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MessagePosté: 08 Nov 2010, 16:14 
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tape dans ses mains sur La Compagnie créole
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boultan a écrit:
Déjà, le coup du Michael White, hein... Et pourquoi il écrit ce nom sur son plafond ? Il prévoit de monter une asso d'anciens enterrés vivants à l'insu de leur plein gré, ou bien il est copain avec le scénariste et veut souligner la pirouette finale ?

LOL

DPSR a écrit:
Comment interpréter ce "ah le portable nous a mené à Michael White?" à part comme un simili foutage de gueule pervers

C'est pas un mec qui les mène à l'endroit, et non pas le portable?

En tout cas le mec avait menti: Michael White ne s'en est pas sorti...

Bref elle est cheloue cette fin.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"


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MessagePosté: 08 Nov 2010, 16:17 
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On en parle avant la fin de ce Michael White ?

Je viens de me souvenir que je me suis endormi quelques minutes à un moment du film, histoire de ronfler pour énerver l'abruti qui bouffait du pop-corn bruyamment à deux sièges de moi.


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MessagePosté: 08 Nov 2010, 17:00 
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tape dans ses mains sur La Compagnie créole
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Marlo a écrit:
On en parle avant la fin de ce Michael White ?

A un moment, quand il parle avec Dan, il lui demande s'il en a déjà sauvé, et Michael White était un de ceux qu'il avait réussit à sauver. Paul l'écrit sur sa caisse, je suppose pour lui rappeler qu'il y a toujours de l'espoir..

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"


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MessagePosté: 08 Nov 2010, 22:38 
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Oui effectivement je crois qu'Arnotte a raison, la pirouette finale c'est que Michael White ne s'en est pas sorti et qu'une fois de plus on a menti à Conroy.
Et oui c'est un irakien qui les mène à une cache où un américain était caché et non le signal du portable (qu'ils n'arrivent pas à tracer visiblement). Je vois pas trop le problème de cette fin à part qu'elle laisse le personnage crever comme une merde étouffé dans du sable. Mais on ne peut pas vraiment en vouloir au réalisateur de jouer le twist

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MessagePosté: 09 Nov 2010, 22:30 
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Robot in Disguise
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Rien de plus à ajouter à ce qui s'est dit: c'est sympa, ça tient relativement bien la route, malgré des trucs en trop
(le serpent)
et une scène en particulier bien abusive
(le licenciement au téléphone)


Pour le reste, Cortès ne brise pas le concept en sortant du cercueil, mais j'aurai préféré
s'il n'avait pas montré l'execution de Pamela Lutti au téléphone, histoire qu'il n'y ait réellement qu'un seul visage et un seul décor dans le film.


Sinon le discours est basique, certes gros, mais vrai... C'est une petite parabole sympa sur un vrai expendable.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste
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MessagePosté: 10 Nov 2010, 21:18 
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Inscription: 25 Nov 2005, 00:46
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Localisation: Fortress of Précarité
SPOILERS DE PARTOUT

Je suis plus ou moins du même avis que vous autres.
Le concept larrycohenien est très bon et durant la première moitié, je trouve ça vraiment bien géré, réaliste, du moins fort crédible, avec un Ryan Reynolds naturel, sérieux (c'est le film qui m'aura convaincu qu'il pourra être bon dans Green Lantern).
Ca peut faire un pei cahier des charges mais au moins y a pas de choix de personnage co s comme c'est pourtant souvent le cas dans les films de ce genre.
Toute l'utilisation du téléphone est habile par exemple, pour l'exposition, pour la communication, la progression de l'intrigue, etc.
J'aime assez que la(b)surdité des interlocuteurs administratifs ne soit pas trop poussée, ce qui aurait été une solution de facilité pour ralentir l'intrigue, là c'est juste assez pour nous frustrer comme le perso.
Le coup de la vidéo aussi, c'est bien. Cruel. Ludique.

Le problème, c'est qu'à mi-film, le scénario ne sait plus quoi faire.
Et du coup les rebondissements factices se multiplient.
Le coup du serpent et du feu évidemment, peu crédible...et hors sujet.
Le coup du licenciement, trop grossier...et hors sujet.
Le coup du bombardement, trop deus...même si j'aime bien le sablier mortel qui est crée.
Le coup du doigt coupé, trop poussif...
En fait, plus ça allait et plus je me disais que, les rebondissements grossissant, tout allait être justifié par un twist convenu du style "ah bah en fait t'étais enterré dans un bac à sable du Queens" avec une explication style "c'était un test chais pas quoi"...et du coup, même si le coup du "c'est pas votre tombe, c'en est une autre" est grillé à 150km, j'ai plutôt été agréablement surpris par cette fin désespérée, couillue, dénuée de twist, d'échappatoire malin, où le mec CREVE.

D'autant plus qu'à cet instant-là, la mise en scène renoue avec la claustrophie qu'elle avait instaurée au début, mais à laquelle, bizarrement, on s'était habitué par la suite (peut-être l'aspect "cercueil qui peut tenir toute une équipe" effectivement, trop de plans larges - je parle pas du très classe plan surréaliste évoqué par Zad).
J'admire assez la photographie alternant les couleurs, faudrait voir même s'il y a pas un sens à chacune...

Pour ce qui est du propos, j'apprécie, comme le souligne Qui-Gon, que le film donne un visage au dommage collatéral, alors qu'avec un soldat, ça aurait été encore plus convenu (parce que ça l'est quand même).

4/6

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MessagePosté: 14 Nov 2010, 12:30 
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Localisation: Caché avec Charlie
Thriller à pitch, efficace, qui heureusement ne se prend pas le pied dans le tapis du thriller espagnol (oui, moi j'aime pas le thriller espagnol, les REC, les sectes sans nom...Insupportable), avec ses idées de rendre le personnage con (il bouffe sa batterie à des conneries) ou de faire de la trame un truc complètement débile (interventions inutile...) plus on avance dans l'histoire.

Et puis non, ça tient la route, scénario carré, le personnage a une évolution crédible, la montée en puissance est impressionnante et tout.

Après, c'est du thriller à pitch, tu le vois une fois, et pis c'est tout. C'est la limite, sauf si tu vois le truc en plus du réal dans la trame. Là, j'ai pas vu.

4,5/6


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MessagePosté: 08 Sep 2011, 22:30 
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Inscription: 15 Avr 2010, 11:07
Messages: 2227
Attention ça spoile.

Je rejoins l'avis de tout le monde. Trop de rebondissements et d'incohérences surtout sur la fin :
Zad a écrit:
Notamment un dernier quart d'heure gratuitement pervers, presque Hanekien, assez détestable.


FF a écrit:
En fait, plus ça allait et plus je me disais que, les rebondissements grossissant, tout allait être justifié par un twist convenu du style "ah bah en fait t'étais enterré dans un bac à sable du Queens" avec une explication style "c'était un test chais pas quoi".

Comme dans Cube² !! (j'avais prévenu que ça spoilait !)

En fait moi j'espérai qu'il sorte de lui-même du cercueil, d'autant que nager à travers du sable me parait moins incohérent que de pouvoir respirer des heures dans un cercueil.
On aurait même pu avoir une suite (Buried 2 ? Unburied ?) où il viendrait péter la gueule à tous les connards/connasses qu'il a eu au téléphone (notamment l'autre poufiasse qui lui raccroche au nez au début du film) avec un couteau greffé à la place de son pouce coupé.

Je rajouterai que le générique est ridicule, le "style" Saul Bass sur un film pareil non mais wtf ?
Tout comme la bande-son totalement décalée du début jusqu'au générique...


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