Yo, la flemme de citer tout le monde là, mais sérieusement, Nijal, la raison pour laquelle je n'ai pas mis le titre du Kafka en allemand, c'est tout simplement parce que je ne comprend pas l'allemand, que cette langue m'est absolument inconnue et j'avais la flemme de chercher sur Wikipedia ou autre son titre original, or, le français, l'espagnol, l'anglais sont des langues que je comprend, et qui pour deux d'entre elles parle, lis et écris couramment, d'où la facilité à les écrire, instinctivement, ou de mémoire dans leur langue originale.
Les films que je mate, les bouquins que je lis, les bandes dessinées, je les assume totalement, pas de soucis, je peux te faire une liste longue comme le bras de Dalshim de trucs français, japonais, chinois ou autres que j'adore, mais, ce serait mentir que de dire que c'est mes préférées, c'est tout. Aucun problème avec mon identité française, au contraire, mais c'est juste que bah ouais, beaucoup d'oeuvres qui m'ont touché sont celles ci.
Et sérieusement, je ne sais pas c'est quoi le souci de certaines personnes ici, qui se prennent pour Edgar Hoover (et doivent sûrement s'habiller en meuf à côté aussi) qui veulent absolument tenir un dossier et pointer du doigt toutes les conneries du MONDE ENTIER (t'as vu, Hoover, c'est ma fascination pour l'Amérique ça encore) au lieu de partir sur un débat de fond, de parler de la qualité intrinsèque de telle oeuvre ou telle oeuvre, un film français pourri sera tout aussi pourri qu'un film pourri américain, allemand, croate sous titré en russe, pour les bons, bah c'est pareil.
Bref, je me perd là, j'aurais pu tout juste éditer mon post d'origine et faire tomber tout ce que t'as dit après aux oubliettes et ne pas m'étaler, car c'est tout aussi petit, tout aussi mesquin , mais je veux juste mettre des trucs au point, ne pas juger sans connaitre, si ça se trouve, ce n'était pas pour faire ton intello.
La prochaine fois, je n'hésiterai pas.
Bisous
P.S. Par contre pour Don Rosa, c'est vrai, c'est Keno, pendant deux secondes, je voulais écrire Carl Barks, merci