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MessagePosté: 29 Déc 2015, 00:34 
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1. Herbes flottantes (Yasujiro Ozu, 1959)

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2. Wake in Fright (Ted Kotcheff, 1971)

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3. Attack the Block (Joe Cornish, 2011)

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4. Le Lâche (Satyajit Ray, 1965)

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5. Batman: Mask of the Phantasm (Eric Radomski/Bruce Timm, 1993)

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6. Jusqu'en enfer (Sam Raimi, 2009)

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7. Shock Corridor (Samuel Fuller, 1963)

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8. Box of Moonlight (Tom DiCillo, 1996)

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9. La Colline des hommes perdus (Sidney Lumet, 1965)

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10. Messiah of Evil (Willard Huyck/Gloria Katz, 1973)


Dernière édition par Walt le 05 Sep 2023, 09:14, édité 2 fois.

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MessagePosté: 29 Déc 2015, 01:43 
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Schtroumpf sodomite
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Je valide le top de Walt !

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MessagePosté: 29 Déc 2015, 19:36 
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GRAVE!

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MessagePosté: 29 Déc 2015, 19:46 
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Sir Flashball
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Puck est demandé en section littérature pour sauver mon topic de la débandade.

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"Je me suis mal exprimé, pardon."


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MessagePosté: 29 Déc 2015, 20:10 
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Putain, sérieux mec
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Je vais au resto avec les darons, mais j'essaie de faire ça quand je rentre!

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MessagePosté: 30 Déc 2015, 00:19 
1: The Exiles (Kent MacKenzie) 1961
2: Adieu au Langage (Godard) 2014
3: la Cosa (Nanni Moretti) 1989
4: Platform (Jia Zhangke) 2000
5: Sogni d'Oro (Nanni Moretti) 1981
6: Insiang (Lino Brocka) 1974
7: Asphalt Jungle (Huston) 1950
8: Kaos (les Frères Taviani) 1984
9: le Passage du Canyon (Tourneur) 1946
10: Bayan Ko (Lino Brocka) 1983
11: Comme un Torrent (Minnelli) 1958
12: Chroniques d'Anna Magdelana Bach (Straub/Huillet) 1968
13: la Classe Ouvrière s'en va au Paradis (Elio Petri) 1971
14: la Cité des Douleurs (Hou Hsiao Hsen) 1989
15: l'Armée des Ombres (Melville) 1969
16: Marseille (Schanelec) 2004
17: Je suis un Autarcique (Nanni Moretti) 1976
18: Big Eyes (Tim Burton) 2014
19: Au-dessous du Volcan (Huston) 1984
20: une Journée Particulière (Ettote Scola) 1977
+
This is Not a Time for Dreaming (Pierre Huygues, 2004)
Une vidéo de Steve McQueen (celui de "Hunger" et "Shame") où il se filme dans une chambre d'hôtel dans la pénombre lors d'une insomnie, s'entortillant dans ses draps, avec pour seule lumière une télé diffusant un documentaire con, ridiculement viril et chauvin, sur les Navy Seals (du type des programme d'après-midi de M6 ou de ceux de la nuit de la TF1 d'il y a 15/20 ans) , avec un voice over francophone d'un doubleur jouant tous les rôles (du bidasse perdu au sergent sadique, il finit donc par s'engueuler lui-même) et dont l'excès de zèle dans l'intonation laisse à la longue soupçonner qu'il partage sans doutes les réserves politiques du spectateur et du réalisateur, visiblement réalisé et diffusé juste après le 11 septembre.

Déception:
Gran Torino (Clint Eastwood, 2008) (par contre vu le début de Hoover qui m'a plus et intrigué)
Gravity (Cuaron) 2013
If (Lindsay Anderson) 1968
Qui a tué Harry (Hitchcock) 1955


Dernière édition par Gontrand le 30 Déc 2015, 01:08, édité 6 fois.

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MessagePosté: 30 Déc 2015, 00:50 
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1- Into The Abyss (Herzog)
2- Le solitaire (Mann)
3- I Origins (Cahill)
4- Vainqueur du destin (Wood)
5- Grizzly Man (Herzog)
6- Never Cry Wolf (Ballard)
7- Gentleman Jim (Walsh)
8- Le convoi des femmes (Wellman)
9- Le coeur est un chasseur solitaire (Miller)
10- Bas les masques (Brooks)


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MessagePosté: 30 Déc 2015, 01:13 
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Gontrand a écrit:
8: Kaos (les Frères Taviani) 1984

C'est donc bien?


