Forum de FilmDeCulte

Bravo, tu m'as démasqué.

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Netflix les gars, Netflix.

@Lecowboy : T'es resté pour la scène du cambriolage?

Mmmm non ça me dit rien.

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Netflix les gars, Netflix.

Tu as raté la scène d'anthologie du film et de loin la plus drôle (les mecs de la sécurité cités part Art core).

M'en caque, ça m'a soulé, c'est mou du cul. Au point où j'en étais, j'ai eu l'impression que le seul enjeu du film c'était de savoir avec qui l'héroïne allait finir.

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Netflix les gars, Netflix.

Moi je suis parti avant la fin de la bande-annonce. Je comprends un mot sur trois quand les acteurs parlent, c'est un vrai problème.

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

L’eternel jeu "à bout de souffle" français.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Complètement vrai. Au ciné ya 10% du film que je n'ai pas pigé. Diction et mixage français de merde.

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Netflix les gars, Netflix.

Justement, si le film a bien des défauts, je ne trouve pas que ce soit la diction des acteurs. On a affaire à une comédie existentielle bien écrite, thématiquement riche mais trop théâtrale et qui aime trop s'écouter parler. Le goût de Salvadori pour le comique de répétition est un peu discutable aussi.
Le film m'a fait penser à une reprise de Happiness Therapy, avec des personnages maniaco-dépressifs (sauf qu'ici la maladie ne dit pas son nom mais est juste une sorte de spleen existentiel, ce qui est plus habile et permet de ne pas se mettre les vrais malades à dos). La métamorphose de Pio MarmaÏ a l'air aussi de faire penser à celle de Duvauchelle dans le Marion Vernoux sorti il y a quelques mois. Les intentions sont bonnes, comme l'a dit le Cowboy, l'on voit très bien les coutures et celle volonté, très chic, de faire dans la rupture de ton permanente (c'est plus réussi que du Bozon de ce point de vue), la mélancolie se trouve résolue par une ode touchante, quoi qu'un peu gnangnan, à la fiction, en même temps qu'un commentaire de circonstance est fait sur Marseille et sa flicaille pourrie (Marseille très peu mis en valeur dans un filmage assez serré et anonyme, en particulier lors des plans noctures assez laids).

C'est non.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Le livre de tactique avec un liseré argenté alors ?

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-I failed.
-Good. Now go fail again.

J'espère que tu sais que ce n'est pas ça la traduction du titre original.

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Evidemment, je cherchais à titiller Castorp. Mais je serais bien emmerdé pour en trouver une bonne, qui rende compte à la fois du côté positif dans un contexte merdeux, et du contexte football. Les québécois ont choisi " Le Bon Côté des choses", c'est toujours mieux que happiness mes couilles.

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-I failed.
-Good. Now go fail again.

Grave.

Pour une fois, un bon vieux "Comment etc." aurait été justifié. Genre "Comment voir le bon côté des choses".

Bon c'est nul hein...mais Happiness Therapy quoi.

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