Forum de FilmDeCulte

Sur service-public : "Rompre un concubinage n'est pas une faute. Toutefois, la faute peut découler des circonstances de la rupture, par exemple du fait de sa brutalité. Si vous avez été lésé, vous devez prouver la faute. En cas de rupture abusive, une indemnité peut vous être accordée par décision de justice."
Il y a aussi le cas de "l'enrichissement du concubin", qui peut amener une compensation.

J'ai lu le truc sur mon téléphone, donc j'ai pu louper des détails. Mais d'une manière générale, même sans aucun bien commun, un simple bail aux deux noms t'engage, non ?

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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1. Sur le « dossier » : je viens de voir qu’une consoeur, tweeteuse célèbre, a demandé une copie du jugement, notamment en raison de l’incompétence du JAF. Je viens de discuter avec elle : pour le moment, malgré la promesse, elle ne l’a pas reçu.

2. De façon générale : le divorce pour faute existe, mais cela fonctionne dans l’autre sens , l’époux « victime » sollicite le divorce pour faute en raison de violences, adultère ou je ne sais quoi encore. Le juge peut prononcer le divorce « aux torts exclusifs » de l’autre époux. Des dommages et intérêts peuvent être alloués en cas de comportement grave. Je précise que je ne pratique plus les divorces depuis longtemps, mais il y quinze ou vingt ans, les divorces prononcées pour faute étaient rarissimes, même en cas d’adultère, et l’allocation de dommages et intérêts l’étaient encore davantage.

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There is no such thing in life as normal

Mais c'est probablement un fake votre truc. Pas d'indication de lieu et de date du jugement, l'article (enfin le message ou l'ex-tweet, je sais plus comment on dit) qui pue le faux style direct d'apprenti pigiste, la formulation hyper clichée voici mon histoire après l'introduction racoleuse qui invoque (et relativise en même temps) les violences sexuelles, les paragraphes sont mêmes pas dans l'ordre (encore sous le choc du traumatisme la fonction couper/coller de Word s'est mise à fonctionner toute seule, il fallait préserver l'authenticité du document) et vous vous emballez (et/ou vous vous emmerdez).
On dirait la pause repas du Lycée Pierre Perret de Vesoul.

C'est sûr que si une meuf ne va pas bien et/ou a des problèmes avec la justice, la première chose qu'elle va faire est de donner une lettre rédigée à la première personne à un pote avec une petite boîte de com et est un peu influenceur pour qu'il se fasse mousser en la scannant sur Twitter en mode Emile Zola.

Et Gwendoline comme nom d'emprunt. Pourquoi pas Justine ou Barbarella non plus ?

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Je connais un peu Alexandre et si c'est une amie de longue date, je pense pas qu'elle lui fasse à l'envers mais bon...


C'est bien tout le mystère, oui, comment tu "prouves" la faute, le fait d'avoir été lésé.

- Qui va me sucer maintenant?
- Je donne raison à l'accusation.

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Il y a un profil qui semble correspondre travaillant dans la charcuterie industrielle donc si ça semble bidon ils n’auraient pas poussé le vice jusqu’à l’usurpation d’identité.
La crédibilité de ce mec sur Twitter que je ne connais pas en prend un coup pour le moment.

Lu hier et j'ai trouvé ça très étrange aussi, condamnation qui paraît n'avoir aucun sens. Mais c'est vrai que le témoignage est hyper vague, notamment elle dit être condamnée mais elle précise pas quel a été le jugement du coup faire une cagnotte sans spécifier quelle est le montant de l'amende ou des frais judiciaires c'est bizarre.

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CroqAnimement votre

Cela n'existe tout simplement pas.

Au pire, je sens bien une séparation douloureuse, elle qui part avec des affaires du type, ou ne lui rend pas, il saisit la justice, mais sûrement pas le Juge aux affaires familiales, pour se défendre, son avocate choisit le moyen de défense de violences psychologiques, qu'elle est incapable de prouver, tandis qu'elle a sans doute reconnu par sms avoir les affaires et le refus de les rendre.