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MessagePosté: 30 Déc 2015, 01:26 
Oui, très singulier, on y trouve à la fois le vérisme sociologique et la théâtralité pas si loin des parties siciliennes du Parrain, mais à l'envers car le flashback est placé au contraire du point de vue de gens qui ont perdu leur histoire et leur nom en restant justement sur place, et l'étrange folklore allégorique et brutal des Pasolini comme Médée ou Oedipe. Format qui est en fait celui d'une mini-série plutôt que d'un film.


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MessagePosté: 30 Déc 2015, 10:50 
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14: la Cité des Douleurs (Hou Hsiao Hsen) 1989

Tu l'as vu comment ?


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MessagePosté: 30 Déc 2015, 11:10 
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Localisation: In the Oniric Quest of the Unknown Kadath
J'ai vu tellement peu de films hors 2015 (une petite vingtaine) que j'ai même pas de quoi faire un top 10 :oops: :.
Sans ordre :

Bad Boy Bubby : conte australien totalement déviant et rock n'roll sur un mec enfermé par sa mère dans un bunker pendant 35 ans et qui finit par sortir. Très atypique et attachant.

Le conformiste : Je me suis un peu ennuyé mais je dois reconnaître au film une puissance visuelle assez dingue. Beaucoup d'images qui restent en tête. Un grand film romantique et désespéré.

Partie de campagne : grosse claque avec ce film pourtant inachevé de Renoir dont il ne reste qu'un moyen métrage de 40 minutes. C'est d'une beauté et d'une délicatesse absolus. Il y a probablement la plus belle scène de baiser de tout le cinéma français.

A touch of zen : quelle grâce absolue dans la mise en scène. Le film est un enchantement de sa première à sa dernière minute. Les trois heures sont passées comme une lettre à la Poste et j'ai eu la chance de le voir au Max Linder où les conditions étaient idéales. Il y a vraiment quelque chose de mystique dans cette manière de filmer l'environnement, le soleil, les arbres, le vent. Vraiment vraiment adoré.

L'eclipse : j'ai été littéralement subjugué par la modernité du film qui a quelque chose comme 30 ans d'avance. Que ce soit dans cette manière de parler de l'arrivée galopante du capitalisme à travers les marchés financiers ou de dépeindre la banlieue coquette et bourgeoise. Il y a des scènes extraordinaires et notamment la fin que je trouve magistrale. Grosse claque.

L'amour l'après midi : cette année aura été pour moi une redécouverte totale de Rohmer (enfin j'en ai vu que 5 mais ça a modifié ce que je pensais de lui). C'est merveilleux, c'est doux, c'est romantique, c'est cynique aussi et toujours juste. On sent constamment derrière ce récit finalement banal d'adultère, une espèce de vertige existentielle. Et puis j'adore cette manière de filmer la société française dans son époque, ce Paris des années 70.

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CroqAnimement votre


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MessagePosté: 30 Déc 2015, 11:19 
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Antichrist
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Messages: 23986
beau top malgré tout

l'éclipse, gros gros souvenir aussi
Touch of Zen,; faudrait que je le revois dans de bonnes conditions


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MessagePosté: 30 Déc 2015, 15:18 
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Gontrand a écrit:

Déception:
Gran Torino (Clint Eastwood, 2008) (par contre vu le début de Hoover qui m'a plus et intrigué)


C'est quoi que tu n'as pas aimé dedans?
Je ne vais pas te tomber dessus, j'ai l'impression d'être le seul à trouvé le film mauvais tandis qu'autour de moi tout le monde l'idolâtre. Hoover c'est un beau film fragile et plein de défauts mais c'est le Eastwood qui m'a le plus plus ces dernières années.


