra chaud pour revoir le Friedkin, et ultra chaud pour hatewatcher le remake vendredi sur Netflix.


Film Freak a écrit:
Une amitié se forge (en même temps, les allemands et les italiens se sont toujours bien entendus)


On valide :lol:

Film Freak a écrit:
et tous sont victimes du capitalisme (encore lui).


La punchline sur la division du travail, c'est cadeau


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MessagePosté: 28 Mar 2024, 09:02 
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Film Freak a écrit:
Le peinture que fait le film de ces limbes sur Terre m'a fait comprendre à quel point le film avait influencé le Dunkerque de Nolan, également un film sur la camaraderie formée entre gens sacrifiables au sein d'un purgatoire avant de se transformer en véhicule à suspense épuré. Y a même des mecs couverts de pétrole sur la fin.


D'ailleurs, c'est plus anecdotique mais on peut noter aussi
l'explosion de la bombe avec le décalage de la lumière et du son dans la mise en scène
même si bon, c'est la "réalité" qui a forcément inspiré Nolan

Edit: je parle d'Oppenheimer bien sûr


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MessagePosté: 12 Avr 2024, 10:22 
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Localisation: Rebirth Island
Je suis trop peu cinéphile pour savoir à quel point il faut replacer le film dans son époque ou pas. Le perso principal qui est un énorme fils de pute avec son plan cul, et elle qui continue à l'adorer, c'est vraiment pour montrer que c'est un connard ou bien c'était juste dans l'air du temps ? En tout cas j'ai eu un vrai souci avec les persos, il faut attendre 1H30 pour s'y attacher : quand ils se mettent à pisser sur le trou du cratère. Les mecs restent de gros beaufs, mais tout d'un coup il y a un peu d'humanité et de vie qui se dégage, alors que jusque là ils savaient juste se faire la gueule, c'était juste désagréable.
J'ai pas été passionné par les péripéties : la scène de la route cabossée était super tendue dans le livre, et là on pige pas grand chose. Le ponton, bofff. Ya qu'à la mare de pétrole que ça devient vraiment vénère.

En tout cas ce film et le Friedkin sont tous les deux virtuoses mais très imparfaits : yavait la place pour faire un remake moderne, bien rythmé, bien tendu. Suffisait de filer ça à quelqu'un d'autre qu'un escroc.


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MessagePosté: 12 Avr 2024, 11:44 
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Localisation: FrontierLand
deudtens a écrit:
yavait la place pour faire un remake moderne, bien rythmé, bien tendu. Suffisait de filer ça à quelqu'un d'autre qu'un escroc.

Cette phrase résume quasiment tout le cinéma français actuel.

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Netflix les gars, Netflix.


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MessagePosté: 13 Avr 2024, 18:12 
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