Lol bon alors là on va y aller petit bout par petit bout car c’est foisonnant de connerie…
Citation:
Mais lol. Excuse-moi de ne pas avoir ta verve dans le paluchage analytique et de te renvoyer juste... au film.
Ah ok… le truc c’est que sur les deux exemples en cours je n’ai jamais eu la prétention d’analyser ces films, au contraire, je les trouve tellement chiants qu’ils me passent au dessus de la tête… Tout ce que je fais c’est reprendre des phrases que tu dis à la va vite et de te demander d’en dire plus… Et comme tu n’en es pas capable car tu es un imposteur bobo qui ne sait pas aligner deux idées à la suite, ça sert à rien. Tu vois je demande jamais à quelqu’un qui me gonfle de m’expliquer son point de vue, je te trouvais un peu arrogant mais tu ne m’as jamais vraiment gonflé… Du coup quand tu parles de Bergman pour la première partie je me dis que j’ai peut être raté un truc, sincèrement, donc je demande, de manière surement un peu outré car je suis loin de penser ça mais je demande quand même… Je veux justement que tu t’attardes sur les films, sur les styles ect… enfin je voulais, là la page Wikipedia c’est la goutte d’eau, tu viens de prouver ta bouffonnerie ultime. Si Bergman c’est ça et juste ça pour toi, je comprends tout de suite mieux et je n’importunerai plus le bon déroulement de la bêtise.
Citation:
enfin je discute, toi, c'est juste le néant
Et oui je ne fais pas le beau moi, je suis (j’étais) sincère, quand tu me dis un truc, tu peux avoir vu un truc qui m’échappe, explorer une piste que je n’ai pas vu… Tu sors des phrases rapides qui touchent à des choses qui me tiennent à cœur… Je te demande logiquement de t’expliquer … Et je récolte une belle brise, avec arrogance qui plus est. En gros je te demande de lancer des débats (des vrais, pas des trucs de gamin de douze ans comme on fait en ce moment) mais tu en es incapable car il faut prendre tes phrases qui impliquent beaucoup de choses comme elles sont, et rien demander d’autre. Ben non je ne suis pas comme ça, j’aime discuter, et là je suis déçu que le masque de culture qui couvre ta bêtise tombe aussi vite.
Citation:
* Réflexion sur l'Amérique des années 80 et l'arrogance musclée de ces années-là, que sont devenus les héros de cette année-là ?
* Réflexion sur le corps et bien sûr sur Hollywood. Que faire des pièces usagées de l'industrie du spectacle ?
Oui… Et je t’ai demandé pendant cinq pages de me dire ce qui te plaisait dans le traitement de ces réflexions, par qu’elles idées de mise en scène, de narration, elles étaient incarnées, je n’ai jamais nié ces sujets là, je t’ai juste demandé en quoi c’était un film intéressant sur ce sujet, selon toi… Là c’est deux phrases de bobo, les même qu’auparavant.
Après personnage flamboyant et mise en scène avec un tempo énorme… Là je ne l’ai pas ressenti comme ça, je me suis profondément ennuyé. J’ai jamais cherché à dire plus que ça, juste à ce que toi tu développes, je développe quand j’aime des films, là j’estimais que c’était à toi de le faire, pour moi c’est ça un forum de discussion. Et encore du vent… Je te demande plusieurs fois et tu me répètes la même chose comme un autiste… « La zik hard rock, le catch (et pas la boxe, d'ailleurs, le catch incarne mieux l'amérique texane-stéroide), les vieux jeux vidéos »… voilà, des signes qui pour moi renvoyaient à une idée similaire, je te demande de développer et tu réponds… « La zik hard rock, le catch (et pas la boxe, d'ailleurs, le catch incarne mieux l'amérique texane-stéroide), les vieux jeux vidéos »… Oui, en effet, tu discutes, c’est génial…
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Antichrist, non-cinéma
J’ai jamais dit ça, j’ai dit pas purement cinématographique comme quelqu’un le prétendait. C’est le cas pour 95 % des films. Etant donné que j’ai payé mon billet d’entrée c’est que c’est du cinéma…
Citation:
aucune esthétique
Je n’ai pas dit ça…
Allez je retente le coup.
Citation:
esthétique du cauchemar qui renvoie à Bosch
Comment tu définirais cette esthétique ? Quelle est sa méthode ? Comment son cinéma se construit autour de ça ? Comment tu lies ça à Bosch au niveau du traitement ?
Citation:
jusqu'en boutisme des images, puissance formelle et surtout vraie proposition inédite de cinéma, qu'on le veuille ou non, Antichrist ne ressemble à aucun film contemporain.
Jusqu’au boutisme de certaines images oui, là on est d’accord, mais un film ne tient pas sur quelques images (celles d’Antichrist qui sont jusqu'au boutiste ne seraient pas en mouvement que ça ferait le même effet), comment il les insère dans sa construction ? Comment les rend-il puissante selon toi ? Une image n’arrive jamais seule au cinéma, y a un avant et un après, ou qu’un des deux mais y a toujours un autre… Comment agence t il ses images pour que tu les trouve puissantes ? Encore une question de méthode, de sens artistique pour ce gars que tu considères comme un auteur majeur, tu vas surement pouvoir me répondre…
Qu’il ressemble à aucun autre film je trouve ça faux, puis même si c’était le cas je m’en tape, ce n’est pas un gage de beauté et de qualité.
Sur Bergman je passe, ce n’est pas le sujet, et les dialogues qui cachent le monstre c’est réduire Bergman à ses dialogues puisqu’il suffit donc de ça pour faire un passage Bergmanien… Pitié… Et Bergman ne s’intéresse pas de manière aussi centré à la mort et au deuil, comme dans Antichrist… Donc là tu n’as rien prouvé une nouvelle fois, un lien dans les dialogues, et encore pas dans leur forme ni leur utilisation, juste dans leur teneur, juste car ça cache quelque chose (y a beaucoup de cinéastes Bergmaniens en fait, c’est fou), et des thématiques que tu associes à Bergman en faisant un des plus beaux raccourcis de l’histoire du forum.
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Capice ?
Oui, tu viens de prouver que j’avais raison. Merci beaucoup, au moins tu auras prouvé quelque chose.
Putain perdre 20 minutes pour ces conneries...
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