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MessagePosté: 30 Déc 2015, 16:36 
Bonne question,pas facile. Peut-être un certain simplisme, les personnages sont caractérisés à grosse louche dès le début et n'évoluent plus ensuite. Chacun possède une seule fonction et une seule position dans le film, qui n'empiètent pas sur celle des autres (le gang Hmong, l'adolescente équilibrée, les fils indifférents sont détesté chacun pour des raisosn différentes). Le personnage d'Eastwood évolue bien du racisme vers l'amour filial, mais c'est au sein d'une démarche suicidaire et d'une détermination à mourir, orientée par la sacrifice (et la condamnation préalable de sa propre famille). Il y a une inversion qui pourrait être intéressante ("chez des gens sociables et épanouis la tolérance ne serviraient à rien, leur propre satisfation d'eux-même occuperait tout l'espace"), mais elle est énoncée comme une thèse: la misanthopie du personnage et sa nostalgie aigrie trahissent au début une résignation à ne pas mourir, à faire obstruction à une sorte d'anonymat et de vide social et familial, tandis que la tolérance est au conraire liée à un esprit de sacifice morbide, complètement distinct du vivre ensemble. Elle est sans nécessité, juste le retournement d'une pulsion. Avant que le personnage de Kowalski ne décide d'"intégrer" ses voisins ceux-ci n'avaient pas besoin d'être défendus même si eux en revanche ont une fonction, qu'ils ignorent: réintroduire dans la vie américaine un discours familiariste qui lui manque, qui est une ose de non-savoir au-délà du savoir que l'Amérique a de sa propre histoire. Il y a un partage trop net: les Américains sont montrés comme un peuple trop conscient de son histoire , de ses valeurs, mais sans sur-moi (ceci dit il y a une diée assez belle: le personnage d'Eastwood reproche sans dotue à ses fils de ne pas l'avoir confronté sur sa culpabilité d'"Americain Sniper" ayant tué un enfant, que le mage Hmong voit directement comme quelque chose de transparent dans sa seule attitude physique. Ce qui manque à la culpabilité n'est pas l'établissement des valeurs et des oppositions, mais le récit qui la constitue comme un secret à percer), et les Hmongs sont l'inverse: ils ont une culture, il savent expliquer eux mêmes leurs propres symboles, mais ne savent ni travailler ni e défendre: le récit d'initiation ou de réveil "vital" chez l'un et celui d'apprentissage chez les autres ne se recoupent pas (cela revient souvent chez Eastwood: le relation entre lui et la voisine est très proche de celle amoureuse de Breezy), ils sont complémentaires mais nécessairement séparé, la justice maintient d'ailleurs cette séparation, et rien n'est montré de ce qui suivrait l'établissement de cette justice (elle n'est pas une condition du vivre ensemble, mais son but historique).
Il y a aussi quelque chose qui m'a semblé faux et artificiek dans la représentation de l'espace: les Hmong sont montrées comme une communauté, mais une communautée enfermée dans l'espace d'une maison, à la foix exotique, possédant sa propre mémoire et intérieure. La ville est sans géographie, sans circulation, comme si elle était un espace neutre, mais cette neutralité est la condition de ce qui en fait "un débouché" où s'employer , elle n'existe que comme économie, tandis que l'historie relève de la vie privée (la démarche du film est de faire de la communauté le témoin d'un geste qui commis dans la solitude aurait eu exactement le même sens, car son sens et sa porté morale sont déjà présente dès le début, c'est juste l'équivalence entre la communauté et le témoignage qui est a établir). Cela me semble un recul car le film noir des années 40-50 (chez Huston ou Dassin) ou même the Wire partent de la conception de vla ville qu Eastwood montre comme une tâche à accomplir, montre que le problème de l'injustice sociale déborde celui de cette équivalence
J'ai aussi eu du mal avec Eastwood acteur (et le caractère articiel de son grognement perpétuel).

Par contre dans Hoover j'ai apprécié l'écriture du personnage, les gestes qui trahissent sont innocence et son infantilisme (l peur de la sueur des hommes q'il veut ensuite séduire) en même temps que sa puissance et sa paranoïa, l'angle qui permet de comprendre que le mcCarthysme a intégré dans la réalité ce qui dans Citizen Kane était déjà là mais comme mais comme une image d'Epinal


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MessagePosté: 30 Déc 2015, 17:04 
Karloff a écrit:
14: la Cité des Douleurs (Hou Hsiao Hsen) 1989

Tu l'as vu comment ?



Il y avait une rétrospective HHH à la cinémathèque de Bruxelles juste après Cannes. J'ai écrit un message dessus à l'époque que je me permets de recopier: post718317.html#p718317
J'ai aussi vu "le Maître des Marionnettes" qui m'a semblé plus aride, même si plus rapdical formellement et proche de l'épure des "Fleurs de Shangaï", mais le film ne se comprend pas très bien sans "la Cité des Douleurs".

Sinon j'ai oublié (peut-être parce que j'ai vu le premeir en deux fois sur un ordinateur et raté les dix premières minutes du second) que j'ai aussi vu cette année pour la première fois "Il Etait une Fois dans l'Ouest" et "l'Eclipse", en effet très bons (marrant comme le début du film de Leone prologne la fin de celkui d'Antonioni, déplaçant dans le Westen l'espèce de désert remplis de choses et l'oeil à la fois panoptique et mort de l'Eclipse. D'ailleurs la relation Cheyenne/Cardinale ressemble fort à celle Vitti/Delon).

@Acribou: dans "Kaos" on voit aussi la superbe Enrica Maria Modugno nue, dans une histoire d'ailleurs tout à la fois horrifique (proche de Poe) drôle (par le quiproquo sexuel) et boulversante (parce que le tragique de ce quiproquo est perçu et résolu par les personnages eux-mêmesà.

Et dans la déception j'ajouterais "Il est Difficile d'Etre un Dieu" de Guerman


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