Forum de FilmDeCulte

Mexico. Trois adolescents des quartiers pauvres pénètrent dans l'enceinte de La Zona, une cité résidentielle aisée, entourée de murs et protégée par un service de sécurité privé. Ils s'introduisent dans l'une des maisons, mais le cambriolage tourne mal. Plutôt que de prévenir les autorités, les résidents décident de se faire justice eux-mêmes. Une chasse à l'homme sans pitié commence...

Récompensé à Venise et à Toronto, un film très "Dossiers de l'Ecran" made in Mexico, avec dénonciation bien lourde de la violence sociale, de la corruption, de l'obsession sécuritaire, de l'impunité. Morale de l'histoire : tout cela conduit à un comportement primitif. Et ça, c'est PAS bien.

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0/6

C'est original.

Qu'est-ce qui est original?

Stabilo Boss.

Lion de la première oeuvre à Venise et prix de la critique internationale pour ce thriller noir où une bande de bourgeois capitonnés dans un Levallois-Perret quadrillé de caméras de surveillance au-dessus de bidonvilles mexicains décident de prendre en chasse trois adolescents dont l'un est responsable de la mort d'une vieille pour se rendre justice eux-mêmes.

Brillant dans les idées et dans la manière de présenter la violence d'un tissu social en castes, où la police corrompue ne peut rien, où une meute de riches s'invente ses propres règles et s'adonne à des comportements primitifs, mais pêchant par une mise en image mollassone, à l'image de cette première scène où on suit le vol d'un papillon jusqu'à ce qu'il se fasse désintégrer par une ligne haute tension.

2/6

Intrigué par le buzz, je m'attendais à un traitement bomba latina d'un sujet qui ouvre ses pistes de Wassup Rockers mais en moins immédiatement fun. Finalement j'ai d'abord été surpris par la mollesse de l'exécution, avec le sentiment que tout tourne incroyablement en rond jusqu'à ce que la fin arrive, dans une rupture outrancière qui du coup tombe à l'eau.

A la limite je préfère la toute fin-fin mais bon ça dure 3 minutes.

2/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

Le 0/6 me semble pas vraiment justifié.
J'y suis allé sans rien en attendre, et j'ai été plutôt content du résultat. Ok le sujet est traité de façon un peu grossière mais si l'on excepte les 45premières minutes durant lesquelles le film traine un peu à démarer, le reste est assez fort émotionnellement.

3/6

Si.

En tout cas, tu ne l'as pas fait...

Non.

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0/6

Pas désagréable, pas trop mal joué, un peu longuet mais ça passe très bien sur un écran télé, comme un téléfilm honnête. 3/6

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
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