Ben, le résultat est logique et je n'y vois rien à redire.

En l'état, sans jugement, malgré la promesse de le communiquer, ça pue.

Vous n'avez pas idée du nombre de clients que les avocats reçoivent pour relever appel d'un jugement inique, et qui une fois le dossier en mains sont bien obligés d'expliquer au client qu'il perdra aussi en appel, car la décision est conforme au droit.

EDIT : je viens de regarder la vidéo. Elle affirme ne pas avoir eu les moyens moraux et financiers pour intenter une action "parallèle" pour obtenir une indemnisation. Sa demande DEVAIT être formée dans cette même procédure. Bref, c'est n'importe quoi.

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On compte sur toi pour nous donner le fin mot de l’histoire.

Si je créais une cagnotte sur Twitter pour couvrir les honoraires d'avocat potentiels de chacune de mes amies qui s'est mise avec un mec foireux, je pourrais renflouer les Restos du Coeur pour le 94.

*Idée*

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Et moi donc quand je pense à toutes mes ex qui se sont retrouvées avec un mec foireux.

L’ami de FF a sans doute voulu bien faire et faire le buzz sur le dos des inégalités entre les sexes.
L’enfer étant pavé de bonnes intentions et qui veut faire l’ange fait la bête.

À tout hasard je vais commencer à préparer un Word de trois pages Voici mon histoire : pour l'une ou l'autre.

Si cela ne donne rien sur X je peux toujours les vendre à Luc Besson pour Dikkenek 3

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Erving Goffman

Les messages de Gontrand :

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Je suis allé au procès de Monique Olivier.

J'ai décidé ça sur un coup de tête et me suis pointé 10-15 minutes avant l'heure de la reprise en début d'aprèm. Malheureusement, les six personnes avant moi n'ont pas pu entrer donc on a été contraints d'aller dans une des deux "salles" (en réalité une tente dans la salle des pas perdus) de retransmission. Bon c'était pas plus mal car au moins tu peux voir le témoin de face. Et puis le découpage technique était pas mal, y avait des split screen genre témoin qui parle/Monique Olivier qui écoute, des plans larges, serrés, etc.

La famille d'Estelle Mouzin s'était exprimée le matin donc on a eu droit à un gendarme qui a raconté le plus récent volet de l'enquête Mouzin, celui qui a permis d'incriminer Fourniret. C'était intéressant mais le gars, bien que lisant depuis ses notes, n'avait guère le sens du storytelling. Tu te perds dans d'infinis "[i]le 21 décembre, le téléphone fixe du domiicile de Sart Custine appelle la carte prépayée Pay n'Go numéro 06 76 35 40 03, le 22 décembre...[/i]" zzzz... Un petit côté "This is the anomaly at 23 hundred, this is the anomaly at..." (c'est pour toi FF). Mais bon c'était quand même cool d'entendre tous les détails de la bouche du cheval.

Monique Olivier a tout écouté attentivement sans exprimer grand chose de lisible.

Après cet interminable mais néanmoins intéressant exposé, la partie civile a posé quelques questions comme prétexte pour faire le procès des premiers enquêteurs, ceux qui n'ont pas suivi la piste Fourniret. Le procureur a ensuite fait un petit truc pour arriver à la conclusion que Monique avait menti dès sa première garde à vue en disant que Fourniret n'avait pas de téléphone portable alors que oui. Mais c'est l'avocat de la défense qui a le mieux fait son beurre du témoignage avec une simple question, en substance: "Hormis les aveux de Monique Olivier, y a-t-il des preuves matérielles qui l'accablent ?" Le gendarme a marmonné "C'est une question compliquée..." avant de reconnaître que non. Et l'autre a rest his case. Bien joué, j'avoue.

Et puis après ils ont coupé à la fin de son témoignage et c'était fini pour la journée, ça aura duré 3 heures. Pour ceux que ça intéresse ça se passe à Nanterre et si on se pointe 30 minutes avant y a moyen d'entrer.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Ce qui est interdit.

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